mercredi 2 décembre 2020

En marche vers un véritable Noël

LE SALAIRE DE LA PEUR…


Il est de la responsabilité de chacun de ne pas créer de la peur, de répandre la peur, d'accroître la peur, d'entretenir la peur, de mortifier l'humanité tout entière de peur…

Une telle attitude du politiquement correct, du médicalement correct, de l’intellectuellement correct, du médiatiquement correct, a pour conséquence de n'être véritablement pas correct ; et que le prix à payer est la dégénérescence et décadence de l'humanité. C'est la disparition complète et totale de la logique, du bon sens et de la raison de chacun, sous l'influence des dires de la médiatisation diabolique de ce monde du malheur. Le malheur de ce monde est le fruit du malheur de l'homme ; de son absence de présence au sein de la création, au sein de sa création ! N'étant plus générateur, constructeur de sa propre vie, d'une vie meilleure et d'un monde meilleur (ce qui était sa destination originelle), il s'est transformé en destructeur de lui-même et de la planète sur laquelle il ne serait plus que condamné à mourir, à disparaître.

Nos sociétés existentialistes, matérialistes, sont devenues les boat-people de notre humanité ! La France, terre d'accueil, s'est transformée elle-même en véritable radeau de la Méduse pour tous ceux qui ont quitté les chemins de la logique, du bon sens et de la raison pour en faire des exilés de leur intériorité, de leur cœur et de leur esprit…

Le développement des maladies mentales de la psychose maniaco- dépressive du printemps, en passant par la névrose obsessionnelle du virus de l'été jusqu'à l'automne, pour atteindre le summum avec la paranoïa de l'hiver, touche maintenant toutes les couches de la société condamnées à l'horizontalité (au mal, au mal-être, à la maladie et à la mort) par le refus de croire à la verticalité de l'être et de sa volonté propre à disposer de lui-même.

Le grand pouvoir de la science (sans conscience) des intellectuels qui se veulent plus brillants les uns que les autres, entretiennent l'espoir, par la recherche dans les placards ou sur les paillasses de leurs laboratoires pharmaceutiques, de la découverte toujours du nouveau médicament, du nouveau vaccin, qui assurément sauveront toute l'humanité à moins de ne pas être amenée à finir sur la paille.. Là où pourtant tout avait commencé il y a 2000 ans pour une nouvelle et belle humanité pleine de sagesse et d'amour !

Si l'homme ne retourne pas à sa nature divine originelle il tombe dans son animalité... Qu'il ne s'étonne pas, dès lors, qu'on lui propose de ne sauver que ce qui resterait d'un corps privé de son âme et de son esprit ; jusqu'au point extrême de vouloir même l'euthanasier ! La médecine humaine aurait tellement progressé avec les vaccins, que son sens de l'éthique ne serait plus que celle de la médecine vétérinaire si chère à nos animaux de compagnie, car non remboursée par l'Assurance Maladie...

Il ne faut plus chercher à comprendre ce qui est totalement incompréhensible ! Les vaccins contre les manques d'écoute, de vision, de compréhension, des homo sapiens du monde moderne, ont bien été trouvés mais rarement effectués : c'est le temps consacré à l'écoute du patient pour une médecine sacerdotale de sagesse, d'amour et de respect de soi comme de l'autre ! La recherche de la rapidité de l'efficacité d'un vaccin biologique anti-viral n'est qu'une illusion, un sentiment,une pensée, une croyance de plus, une fausseté, responsable de détresses mentales, morales et physiques toujours plus mortifères à venir ; quand les virus mentaux, comportementaux, sociaux, économiques, ne sont toujours pas pris en considération, du fait de l'inconscience globale collective hallucinante...La haine, la violence qui pénètrent les esprits dégénérés, déstructurés, passés au scanner et aux caméras de la télésurveillance, en sont les conséquences !

L'humanité vidée, épuisée, déprimée est maintenant étouffée, asphyxiée, placée dans le coma profond de l'incompétence ! Nos sociétés « américanisées » à la Donald Trump n'ont pas fini de jouer à « Greys Anatomy »...Nos cultures, nos traditions familiales, socio- culturelles...seraient condamnées à disparaître plus vite sous les flammes de l'enfer de ce monde que la forêt amazonienne : le « poumon de la planète » ! Il est plus facile d'étouffer toute résistance, toute velléité salutaire véritable (complotiste), que d'arrêter les incendies de la violence humaine qui se multiplient.

Le pouvoir de quelques uns au chômage de leur cœur et de leur esprit, coupés de l'appel de philosophes, d'anthropologues, d'infectiologues, de médecins, au moins tout aussi brillants dans le combat pour le salut, mais pas que viral, de l'humanité, n'a de cesse depuis des mois que de vouloir, par leur inconscience totale mettre tous les autres au chômage existentiel, matériel. 

« La moutonnerie collective hallucinante » dans laquelle ils ont plongé les sociétés par l'oubli des données que leur avaient procuré des années d'études supérieures ne cessera pas de susciter la révolte et l'incompréhension de leurs collègues qui ont suivi la même formation. L'actuel, sans le spirituel, plonge l'homme dans l'oubli de ce qui était, de ce qui est et de ce qui sera ! Exception faite pour tous ceux qui persévèrent dans l'amour inconditionnel de la vie de l'humanité...

Le progressisme technologique, informatique, scientifique de « Big Brother » voudrait effacer de notre conscience le progrès de l'homme seul dans sa relation à lui, en vue de sa relation à l'autre…

Le double effet du manque d'action de nos différents gouvernants et de leur besoin compensatoire de se donner bonne conscience, entraînent et vont entraîner de plus en plus de réactions, de plus en plus violentes, chez des gens qui n'auront plus que la vie à perdre…Notre assurance serait donc d'avoir maintenant un « conseil de défense » qui ne pourrait que nous défendre de vivre en nous mettant sous la tutelle d'un virus ? Et certainement pas contre l'armée chinoise ou russe! A moins que les séances de couvre-feux ou de confinements soient destinées à nous préparer à la perte de la liberté des peuples, comme en Chine, de disposer d'eux-mêmes et de ne pas passer plus de 7 minutes sans être sous le contrôle d'une caméra de télésurveillance !

Nos sociétés plongées tout d'abord dans la détresse de la psychose maniaco- dépressive en voyant un nouveau virus leur arriver dessus à dos de pangolin ou transporté au-dessus des océans par une chauve-souris, se retrouvent depuis des mois et des mois dans la névrose obsessionnelle du virus, encore le virus, toujours le virus, que le virus. Alors comment sortir d'une telle prison de la santé, autrement que par la croyance à un vaccin, et par la paranoïa (la folie meurtrière) qui va gagner maintenant les esprits les plus fragiles qui ne seront pas passés par les urgences psychiatriques, ou qui n'auront pu être reçus, faute là-aussi du manque de structures et de personnels soignants , fatigués eux-aussi, déprimés par le combat incessant qu'il faut mener pour lutter tout le temps contre ce monde du chaos. « Dites la vérité ; toute la vérité ; que la vérité ! » : combien de personnels soignants arrêtés de travailler, en « burn-out », combien de suicides par jour maintenant, combien de cancéreux, de cardiaques, de victimes d'AVC, combien de consultations différées alors qu' elles seraient plus nécessaires maintenant que par le passé ...etc ?

Aurons-nous encore la force de résister comme en 40 aux confinements, aux couvre-feux, aux esprits collaborateurs des intérêts et des compromis, favorisant l'occupation de nos sociétés par la dictature d'un virus. Nos démocraties s'affaiblissent de jour en jour socialement, économiquement, politiquement, devenant de plus en plus invalides, désespérées de savoir que nous ne pourrons plus rendre hommage à la notre aux Invalides.

Si les services d'urgences sont débordés, saturés, si l'inquiétude règne dans les services de réanimation, c'est qu'il est plus que temps de se ressaisir, qu'il est absolument urgent, de se prendre en main, pour retrouver la profondeur de son âme et de son esprit, sa volonté, son courage, sa force, sa dignité de combattant pour une vie meilleure en soi, un monde meilleur autour de soi. Si les soignants n'ont pas été applaudis à l'automne comme au printemps, c'est bien pour nous signifier que nous sommes « assez grands » pour être les médecins de notre propre vie, remédier à tous nos maux, et ne pas avoir toujours besoin des docteurs ; sauf cas exceptionnels...

Le vaccin à rechercher depuis toujours n'est rien d'autre qu'une vie pure, simple, libérée, des miasmes polluants de la médiatisation diabolique diffusée en boucle pour nous faire tourner en rond dans la cour de notre vie volée, emprisonnée.

Arrêtons la danse des canards et du virus H1N1 : un coup je te rentre- un coup je te sors ! Un jour je te déconfine- un jour je te reconfine...merveilleuses perspectives de vie à venir. Le gavage de contre-sens, de désinformations, de faussetés, n'engraisseront pas nos foies de joie de vivre, de perspectives de vie meilleure, d'assurance pour les générations futures d'un monde meilleur !

Mais Noël nous appelle comme toujours à retrouver nos cœurs d'enfants, avec nos enfants et à travers l'émerveillement de nos enfants devant le sapin ou la crèche! Alors qu'ils arrêtent cette infantilisation de nos sociétés en nous faisant promettre « d'être sages » pour pouvoir sortir d'une telle absurdité ! « Assez ; suffit ! »

Laissons maintenant l'Esprit souverain de la belle humanité d'hier, d'aujourd'hui et de demain, enfanter dans nos cœurs libérés, purifiés, encore pleins de rêves, l'espérance d'une vie meilleure...

 

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