mercredi 9 décembre 2020

Pour un retour à la normalité

EN FINIR AVEC L' ABSURDITÉ…



Des siècles d'histoire de connaissance de la Médecine viennent d'être balayés des consciences de pratiquants formés pendant des années, parfois plus d'une décennie pour certains, au sein des facultés de médecine, par le nouveau culte universel de la virologie de la mort !

Les angoisses, les peurs, la remise en question des soignants censés être «  les gardiens du Temple », de la santé humaine, semblent avoir eu raison de leur compétence de cliniciens avertis et compétents...La focalisation des plus brillants intellectuels de la médecine conventionnelle (la seule qui soit convenue dans le giron des laboratoires pharmaceutiques) les ont amenés à cette fausse modestie qui les poussent régulièrement à reconnaître qu'ils ne savent pas ! Si un plombier ne sait pas s'occuper d'une chaudière, l'hiver risque d'être long dans la maison...

La science sans la conscience de chacun est complètement mortifère. Le docteur n'est pas le médecin ; ou n'est plus le médecin reconnu par toute une population qui se reconnaissait en lui ou en elle. L'amour de son prochain ne réapparaît plus dans les consciences des nouvelles générations que comme un fantôme d'être voués à la santé de tous.

Les docteurs d'aujourd'hui, ou ce qu'il en reste avec la désertification médicale qui ne cesse de s'accroître, ne pourront encore une fois, avec la pratique d'un nouveau vaccin, que rassurer pendant un temps des patients dont l'esprit aura été focalisé uniquement sur ce terrible virus, enfermé dans son risque le plus mortifère qui soit ; bien plus que les infarctus, les cancers, les dépressions suicidaires, les maladies chroniques évolutives même lorsqu'elles touchent nos enfants !

Alors,« Aux innocents les mains pleines ; mais à ceux qui sont éclairés, rien ne sera pardonné ! ». Le Pardon c'est la conversion au baptême, à la communion, à la confirmation, à l'amitié, au mariage. Les bergers, les pasteurs, les sages, les maîtres,les guides, disparaissent de plus en plus des consciences en plein brouillard de la moutonnerie collective du tout sécuritaire du « raisonnable ». Mais est-ce bien raisonnable que d'épouser la vie en soi comme en l'autre, dans l'amitié ou le mariage, par les temps qui courent avec tous ces virus ? Est-ce bien raisonnable de partir sur les chemins de Jérusalem, de Compostelle, d'Assise, de Rome, de la Mecque, etc. pour se retrouver de plus en plus dans des impasses de la vie quotidienne ? Ce n'est effectivement pas raisonnable ; et même plus du tout raisonnable dans un monde qui a perdu totalement la logique, le bon sens, la raison d'une vieille humanité avec le Vieil Adam qui n'avait pas suffisamment veillé ! Le Nouvel Adam n'ayant pas accompli encore pleinement Son Œuvre avec une humanité entrée dans la froideur des relations humaines pour une glaciation totale de la vie des futures générations, compensatoire du réchauffement de la planète par son exploitation. L'homme accomplit de plus en plus d'exploits sur le plan matériel et de moins en moins sur le plan spirituel, pour causes: il ne peut « servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent ! » ( St Paul). « L'homme extérieur court à sa ruine ; l'homme intérieur se renouvelle sans cesse » (Du même auteur!). «  La multiplication des pains » se fera attendre ; l'heure est à la multiplication des Judas ! Le nombre de suicides à venir est effrayant...


Tout ce temps passé, toute cette énergie dépensée, à combattre une pandémie fantôme de plus, ne se retrouvera pas dans la reconstruction d'une société de plus en plus en péril, en exil du cœur et de l'esprit de chaque membre qui la constitue. Une telle allégation ne repose, non pas sur des courbes interprétées par le chant de sirènes, mais par le constat du nombre de morts que chacun peut faire dans ses connaissances personnelles comme journalistiques, sportives ou artistiques !

Comment dès lors, avec tous ces morts jonchant les sols de nos villes, nos campagnes, nos montagnes, expliquer cette « mascarade » qui perdure ? Ce qui demeure, ce qui s'aggrave de jour en jour, et que cette médiatisation virale est venue mettre en évidence, c'est la faillite de nos institutions républicaines qui ont développées cette psychose, transformée en névrose obsessionnelle, et demain en paranoïa, en folie meurtrière !

Nos vies asphyxiées depuis des mois par la propagande dictatoriale d'un virus qui a pris le pouvoir sur tous les autres (qui n'étaient qu'aggravants de comorbidités et pourtant tout aussi mortifères) ne respirent plus la joie de vivre. Comment expliquer une telle faillite à nos enfants et aux générations futures ?


Le retour à la normalité pour tous ne peut donc se faire que par la conscience professionnelle des médecins libéraux, appelés habituellement à faire des diagnostics selon leur compétence clinique ; les examens complémentaires comme la nécessité d'hospitalisations ne se faisant que devant l'aggravation du tableau clinique originel.

Tout le temps consacré déjà à la poursuite de ce virus, qui nous fait faire un véritable jeu de piste pour nous perdre dans la forêt des insouciances, des inconsciences,des incompétences, nous amène avec la proximité de Noël, à rejouer au Petit Poucet, et à remettre dans nos esprits quelques « cailloux », quelques pierres vivantes (quelques esprits éclairés), quelques paroles de sagesse et d'amour universelles, pour retrouver le chemin de notre intériorité, de notre propre (pure et simple) conscience.

C'est pourquoi le progressisme technologique que prône la plupart des responsables politiques, sans la capacité de réorientation constante de l'homme au cœur de lui-même, est infantilisation sacrificielle de sa vie. La vie n'étant plus le Bien sacré, la Matière devient le tombeau de l'âme et de l'esprit de l'homme...


Le remède à la « peur de l'avoir » est de répondre à l'appel à être : à être en soi, avec soi comme avec l'autre, pour soi comme pour l'autre…

C'est la seule véritable «  politique » de la santé pour que chacun soit le médecin de sa vie en combattant tous les virus mentaux, comportementaux, en lui comme autour de lui, pour ne pas avoir « besoin » de docteurs et finir tous à l’hôpital, en EHPAD, victimes de toutes les insuffisances possibles et inimaginables, ou au cimetière plus tôt que prévu ! L'absence d'écoute, de vision, de compréhension de chacun, de ce qui est juste et bon d'être, de dire, de faire, le manque de temps consacré à rendre notre monde meilleur, a créé depuis des générations des déserts conjugaux, familiaux, sociétaux, des manques d'interlocuteurs véritables, valables…La dégénérescence, la décadence de notre humanité en est la conséquence et malheureusement la preuve.


C'est l'Homme, d'hier, d'aujourd'hui et de demain, au cœur de lui-même qui voit toujours l'Amour triompher de la Mort...De s'aimer cela nous rend service et ça rend service à tout le monde . Alors, arrêtons de discuter ! Il est urgent de se rendre service pour ne pas avoir peur de se retrouver aux services des urgences du malheur de l'homme qui aurait perdu la raison, son intelligence pure et simple, sa conscience propre. N'allons pas chercher ailleurs que dans nos cœurs, car le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas : le vaccin à tous nos maux c'est l'amour ! La médecine, comme tout autre mode d'expression, n'échappe pas à cette Vérité en l'Homme pour l'Homme. Retourner à son cœur et ne plus s'en séparer est la garantie, car la source, de la vie infinie et éternelle !


 

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