LA
VÉRITÉ … SI JE MENS !
« Dites la vérité,
toute la vérité, rien que la vérité ! Levez la main
droite et dites je le jure ! » Le droit républicain
l'ordonne ; la vie de la république l'exige…
A moins que la République
et ses fameuses Liberté- Égalité – Fraternité aient bien
disparus corps et biens dans les eaux du déluge de la dictature d'un
virus et de toutes ses chinoiseries ?
Mais un virus qui ne date
pas d'aujourd'hui, ni lui ni les autres, mais que l'humanité tout
entière ou presque, rendue subitement consciente de ce « seul
et véritable » danger, voudrait empêcher de circuler en se
privant de libertés acquises par les combats sanglants souvent de
ses ancêtres.
Un véritable suicide
sectaire collectif programmé par le nouveau guru planétaire :
le dictateur chinois ! (Références : « comment
marche la Chine » Envoyé spécial du 29/04/2020, et « la
Réouverture des routes de la soie » d'Antenne 2 du 01/07/2020)
A l'image des fromages de
nos régions, dont les croûtes sont recouvertes de germes qui
participent à leur affinage, et auxquels les américains préfèrent
des produits pasteurisés recouverts d'emballages de synthèse, nos
consciences seraient aseptisées par le port d'un masque dès le plus
jeune âge, par l'utilisation d'un gel hydroalcoolique qui devrait
s'étendre à l'ensemble du corps et pas seulement des mains comme
pour les rentrées aux blocs opératoires, et enfin par une
distanciation sociale garantie par la notion de confinements
successifs, sorte de nouvelle version labyrinthique de Thésée et
du minotaure (mi-homme, mi-animal), mais sans fil d'Ariane pour
pouvoir nous recentrer sur nous !
Car il faudrait maintenant
que chacun écoute son propre cœur, c'est-à-dire sa propre
conscience, pour compter les milliers de morts (les centaines
suffirait) qu'il aurait perdus en quelques mois parmi ses proches !
Mais ce serait un trop beau
cadeau pour ce Noël qui s'annonce, de sortir d'un état de guerre à
laquelle on a joué pendant des mois. Les uns en collaborateurs,
d'autres en morts de peurs ; et enfin quelques uns seulement en
résistants… « L'erreur est humaine » ! Mais
qui, parmi les princes de ce monde, aura l'humilité de le voir, de
le reconnaître ?
A l'heure où « les
français parlent aux français » nous ne savons pas encore si
le nombre de personnes aux urgences ou en services de réanimation
est plus nombreux cette année que l'an dernier, qu'il y a 2 ans ou
peut-être même qu' il y a 10 ans ? Certainement que non !
Puisque nous n'avions jamais vécu la notion de couvre-feu sans
soldats défilant dans nos villes ou nos campagnes ; et encore
moins d'enfermement dans nos maisons transformées en « prisons
de la santé »!
L’affaiblissement de la
France sur le plan économique, politique et social ne lui permettra
pas de résister aux vagues de médiatisation diabolique bien plus
importantes que celles du Vendée-Globe ! Car elles submergent
les âmes et les esprits du vent violent de l'incompréhension totale
de ce qui se passe.
Avec la promotion depuis le
printemps du petit écran du télé travail, du télé enseignement,
de la télé médecine, le jour ; du grand écran le soir ou le
dimanche ; il nous faut craindre maintenant « l'écran
total » des relations humaines !
La messe semble être
dite : Pâques n'a pas eu sa fête ; Noël ne l'aura pas
non plus !
Fini la fausse chrétienté
qui n'a pas aimé son prochain comme soi-même...vive le faux
Islam du Commandement de Dieu : « Tu ne tueras
point »!!! Le culte de la virologie de la mort a touché depuis
trop longtemps les âmes et les esprits pour ne pas vouloir détruire
les corps!
Que le Ministre de « la
santé » qui a pour mission de protéger l'Assurance Maladie,
aille visiter maintenant les hôpitaux psychiatriques dans des villes
de France, des régions où il y a 20 fois plus de psychiatres que de
pneumologues ! D'une France déjà arrêtée de plus en plus de
travailler, assistée, psychiatrisée…
Il verra que les honnêtes
gens sont bien à nouveau confinés, mais que tous les bandits ne
sont pas emprisonnés (uniquement par manque de moyens de la police
et de la justice) et que tous les êtres présentant des troubles
psychiatriques majeurs ne sont pas enfermés faute de personnels
soignants ; car là, il y aurait de quoi avoir souvent et
véritablement peur s'il n'y avait encore le financement possible de
toutes les camisoles chimiques.
Qu'il visite aussi les
écoles ou l'enseignement devient de plus en plus « secondaire »,
avec la nécessité des mesures dites « sanitaires » ;
qu'il explique le pourquoi du développement croissant d'enfants
autistes, psychotiques, déstructurés de plus en plus par l'absence
de structures familiales, sociales...
Une France abandonnée à
la désertification médicale depuis plusieurs décennies et qui se
retrouve en fin de cycle humanitaire car fatiguée, épuisée,
déprimée, par des contraintes financières et maintenant sanitaires
qui étouffent la pureté et la simplicité de vivre. De toujours
constater les conséquences sans s'attaquer aux causes profondes du
mal par la responsabilisation de chacun, fait que la situation est de
pire en pire et l'avenir, s'il yen a un, de plus en plus compromis !
Le rôle du médecin était, et serait normalement de continuer à
veiller à ce que ses patients prennent toujours le chemin de la
nécessité de la vie, de l'évolution mentale, comportementale,
physique, et non pas uniquement aujourd'hui de porter un masque sur
la figure...censé rassurer tout le monde.
Quand un Président, un
gouvernement, s'attaque aux médecines naturelles qui garantissent la
santé depuis des siècles, certaines des millénaires, pour
privilégier une médecine strictement chimique dont certains
progrès, avec la science humaine, n'expliquent pas qu 'elle
soit galvaudée, il doit expliquer maintenant comment il entend
maintenir la santé économique, politique et sociale dans notre
pays !
Le bruit assourdissant des
cris d'alarme des médecins urgentistes ou réanimateurs sont les
cris de détresse du « grand corps malade médical », et
qui seraient définitivement condamnés à assumer toutes les
conséquences de causes qui auraient dues être traitées en amont
par une véritable médecine sacerdotale de la compétence clinique,
après tant d'études « supérieures » ; évitant
ainsi les besoins croissants d'examens complémentaires ou
d'hospitalisations abusives...De déplacer les problèmes, ou encore
pire de les occulter, ne les a jamais résolus !
Les politiques vaccinales
ou masquées des différents ministres de la santé qui se succèdent
sur des trônes éphémères continuent de plonger la population dans
la psychose maniaco-dépressive, maintenant aujourd'hui la névrose
obsessionnelle du virus,encore le virus, toujours le virus et plus
que le virus, en attendant la paranoïa collective, la folie
suicidaire et meurtrière !
La détresse mentale,
morale, financière de tous les pays à laquelle participe bien sûr
la France par solidarité, mais surtout par perte de la mémoire
gaullienne de la souveraineté nationale, fait qu'il n'y aura pas
assez de jeux de Monopoly pour tout le monde...la BPCE en sait
quelque chose : la nouvelle donne virale a balayé d'un revers
de main la nécessité de respecter le P.I.B de chacun des pays de la
communauté ; ce qui les arrange bien !
Les démocraties basées
sur la liberté-l'égalité et la fraternité se retrouvent confinées
dans la peur de la mort, ayant abandonné le sens de la vie :
celui de la transcendance. Le choix unique de l'horizontalité, d'une
existence strictement matérielle, financière, relative aux autres,
par rapport aux autres, a détruit, une fois de plus, le sens de la
souveraineté nationale basée sur le souverain bien : non pas
le droit, mais le pouvoir de disposer de sa capacité retrouvée à
vivre en soi comme avec l'autre pour l'autre.La liberté n'est
toujours pas le fruit de la libération !
Alors à qui profite le
crime, quand des millions de gens partout dans le monde, en
France comme ailleurs, sont sacrifiés, assassinés sur l'autel du
consumérisme de la mondialisation? La théorie du complot dans la
bouche de braves gens, esclaves des dires de la médiatisation
diabolique du politiquement, du médicalement, de
l'intellectuellement correct, n'est que le fruit du manque
d'enseignement et donc de connaissance de la Parole universelle de
sagesse, d'amour et de respect, au sein des familles...des
synagogues, des églises, des mosquées, des temples bouddhistes,
confucianistes...et bien sûr de son vécu. Car « les paroles
sans les actes ne sont rien ! » C'est la force de la
Parole, sa vérité, qui chassent les craintes et les peurs des
esprits même les plus faibles ; Elle est l'accompagnement
nécessaire à la réalisation de la vie de chacun.
La disparition de la
structure familiale,l'absence de pères et donc de repères, de
mères, de matrices de vie infinie et éternelle, met à la rue des
enfants qui plongent encore plus dans l'océan de la négativité de
ce monde et se retrouvent sans cesse à la merci de faux-frères, de
faux prédicateurs et de leurs égos destructeurs.
Une véritable démocratie
ne s'est jamais bâtie ou reconstruite sur la crainte, mais sur la
volonté de chacun de vivre…
Qui maintenant aura la
volonté politique de renoncer à être le champion du culte de la
mort et du confinement, dans une société vidée de son humanité?
Mystère ???
Alors « la vérité
si je mens » : en fait, plus je mens et plus j'ai
l'impression de détenir la vérité…
Je sais maintenant que si
les disciples avaient reçu à temps le vaccin contre le tétanos, le
Christ ne serait pas mort parce que les clous étaient rouillés ;
je sais aussi que Bouddha restait assis en méditation toute la
journée parce qu'il était poliomyélitique et que compte tenu de la
misère des peuples orientaux l'épidémie continue de se propager;
je sais donc maintenant que le vaccin contre le « roi virus
couronné », comme avec celui de la grippe, me redonnera le
goût, que j'avais perdu, de respirer à nouveau l'odeur des cheveux
de mes petits enfants ; de retrouver le sens de la liberté, de
la fraternité, de la vie familiale, que De Gaulle avait fui à
Londres, préférant déjà la médiatisation radiophonique au
contact d'une foule parisienne en plein délire sur les Champs
Élysées...Je connais la nécessité d’entraînements durs avant
un match capital, même dans un stade vidé de toute humanité ou
presque, quand les médias télévisuelles, celles-là,arrivent à
surprendre encore le bonheur de jouer ensemble ; au point, et ce
qui est une honte aux yeux de tout le monde, de même
s 'embrasser...Alors merci au confinement, au couvre-feu, de
bien vouloir nous rappeler les heures sombres de ce qu'était encore
la République avant l'arrivée de la dictature de ce virus, qui avec
beaucoup de compassion, nous prépare du mieux qu'il peut au défilé
devant nos portes et nos fenêtres de l'armée chinoise…
Alors surtout que la France
ne se réveille pas ! Qu'elle continue à sortir masquée pour
qu'on ne puisse plus jamais la reconnaître car le progrès
technologique du Géant chinois Huawei n'apprécierait pas que l'on
détruise la nouvelle forteresse de Vauban qu'est le cœur de l'homme
encore sensé, qui bâtit sa vie selon la parole des sages et des
maîtres et non sur les dires d'intellectuels infectés par tous les
virus du culte de la mort…
L'heure est grave aussi
pour André Comte Sponville de voir des anciens, qui n'ont jamais été
sages, de préférer s'occuper de leur petite santé plutôt que de
l'éducation et de l'avenir de leurs enfants. Dommage pour lui de ne
pas reconnaître les bienfaits du confinement, l'interdiction (alors
qu'il est interdit d'interdire depuis Mai 68) de vivre purement et
simplement, de ne pas se rendre à l'évidence que notre Pape est
toujours pris en otage et que la rançon à payer est de faire
disparaître complètement Noël comme Pâques avec toute la
communauté chrétienne de notre société existentielle, matérielle.
Le Christ n'est toujours pas prêt, comme nous l'a annoncé Saint
Paul, « d'ouvrir nos tombeaux pour en libérer nos âmes et nos
esprits enfermées dans des terres d'exil... »
Au« Vive la
République ; vive la France » qui était le cri du
rassemblement de la volonté politique, s'est substitué depuis
quelques mois « Vive le virus ; à mort la France » .
Mais une mort économique, politique, sociale, douce, paisible,et
agréable, qui a pu faire dire un jour au Christ, quand il était
encore là : « Laissez les morts enterrer les morts ! »
La vérité si je
mens...suite au prochain épisode.