lundi 23 novembre 2020

Apocalypse Now

CHERCHER L' ERREUR



Plus de 9 mois après, une pandémie « virale » plonge notre monde dans une crise sanitaire qui est depuis le début une crise humanitaire étiquetée « sanitaire » !

Le culte de la virologie de la mort qui fait que l'homo sapiens du XXIe siècle s'intéresse plus à ce qui est mortifère qu'à ce qui est vivant, ferait que tous les virus mentaux, affectifs, comportementaux responsables de la psychiatrisation croissante de nos sociétés plongées dans un « burn out » refoulé à la frontière du suicide, se seraient enrichis d'un virus, cette fois biologique, supplémentaire.

L'erreur est humaine ...mais jamais à ce point ! L'immense majorité de nos concitoyens sont rentrés dans une moutonnerie collective hallucinante, ne pouvant plus suivre les esprits éclairés du monde médical, anthropologique ou philosophique...Depuis longtemps le manque de valeurs spirituelles et morales qui font le sens et la beauté de l'humanité ont disparus des foyers familiaux, classés maintenant très souvent en « clusters », ne serait-ce que potentiels.

La logique, le bon sens, la raison se sont effacés des consciences pour voir la plupart de nos proches se plier aux injonctions de hauts fonctionnaires de l’État qui ne cherchent encore et toujours qu'à se donner bonne conscience tout en ne faisant que répandre la terreur. La peur de la mort d'un virus supplémentaire occulterait toujours 9 mois après l'immense désir de vivre.

Le but recherché par la diabolisation médiatique de ce monde est de diviser, de séparer, d'opposer,en maintenant les consciences dans l'incapacité à avoir une vision holistique (globale) des choses, en ne voyant les événements que par le petit bout de la lorgnette ! Comment avoir oublié que tout est parti, il y a seulement quelques mois, de la Chine ? Et pourquoi ne pas regarder maintenant le vécu de la Chine qui semble, sans avoir été vaccinée (car elle nous aurait déjà vendu le vaccin à moins d'être plongée dans un égoïsme sans nom !), être guérie de tous les maux qui continuent à gangrener nos sociétés occidentales.

Le remède à tous nos maux serait donc la dictature ? Ou bien le travail ? Aurions-nous besoin d'un vaccin biologique pour nous redonner la volonté, le courage, la dignité d'apporter notre soutien à toute l'économie de notre pays ? Devrions-nous remercier le laboratoire Pfizer de s'être penché sur notre triste état de santé, sans se pencher sur le triste état de la santé économique, politique et sociale de son pays, les États Unis ?

Malheureusement pour nous, dans un monde gouverné par le « par rapport » et non dans le « pour » les générations futures, nous ne pouvons pas regarder la paille dans l’œil du voisin avec la poutre qui est dans le notre ! Jusqu'à quand devrons-nous veiller à ce que nos enfants sachent davantage le nombre de gens aux urgences, en réanimations ou aux cimetières, que leurs poésies ou leurs leçons ?

Pour remédier à tout cela, nous le savons, nous les « adultes », que nous devons faire remonter à nos responsables de l'administration, aux responsables de la politique, le nombre de morts que nous connaissons en particulier parmi nos proches ; sans oublier le nombre de morts communs à tout le monde dus à la pandémie très grave parmi les journalistes, les artistes, les sportifs, les entraîneurs, les managers, les restaurateurs dont les brigades on été décimées malgré le port du masque dans les laboratoires des cuisines et le savon de Marseille (ça va de soi!) troqué pour du gel hydroalcoolique.

Nos journaux télévisés bien disciplinés nous montrent très bien que l'apocalypse économique et sociale devant laquelle nous nous retrouvons aujourd'hui de par notre passivité et notre reniement depuis des mois ne sont que de banales fatalités, qui ne passent qu'au second plan après l'annonce mortifère de nos services médicaux !

Il est évident aussi qu'il est difficile de demander à nos concitoyens d'écouter des philosophes éclairés, parce qu'ils seraient passés de mode, dans un monde où l'existentialisme, le matérialisme, l'individualisme prévaudrait sur l'intérêt commun et universel. La richesse des uns participe toujours aussi bien à l'oubli de la misère des autres ! Les mouvements de solidarité dans l'éphémère ne symbolisent que très peu ou très rarement la solidité, que confèrent les valeurs spirituelles et morales, essentielles et éternelles. Au moindre coup de vent, à la moindre tempête, même si ils se répètent, tout est à recommencer.

A l'écoute de ses paroles il est « facile » de comprendre que le remède à tous nos maux aujourd'hui, comme par le passé, c'est l'amour ; c'est-à-dire l'action qui est salutaire face à l'inertie, la passivité, le renoncement…

Il ne s'agit pas de rentrer dans le débat des «  pour » ou des «  contre » les vaccins ; Au contraire il faut en sortir une bonne fois pour toutes ! Il s'agit pour cela de savoir quels sont les vaccins qui nous restent à faire pour sauver notre corps, quand nous effectuons au quotidien tous les autres vaccins dans notre cœur et notre esprit, contre les manques d'écoute, de vision, de compréhension, de sagesse, d'amour de soi comme de l'autre, de volonté, de dignité...Autant de virus complètement totalement mortifères !

Alors oui ! Plus que jamais notre humanité, notre société,notre monde se retrouve à l'heure de l'unité ; mais une unité non pas virtuelle soumise aux dires des uns ou des autres, ballottée par la bipolarité politicienne d'un monde du chaos, mais réelle à l'écoute de son propre cœur et de son propre esprit. Une véritable unité rétablie en soi, pour soi, comme pour l'autre, qui seule, établira chaque jour davantage une unité en l'autre, avec l'autre, pour l'autre.

C'est le sens de la véritable médecine qui permet à chacun de remédier à tous les problèmes économiques, politiques et sociaux du pays auquel il appartient. Le retour à la souveraineté nationale est à ce prix : c'est celui de la conversion qui nous a toujours évitée de marcher sur la tête en retrouvant le Terre Sainte de notre être intérieur! C'est « la guerre des étoiles », et pas que des restaurateurs ...alors que la Force soit avec nous tous !

 

jeudi 19 novembre 2020

Enfin passer des ténèbrse à la lumière

« LE GRAND NOIR »


Après le grand bleu, la grande bleue , le grand vert de l'Espérance, voici la promotion depuis des mois du dernier grand film d'horreur : « le grand noir » !

Sa nouveauté, son originalité, c'est qu'il sort en exclusivité et en boucle dans tous les foyers du monde entier sans avoir besoin d'aller dans les salles de cinéma même si elles sont vides ; la « petite sortie du samedi soir » en amoureux serait trop dangereuse pour les règles de la distanciation sociale de la déshumanisation…

Mais ce qui est rassurant, comme dans l'ancien temps, c'est que nous avons un droit de regard sur le monde, avec des actualités, qui nous montrent la vaccination à outrance des pays sous-développés pour bien nous préparer à la vaccination intensive maintenant des pays sous-évolués.

Si nous ne sommes pas fatigués par tout le temps passé toute la journée devant le petit écran informatique du télé travail ou de la télé médecine, ou le nez collé sur nos smartphones, nous pourrons arriver assez tôt devant, cette fois, le grand écran pour ne pas louper le jeu télévisé du « compte est bon ». Car tout le monde peut y participer en restant bien installé dans son canapé à la romaine pour jouir du temps présent: il suffit de laisser les professionnels de l'audiovisuel vous rapporter le nombre de personnes aux urgences, en réanimation, ou à la morgue. Vous n'avez nul besoin de compter avec l’œil de la caméra de votre cœur, le nombre de morts que vous connaissez vous-mêmes parmi vos amis ou vos proches, le nombre de disparus de journalistes, de sportifs, d'artistes ; cela vous ferait trop peur, ou pourrait même vous déprimer, alors que vous êtes en pleine forme grâce à la valeur ajoutée de la vie par le confinement.

Si malgré le fait que maintenant vous êtes très occupés (en zone libre) par le virus et donc empêchés de vivre et de travailler comme avant, s'il vous arrivait de vous ennuyer, vous pourriez avec vos enfants jouer à compter aussi le nombre de masques qui n'auraient pas été délivrés à temps, même si c'est pas évident quand on n'a pas toutes les données parce qu'ils n'auraient pas été donnés ; vous pourriez aussi les faire rire en leur montrant toutes les gesticulations censées faire peur au virus, alors que toutes les barrières de sécurité sanitaire n'avaient pas été encore mises. C'est à se demander d'ailleurs à quoi a servi l'invasion allemande en 40 et le défilé des SS dans les rues de nos villes et de nos villages lors de couvre-feux avec un ennemi qui se voyait malheureusement très bien, si nous ne prenons pas les mêmes mesures pour un ennemi encore pire puisqu'il ne se voit pas ? Ce qui pose un double problème : celui du confinement déjà dans notre propre négativité individuelle et collective, et celui du culte de la mort que la notion de pandémie virale est venue révéler ! Au culte de la vie dans nos assemblées constituantes de la république, associatives, religieuses, professionnelles...s'est substitué le culte de la désertification humaine et de la mort qu'elle entraîne.

Nous ne devons jamais cesser de remercier « le conseil de défense » avec de grands conseillers scientifiques qui savent maintenant que la science sans la conscience n'est que ruine de l'âme, de nous protéger si bien des risques extérieurs en nous enfermant dans nos maisons ; comme on mettrait en prison un bandit pour le protéger d'avoir dénoncé ses complices ! Il y aurait maintenant, dans ce monde dominé par la peur, trop de risques à libérer complètement et tout d'un coup les forces vives de notre pays. Ce ne serait pas sérieux et surtout pas responsable. Est-ce-que vous auriez déjà vu des bandes de gosses, de voyous tant qu'on y est, traîner dans la rue à des heures tardives ; et en plus un soir de Noël ou de 1er de l'an comme pour fêter le fait d'être encore là ? Non, bien sûr ! Alors, vous imaginez au niveau national, ou même international, la prise de responsabilité pour surveiller des adultes comme nous ? C'est purement impossible de se rendre compte de la volonté politique nécessaire.

Ne pleurons pas même si nous avons perdu notre travail, notre possibilité de profiter de la vie en couple, en famille ou entre amis...il y a bien une chose plus grave que tout cela : le Virus !!!

Mais heureusement qu'est arrivé, bien plus tôt que prévu, comme un cadeau de Noël: le Vaccin. Un vaccin qui ne devait être mis au point que dans plusieurs mois, peut-être pas avant l'automne prochain et qui est sorti du chapeau de la bienveillance d'un laboratoire pharmaceutique comme par enchantement. Merveille des merveilles, même pas 3 jours après, 4 autres laboratoires l'avaient eux aussi mis au point! Les mêmes laboratoires qui avaient fait dire à l'OMS en 2010, après avoir complètement affolé nos responsables de la santé, que la pandémie du virus H1N1 était terminée une fois tous les vaccins vendus aux différents gouvernements qui s'étaient empressés de les acheter. Vaccins qui ne sont pas restés dans des frigos mais dans des placards puisque personne ne les a reçus ; ce qui a entraîné bien sur là-aussi des milliers de morts. Il n'est donc nullement question de s'inquiéter sur la fiabilité de ce nouveau vaccin quand le Dr Michel Zaffran, directeur de programme à l'OMS annonce dans le Quotidien du Médecin du 18 septembre 2020 : « Contre la polio, il reste désormais à contrôler les flambées épidémiques liées à la souche vaccinale » . Mais ce qu'il a oublié de signaler c'est que le virus de la polio est un vieux virus par rapport à notre dernière nouveauté. Une sorte de téléphone mural par rapport à nos téléphones d'aujourd'hui sans fil ; Une sorte de virus pas très branché en quelque sorte sur ce qui se fait de mieux maintenant en la matière ! Avec ce nouveau vaccin révolutionnaire nous bénéficions de tout un tas d'applications contre le manque d'écoute, de vision, de compréhension de ce qui est juste et bon pour tous les pays touchés par la pandémie. Vous pouvez sûrement charger l'application contre la détresse inéluctable avec la perte d'emploi, de vie familiale, d'espérance de vie meilleure. L'application contre la dépression suicidaire demande par contre un abonnement particulier...compte tenu du fait que les psychiatres trop peu nombreux pour un pays où la joie de vivre fait recette dans ses restaurants étoilés, ne peuvent plus faire face à la demande exagérée de patients entretenus dans le besoin par toutes les politiques politiciennes électoralistes qui ont bien veillé à ce qu'ils ne soient pas élevés à la conscience de la nécessité...L’État providence est passé par là : la passivité a bien été privilégiée par rapport à l'activité. Le miracle des complémentaires de santé n'a pu s'accomplir et compenser la détérioration inéluctable de la Sécurité sociale transformée depuis longtemps en Assurance maladie, malgré l'augmentation croissante, de législature en législature, des impôts et des charges sociales. Le sens de la nécessité pour un homme comme pour une femme de se donner, pour donner au monde, le meilleur de soi-même, a été sacrifié sur l'autel des besoins électoralistes, de leurs illusions, de leurs promesses la plupart non-tenues par le non respect que « les paroles sans les actes ne sont rien »!


Alors comment remédier à tous ces maux multiples qui portent atteinte à la sérénité et à la paix de tout un peuple, de tout un pays ? Tout d'abord en arrêtant de ne faire que constater la perte de logique, de bon sens, de raison ; deuxièmement en arrêtant de dire : « oui, je sais, mais... » ; troisièmement en n' acceptant plus sa propre négativité, c'est-à-dire son inertie, sa passivité, son renoncement. C'est le sens de la justice dans sa relation à soi, dans sa relation à l'autre, qui évite le jugement, le mécontentement, le sentiment de haine et de violence. Car il suffit de se transformer pour que le monde se transforme autour de nous, selon la sagesse bouddhiste.

Il faut donc retourner à ce qui est la base de tout : la vie en soi, avec soi, pour soi comme pour l'autre. La société est une pyramide pointée vers le bas, vers la chute, vers l'enfer, quand on n'a ni Dieu ni maître, mais Satan pour maître dit St Augustin ; c'est une pyramide pointée vers le haut pour l'homme conscient que le Paradis sur terre c'est son cœur. C'est l'élévation spirituelle qui relève l'homme, son peuple, son pays, de la dégénérescence, décadence, déchéance programmée par l’intelligentsia de la finance d'hier comme d'aujourd'hui. C'est le rappel à l'ordre de St Paul : « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent ».

Alors « un seul être vous manque et tout est dépeuplé », comme De Gaulle, seul à Londres devant un journaliste de la BBC lui demandant, avec plus ou moins d'ironie : « Mais en quoi donc croyez-vous ? Et le Général de répondre en 3 choses : la liberté, Dieu et la France ! La foi, la fidélité à soi-même et au monde auquel on appartient, est la certitude que la justice divine triomphe toujours de la perversion diabolique de ce monde déchu. Le dernier homme politique accomplissant sa mission en reconnaissance à Dieu fut De Gaulle. La plupart des hommes politiques revendiquent sa paternité, même ne serait-ce que de manière éphémère ; l'heure du zapping oblige ! Et ce, qui que vous soyez !

C'est la résistance aux forces du Mal en soi qui mène au combat pour la libération et au salut de la nation mondiale. La peur est paralysante, terrifiante, mortifère. La volonté, le courage, la fidélité à soi-même, évite la trahison, le reniement, tout intérêt particulier compromettant la vie de toute la collectivité. Car l'idéal en dehors de tout, au-delà de tout, c'est la vie purement et simplement : le mouvement, le changement, l'évolution, la transformation croissante de chaque être en justice, bonté et vérité qui pénètre les cœurs, purifie les âmes et illumine les esprits des pauvres, des humbles...


Mais nous sommes dans une fin d'humanité et seuls quelques uns sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité !Le monde meilleur d'Aldous Huxley est en place ; tous les ingrédients sont réunis. Par l'affaiblissement des humains, leur surmédicalisation, leur peur mortifère dans tous les domaines, des déserts d'humanité sont apparus au sein des couples, des familles, de la société, depuis plusieurs décennies des systèmes compensatoires existentiels, matériels, pour avoir renié les valeurs spirituelles et morales qui faisaient l'unité entre les hommes. La division, la séparation et maintenant encore plus la distanciation, l'enfermement chez soi (le confinement), ont développé et aggravé l'absence de l'homme dans un monde au centre duquel il avait été placé à l'origine ! « L'homme extérieur court à sa ruine ; l'homme intérieur se renouvelle sans cesse » dit St Paul. La course au temps et à l'argent fait que l'homme a perdu son âme et son esprit, sa logique, son bon sens, sa raison...pour aujourd'hui ne plus avoir de temps ni d'argent pour créer et entretenir une vie d'homme, de femme, adulte,responsable…

Alors le virus circule et circulera toujours, les chinois quelques mois après nous le montre bien, ce qui ne les empêche pas de vivre c'est-à-dire de travailler ; et cela bien sûr parce qu'ils ont tous été vaccinés. « La vérité si je mens ... » Il suffit de leur demander gentiment. La France par contre, avec l'Europe tout entière est toujours endormie et pas prête à se réveiller !

L'humanité s'est arrêtée d'écouter, de voir, ce qui est juste et bon aujourd’hui et surtout pour les générations de demain . Le transhumanisme est là pour la remplacer.

Les humanoïdes ne seront pas arrêtés de travailler ni psychiatrisés : ils n'ont pas été programmés pour le burn out !

Les géants de l'informatique et de la finance savent bien faire la part entre les utiles et les inutiles...De toute manière, même si nos sociétés qui étaient industrialisées et qui n'enfantaient plus de générations futures si ce n'est avec l'aide de l'assistanat social en dehors de la pérennisation d'une humanité consciente de la nécessité, sont appelées à disparaître. L'empire technologique et informatique des « Big Brothers » s'en sont emparés et savent, en dehors de tout état d'âme,bien faire la part des choses entre les « utiles »encore et les « inutiles » .

Même qu'à l'écoute des chaînes audiovisuelles de la médiatisation diabolique de ce monde,mais que «  celui qui a des oreilles entendent » . L'Apocalypse de Jean est venue éveiller et élever l'esprit de l'homme à la Conscience Suprême ; Si les humains n'ouvrent pas les portes de leur cœur, s'ils ne retrouvent pas leur intégrité propre, personnelle, celles de leurs assemblées familiales, associatives, économiques et sociales resteront fermées ! Et certaines à tout jamais…

Si le virus circule toujours, arrêtons de le suivre à la trace ; les gens mourraient avant lui et pas qu'aux urgences ou en réanimation.

C'est une véritable politique de santé mentale, morale, et par voie de conséquence physique, par une vie pure et simple, qui fera que chacun redeviendra le médecin de sa propre vie pour ne plus avoir besoin de plus en plus de docteurs... et de penser qu'un vaccin lui permettrait de continuer à vivre. La conscience est propre, personnelle ; elle nous évite « toutes les souillures, flétrissures, ordures, de ce monde » comme le dit St Paul. La distanciation « relative », n'est qu'un leurre qui nous prépare à la venue des robots ou des humanoïdes, ou des services uniquement informatisés, qui ne nous serrerons plus jamais la min, ni ne nous embrasserons.


La prophétisation n'est qu'une vision au service de la force retrouvée en l'homme pour lutter contre ses propres faiblesses pour ne pas le retrouver toujours victime de manipulations mortifères...


 

dimanche 15 novembre 2020

Le désir d'un monde meilleur face à la théorie du complot

UN MONDE MEILLEUR…



Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley et la vision mortifère étatique de George Orwel sont arrivés sur nos antennes (Documentaire en fin de soirée sur Arte, du Mercredi 11 Novembre 2020) ; enfin, que sur celles qui peuvent apporter encore de la lumière aux heures tardives de la soirée, à des esprits « complotistes » d'avoir encore une conscience propre

L'enfermement de la population mondiale dans le concept viral depuis plusieurs mois, bientôt un an, semble se transformer en prison à vie de la santé économique, politique et sociale, de pays qui revendiquaient, il y a peu de temps encore, les principes démocratiques de  liberté, d'égalité et de fraternité . Le virus nous « occupe » tellement qu'on ne peut plus travailler.

Même nos églises (toutes nos assemblées) victimes elles aussi de la distanciation diabolique, ont été vidées du Commandement divin d'aimer son prochain comme soi-même et de l'Ordre intérieur que procure la Sagesse divine ! Avec un mètre de distance où est le Maître ? Qui est le maître de la Parole pour nous permettre d' embrasser la vie en soi comme en l'autre? Ne serait-il pas devenu lui-aussi, comme l'immense majorité, esclave des dires ?

C'est l'histoire d'un virus si bien médiatisé qu'il propagea une telle peur mortifère qu'elle détruit à travers les esprits les plus faibles, les plus insouciants, les plus inconscients, tout reste de logique et de bon sens. Qui pouvait imaginer qu'une propagande virale détruirait davantage de consciences humaines que l'explosion de trois centrales nucléaires, malgré la 1/ 2 vie des radiations, ne détruirait de corps ?

Jamais un virus n'avait été doté du pouvoir de l’intelligentsia de conseils scientifiques ! Ce qui explique en partie la focalisation des « responsables » de la crise sanitaire sur ce virus ! En quoi la détresse respiratoire due à un virus comme le SRAS, le virus H1N1, le virus influenza...serait uniquement à considérer en dehors de toutes les autres détresses mentales, morales, professionnelles, financières ? Depuis quand ne devraient être pris en considération que des milliers de morts d'un virus, qui ne serait que très souvent la valeur ajoutée à des cancers, des insuffisances cardiaques, respiratoires, des comorbidités comme le diabète,l'obésité, les faiblesses psychiques ou mentales, sans regarder les millions de morts déjà ou potentiels sur le plan économique et par voie de conséquence conjugal ou familial ? Que faudrait-il faire maintenant pour que cette névrose obsessionnelle s'arrête pour écouter le cri d'alarme d'un Boris Cyrulnik rappelant les effets irrémédiables du confinement d'enfants en Roumanie sur leur cerveau par le dictateur Ceauscu ? Il suffirait d'arrêter de suivre les « volontés »de ce virus toujours plus médiatisé, comme un chien qui aurait perdu la trace de son maître !

Depuis des générations, le manque de valeurs spirituelles et morales s'est retrouvé à la tête d'une armée de virus mentaux, comportementaux, qui ont déjà détruit bon nombre de couples, de familles, de relations sociales…

Les problèmes économiques du chômage ont été compensées, mais que pour certains et jusque-là tant bien que mal, par les mouvements d'argent sur les places financières. Ce n'est plus, comme à l'origine, le seul fruit du travail de l'homme qui lui permet de vivre en toute dignité ; le besoin de reconnaissance des uns se fait toujours au détriment des autres : Ce qui est compensé d'un côté, est décompensé de l'autre. « L'amour est fort comme l a mort »(Ct, 8) : comme la mort nous coupe de la vie, l'amour nous coupe de la mort !

Alors le travail d'introspection de chacun, et son choix de vivre ou de mourir, doit pouvoir lui éviter un deuxième Nuremberg de la crise sanitaire ! Mais vivre c'est changer, évoluer pour ne pas se mortifier à l'ombre du fait comme dit Sénèque et avec lui George Orwel ; d'un fait qui est encore virtuel pour tous les habitants de la planète, mais bien réel pour le peuple chinois. Le Président Macron nous a bien signifié que nous étions en état de guerre il y a plusieurs mois ; mais son hommage rendu au Général de Gaulle était bien de réveiller la conscience de son peuple devant l'évidence qu'il faut rentrer plus que jamais en résistance et d'arrêter ce « courage fuyons » devant un infiniment petit qui terrorise nos enfants jusque dans les cours d'écoles de notre belle et souveraine éducation nationale. A quand les caricatures de « Big Brother » Microsoft, Google, Apple, Samsung, Huawei...autrement dit maintenant les nôtres ?


Mais c'est vrai que la planète ne peut pas nourrir tout le monde !Voilà ce qu'il est commun d'entendre ; et puis nous sommes aussi trop nombreux !Alors que nous savons depuis toujours qu'il n'y a pas d'amour sans partage...D'ailleurs,il faut bien que l'amour ait complètement disparu du cœur de chacun pour accepter de s'entendre dire qu'après Pâques, nous fêterons Noël, grâce au Grand Comité scientifique, sur les tablettes de nos smartphones. Le gouvernement va certainement nous promettre de brancher sur internet tous les anciens de nos familles en E.P.A.H.D d'ici Noël en leur donnant des cours intensifs d'informatique de rattrapage?

Nous sommes toujours capables de rendre hommage aux morts, sans plus pouvoir être capables de rendre hommage aux vivants…


« Le meilleur des mondes » serait donc toujours programmé, comme l'avait craint Aldous Huxley, au fond de l'esprit de quelques uns, magnats de la finance et de la technologie. Le meilleur des mondes ne sera plus celui auquel tout le monde pourrait participer, chacun à sa façon ; mais celui du pouvoir de quelques uns à l'encontre de tous les autres. La révolte des « sans papiers » (des sans cartes de visite dans les hautes sphères de la finance) en ferait des complotistes contre le développement du transhumanisme ? Non, des résistants, effarés de voir que l'humanité héritée de nos ancêtres serait appelée à disparaître ! Le développement de l'eugénisme dans certains laboratoires, du développement d'humanoïdes toujours plus performants en remplacement d'une humanité arrêtée de travailler, psychiatrisée, de la stérilisation de populations par la programmation de leur disparition… ne seraient que le fruit de leur imagination aux yeux de ceux qui se sont emparés du pouvoir ? Des millions de gens qui ne croient pas, ne pensent pas, mais qui sont, ou seraient pour d'autres, déjà sacrifiés : c'est le « massacre des saints innocents » des générations futures...

Mais pour les pauvres gens que nous sommes encore aujourd'hui, quelle est encore et toujours la solution à tous nos maux d'hier, comme aujourd'hui et demain ? C'est l'amour de soi comme de l'autre, qui nous donne toujours la volonté,le courage, la force, la dignité de vivre. C'est l'amour qui empêche de nous laisser dire que l'on est trop vieux, trop fatigué, trop faible, trop incompétent...pour participer chacun à notre niveau à la vie de ce monde. Alors il faut mener ce combat intérieur contre nos faiblesses qui voudraient que l'on soit tous emportés par les vagues du déluge qui s'abattent sur notre humanité par la médiatisation diabolique de ce monde. Retrouvons le souverain bien de l'esprit sur le corps et chaque pays retrouvera sa souveraineté nationale pour éviter sa descente aux enfers !

Nous sommes depuis plusieurs années rentrés dans la 3e guerre mondiale ! Mais une guerre qui échappe à la conscience pure et simple de gens qui ne voient plus avec leur cœur d'homme et de femme responsables,mais à travers l’œil de la technologie moderne qui leur est imposée. Ils ne voient pas lors de leur confinement, de leur enfermement médiatico-économico-politico-médical, le numéro du tatouage sur leur avant-bras, encore moins leur fichage informatique ou leur reconnaissance faciale qui se prépare. A l’œil du Grand Architecte de l'Univers dans le cœur de l'Homme s'est substitué la caméra de surveillance. Nos petites vies égotiques nous rendent aveugles et sourds pour comprendre que nos frères chinois connaissent déjà tout ça depuis des mois.

Leur contrat social avec la dictature chinoise fait que pour être attirée dans les filets de petits plaisirs matériels, la population chinoise doit renoncer à son entière liberté.

«On ne donne pas le pain des enfants aux petits chiens ; aux petits chiens on leur laisse les miettes tombées sur le sol de la table des maîtres ! »Si l'homme ne retourne

pas à sa divinité, à sa capacité à créer en lui, autour de lui une vie meilleure, il tombera dans son animalité ; et son espèce, comme d'autres espèces, sera appelée à disparaître...Nous ne pouvons pas nous conduire en animaux privés de raison en rentrant dans une moutonnerie collective hallucinante, avec de tels loups dans la bergerie comme Hitler en 40 ou le dictateur chinois en 2020 !

Ce virus médiatique, qui est parti de Chine, n'a pu se propager au reste du monde que selon la volonté de son dictateur et de son parti. «  La dictature de ce virus et de toutes ses chinoiseries », qui ne sont que les faiblesses de chacun à tous les niveaux de notre société, vient nous préparer au pire à venir : des millions de morts de la misère économique et sociale consécutive à l'impossibilité de travailler pour vivre.

Les complotistes en 40 c'étaient les résistants ; en 45, ceux qui ont survécu ; les sauveurs de la France ! Et à la libération tout le monde de crier : «  vive de Gaulle, vive la résistance, vive la république de la liberté- de l'égalité- de la fraternité, vive la France »!

Un complot contre une dictature, contre un système qui vous empêche de vivre, serait-il au XXIe siècle plus que jamais un complot ? Ou alors de la résistance ? L'histoire le dira...et la justice divine le signifiera encore une fois !


Alors jusqu'à quand allons-nous voir notre vie conditionnée uniquement par le nombre de personnes aux urgences ou en réanimation ; nos enfants empêchés de vivre leur jeunesse qu'ils ne retrouveront pas ; nos petits enfants privés de leurs grand-parents, de leur affection, de leur sagesse, de leur expérience salutaire ? Jusqu'à quand nos vies familiales et amicales seront amputées du bonheur « du vivre ensemble » dans une société gangrenée par une médiatisation de plus en plus diabolique, c'est-à-dire qui divise et sépare ? Jusqu'à quand devrons-nous compter le nombre de vagues que fait un virus dans l'océan de la négativité de ce monde ? Autant, à en croire les experts de ce monde en ruine, compter les vagues de l'Océan sans aller sur la plage pour préserver la distanciation...Où sont passés les commandants, les capitaines qui étaient censés dirigés le bateau France et le mener jusqu' à bon port ? Pourquoi avoir changé de cap technologique après tant de discussions dans l'hexagone pour expliquer aux français les bons choix politiques pour un pays devant se préparer à la modernité ? En attendant un meilleur avenir promis depuis plusieurs années, le présent en tout cas n'est pas des plus réjouissants. Mais c'est le virus qui est responsable de tout cela et certainement pas de quelque crédit qui ait pu lui être accordé ! Les crédits qui ont été accordés une bonne fois pour toutes en regard de « la déesse de la santé virale », et qui seront remboursés ou pas, ne l'auraient été qu'à des personnes privées du droit de travailler.

Alors,à partir de quand les journaux télévisés, en toute honnêteté et véritable indépendance, nous montrerons les courbes de faillite industrielle, des petits commerces « non indispensables », en attendant celles de la faillite bancaire voilée par le grand accord sur un emprunt européen qui ne devrait pas attendre longtemps son repreneur toujours occupé, pour l'instant, à la réouverture des routes de la soie (Antenne 2, Delahousse le 1er juillet)

De voter des crédits, même au niveau européen, montre que malheureusement certains ne sont pas du tout résignés à ne plus accorder de crédit à ce qui dépasse la compréhension d'autres médecins, d'infectiologues avertis que nous ne connaissions pas, ni les uns ni les autres, mais que nous découvrons comme notoriétés internationales rejetées aujourd'hui, comme De Gaulle en 40, sur le banc des accusés du complotisme.

Quand des petits enfants arrivent à dire encore : « ce n'est rien, c'est pas grave ! », et que les êtres retrouvant leur spiritualité redeviennent les médecins de leur propre vie, la force d'aimer des petits comme des grands chassera de leur vie le spectre de la mort qu'a toujours voulu véhiculer le «  virus de la peur »: c'est le combat pour la liberté, pour la vie…

Maintenant il est facile (humour) de comprendre que le « virus c'est bien l'homme » comme l'a avancé BHL. C'est ainsi qu' il est nécessaire de pardonner à certains leur errance « parce qu'ils ne savent pas, c'est-à-dire ne mesurent pas ce qu'ils font »...et que « celui qui se juge avec rigueur et sévérité, dit Confucius, évite les mécontentements ! » La vie c'est l'au-delà du fait pour tout le monde !!!

Rien n'est plus sacré que la vie ! Alors arrêtons dès maintenant le culte de la mort. Laissons tous les virus, comme par le passé, faire leur vie ; Nous pourrons continuer à faire la nôtre... « Point de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint Augustin au Ve siècle ;ce qui nous évitera de continuer à nous faire la guerre au sein des chapelles de la médecine humaine. Nous avons beaucoup de retard sur l'horaire, mais nous pouvons encore, et donc nous devons, prendre le train de la libération de tous nos maux en marche...



 

mercredi 11 novembre 2020

le mensonge de l'éphémère ou la vérité éternelle...

LA VÉRITÉ … SI JE MENS !


« Dites la vérité, toute la vérité, rien que la vérité !  Levez la main droite et dites je le jure ! » Le droit républicain l'ordonne ; la vie de la république l'exige…

A moins que la République et ses fameuses Liberté- Égalité – Fraternité aient bien disparus corps et biens dans les eaux du déluge de la dictature d'un virus et de toutes ses chinoiseries ?

Mais un virus qui ne date pas d'aujourd'hui, ni lui ni les autres, mais que l'humanité tout entière ou presque, rendue subitement consciente de ce « seul et véritable » danger, voudrait empêcher de circuler en se privant de libertés acquises par les combats sanglants souvent de ses ancêtres.

Un véritable suicide sectaire collectif programmé par le nouveau guru planétaire : le dictateur chinois ! (Références : « comment marche la Chine » Envoyé spécial du 29/04/2020, et « la Réouverture des routes de la soie » d'Antenne 2 du 01/07/2020)

A l'image des fromages de nos régions, dont les croûtes sont recouvertes de germes qui participent à leur affinage, et auxquels les américains préfèrent des produits pasteurisés recouverts d'emballages de synthèse, nos consciences seraient aseptisées par le port d'un masque dès le plus jeune âge, par l'utilisation d'un gel hydroalcoolique qui devrait s'étendre à l'ensemble du corps et pas seulement des mains comme pour les rentrées aux blocs opératoires, et enfin par une distanciation sociale garantie par la notion de confinements successifs, sorte de nouvelle version labyrinthique de Thésée et du minotaure (mi-homme, mi-animal), mais sans fil d'Ariane pour pouvoir nous recentrer sur nous !

Car il faudrait maintenant que chacun écoute son propre cœur, c'est-à-dire sa propre conscience, pour compter les milliers de morts (les centaines suffirait) qu'il aurait perdus en quelques mois parmi ses proches !

Mais ce serait un trop beau cadeau pour ce Noël qui s'annonce, de sortir d'un état de guerre à laquelle on a joué pendant des mois. Les uns en collaborateurs, d'autres en morts de peurs ; et enfin quelques uns seulement en résistants… « L'erreur est humaine » ! Mais qui, parmi les princes de ce monde, aura l'humilité de le voir, de le reconnaître ?

A l'heure où « les français parlent aux français » nous ne savons pas encore si le nombre de personnes aux urgences ou en services de réanimation est plus nombreux cette année que l'an dernier, qu'il y a 2 ans ou peut-être même qu' il y a 10 ans ? Certainement que non ! Puisque nous n'avions jamais vécu la notion de couvre-feu sans soldats défilant dans nos villes ou nos campagnes ; et encore moins d'enfermement dans nos maisons transformées en « prisons de la santé »!

L’affaiblissement de la France sur le plan économique, politique et social ne lui permettra pas de résister aux vagues de médiatisation diabolique bien plus importantes que celles du Vendée-Globe ! Car elles submergent les âmes et les esprits du vent violent de l'incompréhension totale de ce qui se passe.

Avec la promotion depuis le printemps du petit écran du télé travail, du télé enseignement, de la télé médecine, le jour ; du grand écran le soir ou le dimanche ; il nous faut craindre maintenant « l'écran total » des relations humaines !

La messe semble être dite : Pâques n'a pas eu sa fête ; Noël ne l'aura pas non plus !

Fini la fausse chrétienté qui n'a pas aimé son prochain comme soi-même...vive le faux Islam du Commandement de Dieu : « Tu ne tueras point »!!! Le culte de la virologie de la mort a touché depuis trop longtemps les âmes et les esprits pour ne pas vouloir détruire les corps!


Que le Ministre de « la santé » qui a pour mission de protéger l'Assurance Maladie, aille visiter maintenant les hôpitaux psychiatriques dans des villes de France, des régions où il y a 20 fois plus de psychiatres que de pneumologues ! D'une France déjà arrêtée de plus en plus de travailler, assistée, psychiatrisée…

Il verra que les honnêtes gens sont bien à nouveau confinés, mais que tous les bandits ne sont pas emprisonnés (uniquement par manque de moyens de la police et de la justice) et que tous les êtres présentant des troubles psychiatriques majeurs ne sont pas enfermés faute de personnels soignants ; car là, il y aurait de quoi avoir souvent et véritablement peur s'il n'y avait encore le financement possible de toutes les camisoles chimiques.

Qu'il visite aussi les écoles ou l'enseignement devient de plus en plus « secondaire », avec la nécessité des mesures dites « sanitaires » ; qu'il explique le pourquoi du développement croissant d'enfants autistes, psychotiques, déstructurés de plus en plus par l'absence de structures familiales, sociales...


Une France abandonnée à la désertification médicale depuis plusieurs décennies et qui se retrouve en fin de cycle humanitaire car fatiguée, épuisée, déprimée, par des contraintes financières et maintenant sanitaires qui étouffent la pureté et la simplicité de vivre. De toujours constater les conséquences sans s'attaquer aux causes profondes du mal par la responsabilisation de chacun, fait que la situation est de pire en pire et l'avenir, s'il yen a un, de plus en plus compromis ! Le rôle du médecin était, et serait normalement de continuer à veiller à ce que ses patients prennent toujours le chemin de la nécessité de la vie, de l'évolution mentale, comportementale, physique, et non pas uniquement aujourd'hui de porter un masque sur la figure...censé rassurer tout le monde.

Quand un Président, un gouvernement, s'attaque aux médecines naturelles qui garantissent la santé depuis des siècles, certaines des millénaires, pour privilégier une médecine strictement chimique dont certains progrès, avec la science humaine, n'expliquent pas qu 'elle soit galvaudée, il doit expliquer maintenant comment il entend maintenir la santé économique, politique et sociale dans notre pays !

Le bruit assourdissant des cris d'alarme des médecins urgentistes ou réanimateurs sont les cris de détresse du « grand corps malade médical », et qui seraient définitivement condamnés à assumer toutes les conséquences de causes qui auraient dues être traitées en amont par une véritable médecine sacerdotale de la compétence clinique, après tant d'études « supérieures » ; évitant ainsi les besoins croissants d'examens complémentaires ou d'hospitalisations abusives...De déplacer les problèmes, ou encore pire de les occulter, ne les a jamais résolus !

Les politiques vaccinales ou masquées des différents ministres de la santé qui se succèdent sur des trônes éphémères continuent de plonger la population dans la psychose maniaco-dépressive, maintenant aujourd'hui la névrose obsessionnelle du virus,encore le virus, toujours le virus et plus que le virus, en attendant la paranoïa collective, la folie suicidaire et meurtrière !


La détresse mentale, morale, financière de tous les pays à laquelle participe bien sûr la France par solidarité, mais surtout par perte de la mémoire gaullienne de la souveraineté nationale, fait qu'il n'y aura pas assez de jeux de Monopoly pour tout le monde...la BPCE en sait quelque chose : la nouvelle donne virale a balayé d'un revers de main la nécessité de respecter le P.I.B de chacun des pays de la communauté ; ce qui les arrange bien !

Les démocraties basées sur la liberté-l'égalité et la fraternité se retrouvent confinées dans la peur de la mort, ayant abandonné le sens de la vie : celui de la transcendance. Le choix unique de l'horizontalité, d'une existence strictement matérielle, financière, relative aux autres, par rapport aux autres, a détruit, une fois de plus, le sens de la souveraineté nationale basée sur le souverain bien : non pas le droit, mais le pouvoir de disposer de sa capacité retrouvée à vivre en soi comme avec l'autre pour l'autre.La liberté n'est toujours pas le fruit de la libération !

Alors à qui profite le crime, quand des millions de gens partout dans le monde, en France comme ailleurs, sont sacrifiés, assassinés sur l'autel du consumérisme de la mondialisation? La théorie du complot dans la bouche de braves gens, esclaves des dires de la médiatisation diabolique du politiquement, du médicalement, de l'intellectuellement correct, n'est que le fruit du manque d'enseignement et donc de connaissance de la Parole universelle de sagesse, d'amour et de respect, au sein des familles...des synagogues, des églises, des mosquées, des temples bouddhistes, confucianistes...et bien sûr de son vécu. Car « les paroles sans les actes ne sont rien ! » C'est la force de la Parole, sa vérité, qui chassent les craintes et les peurs des esprits même les plus faibles ; Elle est l'accompagnement nécessaire à la réalisation de la vie de chacun.

La disparition de la structure familiale,l'absence de pères et donc de repères, de mères, de matrices de vie infinie et éternelle, met à la rue des enfants qui plongent encore plus dans l'océan de la négativité de ce monde et se retrouvent sans cesse à la merci de faux-frères, de faux prédicateurs et de leurs égos destructeurs.


Une véritable démocratie ne s'est jamais bâtie ou reconstruite sur la crainte, mais sur la volonté de chacun de vivre…

Qui maintenant aura la volonté politique de renoncer à être le champion du culte de la mort et du confinement, dans une société vidée de son humanité? Mystère ???


Alors « la vérité si je mens » : en fait, plus je mens et plus j'ai l'impression de détenir la vérité…

Je sais maintenant que si les disciples avaient reçu à temps le vaccin contre le tétanos, le Christ ne serait pas mort parce que les clous étaient rouillés ; je sais aussi que Bouddha restait assis en méditation toute la journée parce qu'il était poliomyélitique et que compte tenu de la misère des peuples orientaux l'épidémie continue de se propager; je sais donc maintenant que le vaccin contre le « roi virus couronné », comme avec celui de la grippe, me redonnera le goût, que j'avais perdu, de respirer à nouveau l'odeur des cheveux de mes petits enfants ; de retrouver le sens de la liberté, de la fraternité, de la vie familiale, que De Gaulle avait fui à Londres, préférant déjà la médiatisation radiophonique au contact d'une foule parisienne en plein délire sur les Champs Élysées...Je connais la nécessité d’entraînements durs avant un match capital, même dans un stade vidé de toute humanité ou presque, quand les médias télévisuelles, celles-là,arrivent à surprendre encore le bonheur de jouer ensemble ; au point, et ce qui est une honte aux yeux de tout le monde, de même s 'embrasser...Alors merci au confinement, au couvre-feu, de bien vouloir nous rappeler les heures sombres de ce qu'était encore la République avant l'arrivée de la dictature de ce virus, qui avec beaucoup de compassion, nous prépare du mieux qu'il peut au défilé devant nos portes et nos fenêtres de l'armée chinoise…

Alors surtout que la France ne se réveille pas ! Qu'elle continue à sortir masquée pour qu'on ne puisse plus jamais la reconnaître car le progrès technologique du Géant chinois Huawei n'apprécierait pas que l'on détruise la nouvelle forteresse de Vauban qu'est le cœur de l'homme encore sensé, qui bâtit sa vie selon la parole des sages et des maîtres et non sur les dires d'intellectuels infectés par tous les virus du culte de la mort…

L'heure est grave aussi pour André Comte Sponville de voir des anciens, qui n'ont jamais été sages, de préférer s'occuper de leur petite santé plutôt que de l'éducation et de l'avenir de leurs enfants. Dommage pour lui de ne pas reconnaître les bienfaits du confinement, l'interdiction (alors qu'il est interdit d'interdire depuis Mai 68) de vivre purement et simplement, de ne pas se rendre à l'évidence que notre Pape est toujours pris en otage et que la rançon à payer est de faire disparaître complètement Noël comme Pâques avec toute la communauté chrétienne de notre société existentielle, matérielle. Le Christ n'est toujours pas prêt, comme nous l'a annoncé Saint Paul, « d'ouvrir nos tombeaux pour en libérer nos âmes et nos esprits enfermées dans des terres d'exil... »

Au« Vive la République ; vive la France » qui était le cri du rassemblement de la volonté politique, s'est substitué depuis quelques mois « Vive le virus ; à mort la France » . Mais une mort économique, politique, sociale, douce, paisible,et agréable, qui a pu faire dire un jour au Christ, quand il était encore là : « Laissez les morts enterrer les morts ! »

La vérité si je mens...suite au prochain épisode.