jeudi 19 novembre 2020

Enfin passer des ténèbrse à la lumière

« LE GRAND NOIR »


Après le grand bleu, la grande bleue , le grand vert de l'Espérance, voici la promotion depuis des mois du dernier grand film d'horreur : « le grand noir » !

Sa nouveauté, son originalité, c'est qu'il sort en exclusivité et en boucle dans tous les foyers du monde entier sans avoir besoin d'aller dans les salles de cinéma même si elles sont vides ; la « petite sortie du samedi soir » en amoureux serait trop dangereuse pour les règles de la distanciation sociale de la déshumanisation…

Mais ce qui est rassurant, comme dans l'ancien temps, c'est que nous avons un droit de regard sur le monde, avec des actualités, qui nous montrent la vaccination à outrance des pays sous-développés pour bien nous préparer à la vaccination intensive maintenant des pays sous-évolués.

Si nous ne sommes pas fatigués par tout le temps passé toute la journée devant le petit écran informatique du télé travail ou de la télé médecine, ou le nez collé sur nos smartphones, nous pourrons arriver assez tôt devant, cette fois, le grand écran pour ne pas louper le jeu télévisé du « compte est bon ». Car tout le monde peut y participer en restant bien installé dans son canapé à la romaine pour jouir du temps présent: il suffit de laisser les professionnels de l'audiovisuel vous rapporter le nombre de personnes aux urgences, en réanimation, ou à la morgue. Vous n'avez nul besoin de compter avec l’œil de la caméra de votre cœur, le nombre de morts que vous connaissez vous-mêmes parmi vos amis ou vos proches, le nombre de disparus de journalistes, de sportifs, d'artistes ; cela vous ferait trop peur, ou pourrait même vous déprimer, alors que vous êtes en pleine forme grâce à la valeur ajoutée de la vie par le confinement.

Si malgré le fait que maintenant vous êtes très occupés (en zone libre) par le virus et donc empêchés de vivre et de travailler comme avant, s'il vous arrivait de vous ennuyer, vous pourriez avec vos enfants jouer à compter aussi le nombre de masques qui n'auraient pas été délivrés à temps, même si c'est pas évident quand on n'a pas toutes les données parce qu'ils n'auraient pas été donnés ; vous pourriez aussi les faire rire en leur montrant toutes les gesticulations censées faire peur au virus, alors que toutes les barrières de sécurité sanitaire n'avaient pas été encore mises. C'est à se demander d'ailleurs à quoi a servi l'invasion allemande en 40 et le défilé des SS dans les rues de nos villes et de nos villages lors de couvre-feux avec un ennemi qui se voyait malheureusement très bien, si nous ne prenons pas les mêmes mesures pour un ennemi encore pire puisqu'il ne se voit pas ? Ce qui pose un double problème : celui du confinement déjà dans notre propre négativité individuelle et collective, et celui du culte de la mort que la notion de pandémie virale est venue révéler ! Au culte de la vie dans nos assemblées constituantes de la république, associatives, religieuses, professionnelles...s'est substitué le culte de la désertification humaine et de la mort qu'elle entraîne.

Nous ne devons jamais cesser de remercier « le conseil de défense » avec de grands conseillers scientifiques qui savent maintenant que la science sans la conscience n'est que ruine de l'âme, de nous protéger si bien des risques extérieurs en nous enfermant dans nos maisons ; comme on mettrait en prison un bandit pour le protéger d'avoir dénoncé ses complices ! Il y aurait maintenant, dans ce monde dominé par la peur, trop de risques à libérer complètement et tout d'un coup les forces vives de notre pays. Ce ne serait pas sérieux et surtout pas responsable. Est-ce-que vous auriez déjà vu des bandes de gosses, de voyous tant qu'on y est, traîner dans la rue à des heures tardives ; et en plus un soir de Noël ou de 1er de l'an comme pour fêter le fait d'être encore là ? Non, bien sûr ! Alors, vous imaginez au niveau national, ou même international, la prise de responsabilité pour surveiller des adultes comme nous ? C'est purement impossible de se rendre compte de la volonté politique nécessaire.

Ne pleurons pas même si nous avons perdu notre travail, notre possibilité de profiter de la vie en couple, en famille ou entre amis...il y a bien une chose plus grave que tout cela : le Virus !!!

Mais heureusement qu'est arrivé, bien plus tôt que prévu, comme un cadeau de Noël: le Vaccin. Un vaccin qui ne devait être mis au point que dans plusieurs mois, peut-être pas avant l'automne prochain et qui est sorti du chapeau de la bienveillance d'un laboratoire pharmaceutique comme par enchantement. Merveille des merveilles, même pas 3 jours après, 4 autres laboratoires l'avaient eux aussi mis au point! Les mêmes laboratoires qui avaient fait dire à l'OMS en 2010, après avoir complètement affolé nos responsables de la santé, que la pandémie du virus H1N1 était terminée une fois tous les vaccins vendus aux différents gouvernements qui s'étaient empressés de les acheter. Vaccins qui ne sont pas restés dans des frigos mais dans des placards puisque personne ne les a reçus ; ce qui a entraîné bien sur là-aussi des milliers de morts. Il n'est donc nullement question de s'inquiéter sur la fiabilité de ce nouveau vaccin quand le Dr Michel Zaffran, directeur de programme à l'OMS annonce dans le Quotidien du Médecin du 18 septembre 2020 : « Contre la polio, il reste désormais à contrôler les flambées épidémiques liées à la souche vaccinale » . Mais ce qu'il a oublié de signaler c'est que le virus de la polio est un vieux virus par rapport à notre dernière nouveauté. Une sorte de téléphone mural par rapport à nos téléphones d'aujourd'hui sans fil ; Une sorte de virus pas très branché en quelque sorte sur ce qui se fait de mieux maintenant en la matière ! Avec ce nouveau vaccin révolutionnaire nous bénéficions de tout un tas d'applications contre le manque d'écoute, de vision, de compréhension de ce qui est juste et bon pour tous les pays touchés par la pandémie. Vous pouvez sûrement charger l'application contre la détresse inéluctable avec la perte d'emploi, de vie familiale, d'espérance de vie meilleure. L'application contre la dépression suicidaire demande par contre un abonnement particulier...compte tenu du fait que les psychiatres trop peu nombreux pour un pays où la joie de vivre fait recette dans ses restaurants étoilés, ne peuvent plus faire face à la demande exagérée de patients entretenus dans le besoin par toutes les politiques politiciennes électoralistes qui ont bien veillé à ce qu'ils ne soient pas élevés à la conscience de la nécessité...L’État providence est passé par là : la passivité a bien été privilégiée par rapport à l'activité. Le miracle des complémentaires de santé n'a pu s'accomplir et compenser la détérioration inéluctable de la Sécurité sociale transformée depuis longtemps en Assurance maladie, malgré l'augmentation croissante, de législature en législature, des impôts et des charges sociales. Le sens de la nécessité pour un homme comme pour une femme de se donner, pour donner au monde, le meilleur de soi-même, a été sacrifié sur l'autel des besoins électoralistes, de leurs illusions, de leurs promesses la plupart non-tenues par le non respect que « les paroles sans les actes ne sont rien »!


Alors comment remédier à tous ces maux multiples qui portent atteinte à la sérénité et à la paix de tout un peuple, de tout un pays ? Tout d'abord en arrêtant de ne faire que constater la perte de logique, de bon sens, de raison ; deuxièmement en arrêtant de dire : « oui, je sais, mais... » ; troisièmement en n' acceptant plus sa propre négativité, c'est-à-dire son inertie, sa passivité, son renoncement. C'est le sens de la justice dans sa relation à soi, dans sa relation à l'autre, qui évite le jugement, le mécontentement, le sentiment de haine et de violence. Car il suffit de se transformer pour que le monde se transforme autour de nous, selon la sagesse bouddhiste.

Il faut donc retourner à ce qui est la base de tout : la vie en soi, avec soi, pour soi comme pour l'autre. La société est une pyramide pointée vers le bas, vers la chute, vers l'enfer, quand on n'a ni Dieu ni maître, mais Satan pour maître dit St Augustin ; c'est une pyramide pointée vers le haut pour l'homme conscient que le Paradis sur terre c'est son cœur. C'est l'élévation spirituelle qui relève l'homme, son peuple, son pays, de la dégénérescence, décadence, déchéance programmée par l’intelligentsia de la finance d'hier comme d'aujourd'hui. C'est le rappel à l'ordre de St Paul : « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent ».

Alors « un seul être vous manque et tout est dépeuplé », comme De Gaulle, seul à Londres devant un journaliste de la BBC lui demandant, avec plus ou moins d'ironie : « Mais en quoi donc croyez-vous ? Et le Général de répondre en 3 choses : la liberté, Dieu et la France ! La foi, la fidélité à soi-même et au monde auquel on appartient, est la certitude que la justice divine triomphe toujours de la perversion diabolique de ce monde déchu. Le dernier homme politique accomplissant sa mission en reconnaissance à Dieu fut De Gaulle. La plupart des hommes politiques revendiquent sa paternité, même ne serait-ce que de manière éphémère ; l'heure du zapping oblige ! Et ce, qui que vous soyez !

C'est la résistance aux forces du Mal en soi qui mène au combat pour la libération et au salut de la nation mondiale. La peur est paralysante, terrifiante, mortifère. La volonté, le courage, la fidélité à soi-même, évite la trahison, le reniement, tout intérêt particulier compromettant la vie de toute la collectivité. Car l'idéal en dehors de tout, au-delà de tout, c'est la vie purement et simplement : le mouvement, le changement, l'évolution, la transformation croissante de chaque être en justice, bonté et vérité qui pénètre les cœurs, purifie les âmes et illumine les esprits des pauvres, des humbles...


Mais nous sommes dans une fin d'humanité et seuls quelques uns sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité !Le monde meilleur d'Aldous Huxley est en place ; tous les ingrédients sont réunis. Par l'affaiblissement des humains, leur surmédicalisation, leur peur mortifère dans tous les domaines, des déserts d'humanité sont apparus au sein des couples, des familles, de la société, depuis plusieurs décennies des systèmes compensatoires existentiels, matériels, pour avoir renié les valeurs spirituelles et morales qui faisaient l'unité entre les hommes. La division, la séparation et maintenant encore plus la distanciation, l'enfermement chez soi (le confinement), ont développé et aggravé l'absence de l'homme dans un monde au centre duquel il avait été placé à l'origine ! « L'homme extérieur court à sa ruine ; l'homme intérieur se renouvelle sans cesse » dit St Paul. La course au temps et à l'argent fait que l'homme a perdu son âme et son esprit, sa logique, son bon sens, sa raison...pour aujourd'hui ne plus avoir de temps ni d'argent pour créer et entretenir une vie d'homme, de femme, adulte,responsable…

Alors le virus circule et circulera toujours, les chinois quelques mois après nous le montre bien, ce qui ne les empêche pas de vivre c'est-à-dire de travailler ; et cela bien sûr parce qu'ils ont tous été vaccinés. « La vérité si je mens ... » Il suffit de leur demander gentiment. La France par contre, avec l'Europe tout entière est toujours endormie et pas prête à se réveiller !

L'humanité s'est arrêtée d'écouter, de voir, ce qui est juste et bon aujourd’hui et surtout pour les générations de demain . Le transhumanisme est là pour la remplacer.

Les humanoïdes ne seront pas arrêtés de travailler ni psychiatrisés : ils n'ont pas été programmés pour le burn out !

Les géants de l'informatique et de la finance savent bien faire la part entre les utiles et les inutiles...De toute manière, même si nos sociétés qui étaient industrialisées et qui n'enfantaient plus de générations futures si ce n'est avec l'aide de l'assistanat social en dehors de la pérennisation d'une humanité consciente de la nécessité, sont appelées à disparaître. L'empire technologique et informatique des « Big Brothers » s'en sont emparés et savent, en dehors de tout état d'âme,bien faire la part des choses entre les « utiles »encore et les « inutiles » .

Même qu'à l'écoute des chaînes audiovisuelles de la médiatisation diabolique de ce monde,mais que «  celui qui a des oreilles entendent » . L'Apocalypse de Jean est venue éveiller et élever l'esprit de l'homme à la Conscience Suprême ; Si les humains n'ouvrent pas les portes de leur cœur, s'ils ne retrouvent pas leur intégrité propre, personnelle, celles de leurs assemblées familiales, associatives, économiques et sociales resteront fermées ! Et certaines à tout jamais…

Si le virus circule toujours, arrêtons de le suivre à la trace ; les gens mourraient avant lui et pas qu'aux urgences ou en réanimation.

C'est une véritable politique de santé mentale, morale, et par voie de conséquence physique, par une vie pure et simple, qui fera que chacun redeviendra le médecin de sa propre vie pour ne plus avoir besoin de plus en plus de docteurs... et de penser qu'un vaccin lui permettrait de continuer à vivre. La conscience est propre, personnelle ; elle nous évite « toutes les souillures, flétrissures, ordures, de ce monde » comme le dit St Paul. La distanciation « relative », n'est qu'un leurre qui nous prépare à la venue des robots ou des humanoïdes, ou des services uniquement informatisés, qui ne nous serrerons plus jamais la min, ni ne nous embrasserons.


La prophétisation n'est qu'une vision au service de la force retrouvée en l'homme pour lutter contre ses propres faiblesses pour ne pas le retrouver toujours victime de manipulations mortifères...


 

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