dimanche 15 novembre 2020

Le désir d'un monde meilleur face à la théorie du complot

UN MONDE MEILLEUR…



Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley et la vision mortifère étatique de George Orwel sont arrivés sur nos antennes (Documentaire en fin de soirée sur Arte, du Mercredi 11 Novembre 2020) ; enfin, que sur celles qui peuvent apporter encore de la lumière aux heures tardives de la soirée, à des esprits « complotistes » d'avoir encore une conscience propre

L'enfermement de la population mondiale dans le concept viral depuis plusieurs mois, bientôt un an, semble se transformer en prison à vie de la santé économique, politique et sociale, de pays qui revendiquaient, il y a peu de temps encore, les principes démocratiques de  liberté, d'égalité et de fraternité . Le virus nous « occupe » tellement qu'on ne peut plus travailler.

Même nos églises (toutes nos assemblées) victimes elles aussi de la distanciation diabolique, ont été vidées du Commandement divin d'aimer son prochain comme soi-même et de l'Ordre intérieur que procure la Sagesse divine ! Avec un mètre de distance où est le Maître ? Qui est le maître de la Parole pour nous permettre d' embrasser la vie en soi comme en l'autre? Ne serait-il pas devenu lui-aussi, comme l'immense majorité, esclave des dires ?

C'est l'histoire d'un virus si bien médiatisé qu'il propagea une telle peur mortifère qu'elle détruit à travers les esprits les plus faibles, les plus insouciants, les plus inconscients, tout reste de logique et de bon sens. Qui pouvait imaginer qu'une propagande virale détruirait davantage de consciences humaines que l'explosion de trois centrales nucléaires, malgré la 1/ 2 vie des radiations, ne détruirait de corps ?

Jamais un virus n'avait été doté du pouvoir de l’intelligentsia de conseils scientifiques ! Ce qui explique en partie la focalisation des « responsables » de la crise sanitaire sur ce virus ! En quoi la détresse respiratoire due à un virus comme le SRAS, le virus H1N1, le virus influenza...serait uniquement à considérer en dehors de toutes les autres détresses mentales, morales, professionnelles, financières ? Depuis quand ne devraient être pris en considération que des milliers de morts d'un virus, qui ne serait que très souvent la valeur ajoutée à des cancers, des insuffisances cardiaques, respiratoires, des comorbidités comme le diabète,l'obésité, les faiblesses psychiques ou mentales, sans regarder les millions de morts déjà ou potentiels sur le plan économique et par voie de conséquence conjugal ou familial ? Que faudrait-il faire maintenant pour que cette névrose obsessionnelle s'arrête pour écouter le cri d'alarme d'un Boris Cyrulnik rappelant les effets irrémédiables du confinement d'enfants en Roumanie sur leur cerveau par le dictateur Ceauscu ? Il suffirait d'arrêter de suivre les « volontés »de ce virus toujours plus médiatisé, comme un chien qui aurait perdu la trace de son maître !

Depuis des générations, le manque de valeurs spirituelles et morales s'est retrouvé à la tête d'une armée de virus mentaux, comportementaux, qui ont déjà détruit bon nombre de couples, de familles, de relations sociales…

Les problèmes économiques du chômage ont été compensées, mais que pour certains et jusque-là tant bien que mal, par les mouvements d'argent sur les places financières. Ce n'est plus, comme à l'origine, le seul fruit du travail de l'homme qui lui permet de vivre en toute dignité ; le besoin de reconnaissance des uns se fait toujours au détriment des autres : Ce qui est compensé d'un côté, est décompensé de l'autre. « L'amour est fort comme l a mort »(Ct, 8) : comme la mort nous coupe de la vie, l'amour nous coupe de la mort !

Alors le travail d'introspection de chacun, et son choix de vivre ou de mourir, doit pouvoir lui éviter un deuxième Nuremberg de la crise sanitaire ! Mais vivre c'est changer, évoluer pour ne pas se mortifier à l'ombre du fait comme dit Sénèque et avec lui George Orwel ; d'un fait qui est encore virtuel pour tous les habitants de la planète, mais bien réel pour le peuple chinois. Le Président Macron nous a bien signifié que nous étions en état de guerre il y a plusieurs mois ; mais son hommage rendu au Général de Gaulle était bien de réveiller la conscience de son peuple devant l'évidence qu'il faut rentrer plus que jamais en résistance et d'arrêter ce « courage fuyons » devant un infiniment petit qui terrorise nos enfants jusque dans les cours d'écoles de notre belle et souveraine éducation nationale. A quand les caricatures de « Big Brother » Microsoft, Google, Apple, Samsung, Huawei...autrement dit maintenant les nôtres ?


Mais c'est vrai que la planète ne peut pas nourrir tout le monde !Voilà ce qu'il est commun d'entendre ; et puis nous sommes aussi trop nombreux !Alors que nous savons depuis toujours qu'il n'y a pas d'amour sans partage...D'ailleurs,il faut bien que l'amour ait complètement disparu du cœur de chacun pour accepter de s'entendre dire qu'après Pâques, nous fêterons Noël, grâce au Grand Comité scientifique, sur les tablettes de nos smartphones. Le gouvernement va certainement nous promettre de brancher sur internet tous les anciens de nos familles en E.P.A.H.D d'ici Noël en leur donnant des cours intensifs d'informatique de rattrapage?

Nous sommes toujours capables de rendre hommage aux morts, sans plus pouvoir être capables de rendre hommage aux vivants…


« Le meilleur des mondes » serait donc toujours programmé, comme l'avait craint Aldous Huxley, au fond de l'esprit de quelques uns, magnats de la finance et de la technologie. Le meilleur des mondes ne sera plus celui auquel tout le monde pourrait participer, chacun à sa façon ; mais celui du pouvoir de quelques uns à l'encontre de tous les autres. La révolte des « sans papiers » (des sans cartes de visite dans les hautes sphères de la finance) en ferait des complotistes contre le développement du transhumanisme ? Non, des résistants, effarés de voir que l'humanité héritée de nos ancêtres serait appelée à disparaître ! Le développement de l'eugénisme dans certains laboratoires, du développement d'humanoïdes toujours plus performants en remplacement d'une humanité arrêtée de travailler, psychiatrisée, de la stérilisation de populations par la programmation de leur disparition… ne seraient que le fruit de leur imagination aux yeux de ceux qui se sont emparés du pouvoir ? Des millions de gens qui ne croient pas, ne pensent pas, mais qui sont, ou seraient pour d'autres, déjà sacrifiés : c'est le « massacre des saints innocents » des générations futures...

Mais pour les pauvres gens que nous sommes encore aujourd'hui, quelle est encore et toujours la solution à tous nos maux d'hier, comme aujourd'hui et demain ? C'est l'amour de soi comme de l'autre, qui nous donne toujours la volonté,le courage, la force, la dignité de vivre. C'est l'amour qui empêche de nous laisser dire que l'on est trop vieux, trop fatigué, trop faible, trop incompétent...pour participer chacun à notre niveau à la vie de ce monde. Alors il faut mener ce combat intérieur contre nos faiblesses qui voudraient que l'on soit tous emportés par les vagues du déluge qui s'abattent sur notre humanité par la médiatisation diabolique de ce monde. Retrouvons le souverain bien de l'esprit sur le corps et chaque pays retrouvera sa souveraineté nationale pour éviter sa descente aux enfers !

Nous sommes depuis plusieurs années rentrés dans la 3e guerre mondiale ! Mais une guerre qui échappe à la conscience pure et simple de gens qui ne voient plus avec leur cœur d'homme et de femme responsables,mais à travers l’œil de la technologie moderne qui leur est imposée. Ils ne voient pas lors de leur confinement, de leur enfermement médiatico-économico-politico-médical, le numéro du tatouage sur leur avant-bras, encore moins leur fichage informatique ou leur reconnaissance faciale qui se prépare. A l’œil du Grand Architecte de l'Univers dans le cœur de l'Homme s'est substitué la caméra de surveillance. Nos petites vies égotiques nous rendent aveugles et sourds pour comprendre que nos frères chinois connaissent déjà tout ça depuis des mois.

Leur contrat social avec la dictature chinoise fait que pour être attirée dans les filets de petits plaisirs matériels, la population chinoise doit renoncer à son entière liberté.

«On ne donne pas le pain des enfants aux petits chiens ; aux petits chiens on leur laisse les miettes tombées sur le sol de la table des maîtres ! »Si l'homme ne retourne

pas à sa divinité, à sa capacité à créer en lui, autour de lui une vie meilleure, il tombera dans son animalité ; et son espèce, comme d'autres espèces, sera appelée à disparaître...Nous ne pouvons pas nous conduire en animaux privés de raison en rentrant dans une moutonnerie collective hallucinante, avec de tels loups dans la bergerie comme Hitler en 40 ou le dictateur chinois en 2020 !

Ce virus médiatique, qui est parti de Chine, n'a pu se propager au reste du monde que selon la volonté de son dictateur et de son parti. «  La dictature de ce virus et de toutes ses chinoiseries », qui ne sont que les faiblesses de chacun à tous les niveaux de notre société, vient nous préparer au pire à venir : des millions de morts de la misère économique et sociale consécutive à l'impossibilité de travailler pour vivre.

Les complotistes en 40 c'étaient les résistants ; en 45, ceux qui ont survécu ; les sauveurs de la France ! Et à la libération tout le monde de crier : «  vive de Gaulle, vive la résistance, vive la république de la liberté- de l'égalité- de la fraternité, vive la France »!

Un complot contre une dictature, contre un système qui vous empêche de vivre, serait-il au XXIe siècle plus que jamais un complot ? Ou alors de la résistance ? L'histoire le dira...et la justice divine le signifiera encore une fois !


Alors jusqu'à quand allons-nous voir notre vie conditionnée uniquement par le nombre de personnes aux urgences ou en réanimation ; nos enfants empêchés de vivre leur jeunesse qu'ils ne retrouveront pas ; nos petits enfants privés de leurs grand-parents, de leur affection, de leur sagesse, de leur expérience salutaire ? Jusqu'à quand nos vies familiales et amicales seront amputées du bonheur « du vivre ensemble » dans une société gangrenée par une médiatisation de plus en plus diabolique, c'est-à-dire qui divise et sépare ? Jusqu'à quand devrons-nous compter le nombre de vagues que fait un virus dans l'océan de la négativité de ce monde ? Autant, à en croire les experts de ce monde en ruine, compter les vagues de l'Océan sans aller sur la plage pour préserver la distanciation...Où sont passés les commandants, les capitaines qui étaient censés dirigés le bateau France et le mener jusqu' à bon port ? Pourquoi avoir changé de cap technologique après tant de discussions dans l'hexagone pour expliquer aux français les bons choix politiques pour un pays devant se préparer à la modernité ? En attendant un meilleur avenir promis depuis plusieurs années, le présent en tout cas n'est pas des plus réjouissants. Mais c'est le virus qui est responsable de tout cela et certainement pas de quelque crédit qui ait pu lui être accordé ! Les crédits qui ont été accordés une bonne fois pour toutes en regard de « la déesse de la santé virale », et qui seront remboursés ou pas, ne l'auraient été qu'à des personnes privées du droit de travailler.

Alors,à partir de quand les journaux télévisés, en toute honnêteté et véritable indépendance, nous montrerons les courbes de faillite industrielle, des petits commerces « non indispensables », en attendant celles de la faillite bancaire voilée par le grand accord sur un emprunt européen qui ne devrait pas attendre longtemps son repreneur toujours occupé, pour l'instant, à la réouverture des routes de la soie (Antenne 2, Delahousse le 1er juillet)

De voter des crédits, même au niveau européen, montre que malheureusement certains ne sont pas du tout résignés à ne plus accorder de crédit à ce qui dépasse la compréhension d'autres médecins, d'infectiologues avertis que nous ne connaissions pas, ni les uns ni les autres, mais que nous découvrons comme notoriétés internationales rejetées aujourd'hui, comme De Gaulle en 40, sur le banc des accusés du complotisme.

Quand des petits enfants arrivent à dire encore : « ce n'est rien, c'est pas grave ! », et que les êtres retrouvant leur spiritualité redeviennent les médecins de leur propre vie, la force d'aimer des petits comme des grands chassera de leur vie le spectre de la mort qu'a toujours voulu véhiculer le «  virus de la peur »: c'est le combat pour la liberté, pour la vie…

Maintenant il est facile (humour) de comprendre que le « virus c'est bien l'homme » comme l'a avancé BHL. C'est ainsi qu' il est nécessaire de pardonner à certains leur errance « parce qu'ils ne savent pas, c'est-à-dire ne mesurent pas ce qu'ils font »...et que « celui qui se juge avec rigueur et sévérité, dit Confucius, évite les mécontentements ! » La vie c'est l'au-delà du fait pour tout le monde !!!

Rien n'est plus sacré que la vie ! Alors arrêtons dès maintenant le culte de la mort. Laissons tous les virus, comme par le passé, faire leur vie ; Nous pourrons continuer à faire la nôtre... « Point de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint Augustin au Ve siècle ;ce qui nous évitera de continuer à nous faire la guerre au sein des chapelles de la médecine humaine. Nous avons beaucoup de retard sur l'horaire, mais nous pouvons encore, et donc nous devons, prendre le train de la libération de tous nos maux en marche...



 

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