mercredi 11 novembre 2020

le mensonge de l'éphémère ou la vérité éternelle...

LA VÉRITÉ … SI JE MENS !


« Dites la vérité, toute la vérité, rien que la vérité !  Levez la main droite et dites je le jure ! » Le droit républicain l'ordonne ; la vie de la république l'exige…

A moins que la République et ses fameuses Liberté- Égalité – Fraternité aient bien disparus corps et biens dans les eaux du déluge de la dictature d'un virus et de toutes ses chinoiseries ?

Mais un virus qui ne date pas d'aujourd'hui, ni lui ni les autres, mais que l'humanité tout entière ou presque, rendue subitement consciente de ce « seul et véritable » danger, voudrait empêcher de circuler en se privant de libertés acquises par les combats sanglants souvent de ses ancêtres.

Un véritable suicide sectaire collectif programmé par le nouveau guru planétaire : le dictateur chinois ! (Références : « comment marche la Chine » Envoyé spécial du 29/04/2020, et « la Réouverture des routes de la soie » d'Antenne 2 du 01/07/2020)

A l'image des fromages de nos régions, dont les croûtes sont recouvertes de germes qui participent à leur affinage, et auxquels les américains préfèrent des produits pasteurisés recouverts d'emballages de synthèse, nos consciences seraient aseptisées par le port d'un masque dès le plus jeune âge, par l'utilisation d'un gel hydroalcoolique qui devrait s'étendre à l'ensemble du corps et pas seulement des mains comme pour les rentrées aux blocs opératoires, et enfin par une distanciation sociale garantie par la notion de confinements successifs, sorte de nouvelle version labyrinthique de Thésée et du minotaure (mi-homme, mi-animal), mais sans fil d'Ariane pour pouvoir nous recentrer sur nous !

Car il faudrait maintenant que chacun écoute son propre cœur, c'est-à-dire sa propre conscience, pour compter les milliers de morts (les centaines suffirait) qu'il aurait perdus en quelques mois parmi ses proches !

Mais ce serait un trop beau cadeau pour ce Noël qui s'annonce, de sortir d'un état de guerre à laquelle on a joué pendant des mois. Les uns en collaborateurs, d'autres en morts de peurs ; et enfin quelques uns seulement en résistants… « L'erreur est humaine » ! Mais qui, parmi les princes de ce monde, aura l'humilité de le voir, de le reconnaître ?

A l'heure où « les français parlent aux français » nous ne savons pas encore si le nombre de personnes aux urgences ou en services de réanimation est plus nombreux cette année que l'an dernier, qu'il y a 2 ans ou peut-être même qu' il y a 10 ans ? Certainement que non ! Puisque nous n'avions jamais vécu la notion de couvre-feu sans soldats défilant dans nos villes ou nos campagnes ; et encore moins d'enfermement dans nos maisons transformées en « prisons de la santé »!

L’affaiblissement de la France sur le plan économique, politique et social ne lui permettra pas de résister aux vagues de médiatisation diabolique bien plus importantes que celles du Vendée-Globe ! Car elles submergent les âmes et les esprits du vent violent de l'incompréhension totale de ce qui se passe.

Avec la promotion depuis le printemps du petit écran du télé travail, du télé enseignement, de la télé médecine, le jour ; du grand écran le soir ou le dimanche ; il nous faut craindre maintenant « l'écran total » des relations humaines !

La messe semble être dite : Pâques n'a pas eu sa fête ; Noël ne l'aura pas non plus !

Fini la fausse chrétienté qui n'a pas aimé son prochain comme soi-même...vive le faux Islam du Commandement de Dieu : « Tu ne tueras point »!!! Le culte de la virologie de la mort a touché depuis trop longtemps les âmes et les esprits pour ne pas vouloir détruire les corps!


Que le Ministre de « la santé » qui a pour mission de protéger l'Assurance Maladie, aille visiter maintenant les hôpitaux psychiatriques dans des villes de France, des régions où il y a 20 fois plus de psychiatres que de pneumologues ! D'une France déjà arrêtée de plus en plus de travailler, assistée, psychiatrisée…

Il verra que les honnêtes gens sont bien à nouveau confinés, mais que tous les bandits ne sont pas emprisonnés (uniquement par manque de moyens de la police et de la justice) et que tous les êtres présentant des troubles psychiatriques majeurs ne sont pas enfermés faute de personnels soignants ; car là, il y aurait de quoi avoir souvent et véritablement peur s'il n'y avait encore le financement possible de toutes les camisoles chimiques.

Qu'il visite aussi les écoles ou l'enseignement devient de plus en plus « secondaire », avec la nécessité des mesures dites « sanitaires » ; qu'il explique le pourquoi du développement croissant d'enfants autistes, psychotiques, déstructurés de plus en plus par l'absence de structures familiales, sociales...


Une France abandonnée à la désertification médicale depuis plusieurs décennies et qui se retrouve en fin de cycle humanitaire car fatiguée, épuisée, déprimée, par des contraintes financières et maintenant sanitaires qui étouffent la pureté et la simplicité de vivre. De toujours constater les conséquences sans s'attaquer aux causes profondes du mal par la responsabilisation de chacun, fait que la situation est de pire en pire et l'avenir, s'il yen a un, de plus en plus compromis ! Le rôle du médecin était, et serait normalement de continuer à veiller à ce que ses patients prennent toujours le chemin de la nécessité de la vie, de l'évolution mentale, comportementale, physique, et non pas uniquement aujourd'hui de porter un masque sur la figure...censé rassurer tout le monde.

Quand un Président, un gouvernement, s'attaque aux médecines naturelles qui garantissent la santé depuis des siècles, certaines des millénaires, pour privilégier une médecine strictement chimique dont certains progrès, avec la science humaine, n'expliquent pas qu 'elle soit galvaudée, il doit expliquer maintenant comment il entend maintenir la santé économique, politique et sociale dans notre pays !

Le bruit assourdissant des cris d'alarme des médecins urgentistes ou réanimateurs sont les cris de détresse du « grand corps malade médical », et qui seraient définitivement condamnés à assumer toutes les conséquences de causes qui auraient dues être traitées en amont par une véritable médecine sacerdotale de la compétence clinique, après tant d'études « supérieures » ; évitant ainsi les besoins croissants d'examens complémentaires ou d'hospitalisations abusives...De déplacer les problèmes, ou encore pire de les occulter, ne les a jamais résolus !

Les politiques vaccinales ou masquées des différents ministres de la santé qui se succèdent sur des trônes éphémères continuent de plonger la population dans la psychose maniaco-dépressive, maintenant aujourd'hui la névrose obsessionnelle du virus,encore le virus, toujours le virus et plus que le virus, en attendant la paranoïa collective, la folie suicidaire et meurtrière !


La détresse mentale, morale, financière de tous les pays à laquelle participe bien sûr la France par solidarité, mais surtout par perte de la mémoire gaullienne de la souveraineté nationale, fait qu'il n'y aura pas assez de jeux de Monopoly pour tout le monde...la BPCE en sait quelque chose : la nouvelle donne virale a balayé d'un revers de main la nécessité de respecter le P.I.B de chacun des pays de la communauté ; ce qui les arrange bien !

Les démocraties basées sur la liberté-l'égalité et la fraternité se retrouvent confinées dans la peur de la mort, ayant abandonné le sens de la vie : celui de la transcendance. Le choix unique de l'horizontalité, d'une existence strictement matérielle, financière, relative aux autres, par rapport aux autres, a détruit, une fois de plus, le sens de la souveraineté nationale basée sur le souverain bien : non pas le droit, mais le pouvoir de disposer de sa capacité retrouvée à vivre en soi comme avec l'autre pour l'autre.La liberté n'est toujours pas le fruit de la libération !

Alors à qui profite le crime, quand des millions de gens partout dans le monde, en France comme ailleurs, sont sacrifiés, assassinés sur l'autel du consumérisme de la mondialisation? La théorie du complot dans la bouche de braves gens, esclaves des dires de la médiatisation diabolique du politiquement, du médicalement, de l'intellectuellement correct, n'est que le fruit du manque d'enseignement et donc de connaissance de la Parole universelle de sagesse, d'amour et de respect, au sein des familles...des synagogues, des églises, des mosquées, des temples bouddhistes, confucianistes...et bien sûr de son vécu. Car « les paroles sans les actes ne sont rien ! » C'est la force de la Parole, sa vérité, qui chassent les craintes et les peurs des esprits même les plus faibles ; Elle est l'accompagnement nécessaire à la réalisation de la vie de chacun.

La disparition de la structure familiale,l'absence de pères et donc de repères, de mères, de matrices de vie infinie et éternelle, met à la rue des enfants qui plongent encore plus dans l'océan de la négativité de ce monde et se retrouvent sans cesse à la merci de faux-frères, de faux prédicateurs et de leurs égos destructeurs.


Une véritable démocratie ne s'est jamais bâtie ou reconstruite sur la crainte, mais sur la volonté de chacun de vivre…

Qui maintenant aura la volonté politique de renoncer à être le champion du culte de la mort et du confinement, dans une société vidée de son humanité? Mystère ???


Alors « la vérité si je mens » : en fait, plus je mens et plus j'ai l'impression de détenir la vérité…

Je sais maintenant que si les disciples avaient reçu à temps le vaccin contre le tétanos, le Christ ne serait pas mort parce que les clous étaient rouillés ; je sais aussi que Bouddha restait assis en méditation toute la journée parce qu'il était poliomyélitique et que compte tenu de la misère des peuples orientaux l'épidémie continue de se propager; je sais donc maintenant que le vaccin contre le « roi virus couronné », comme avec celui de la grippe, me redonnera le goût, que j'avais perdu, de respirer à nouveau l'odeur des cheveux de mes petits enfants ; de retrouver le sens de la liberté, de la fraternité, de la vie familiale, que De Gaulle avait fui à Londres, préférant déjà la médiatisation radiophonique au contact d'une foule parisienne en plein délire sur les Champs Élysées...Je connais la nécessité d’entraînements durs avant un match capital, même dans un stade vidé de toute humanité ou presque, quand les médias télévisuelles, celles-là,arrivent à surprendre encore le bonheur de jouer ensemble ; au point, et ce qui est une honte aux yeux de tout le monde, de même s 'embrasser...Alors merci au confinement, au couvre-feu, de bien vouloir nous rappeler les heures sombres de ce qu'était encore la République avant l'arrivée de la dictature de ce virus, qui avec beaucoup de compassion, nous prépare du mieux qu'il peut au défilé devant nos portes et nos fenêtres de l'armée chinoise…

Alors surtout que la France ne se réveille pas ! Qu'elle continue à sortir masquée pour qu'on ne puisse plus jamais la reconnaître car le progrès technologique du Géant chinois Huawei n'apprécierait pas que l'on détruise la nouvelle forteresse de Vauban qu'est le cœur de l'homme encore sensé, qui bâtit sa vie selon la parole des sages et des maîtres et non sur les dires d'intellectuels infectés par tous les virus du culte de la mort…

L'heure est grave aussi pour André Comte Sponville de voir des anciens, qui n'ont jamais été sages, de préférer s'occuper de leur petite santé plutôt que de l'éducation et de l'avenir de leurs enfants. Dommage pour lui de ne pas reconnaître les bienfaits du confinement, l'interdiction (alors qu'il est interdit d'interdire depuis Mai 68) de vivre purement et simplement, de ne pas se rendre à l'évidence que notre Pape est toujours pris en otage et que la rançon à payer est de faire disparaître complètement Noël comme Pâques avec toute la communauté chrétienne de notre société existentielle, matérielle. Le Christ n'est toujours pas prêt, comme nous l'a annoncé Saint Paul, « d'ouvrir nos tombeaux pour en libérer nos âmes et nos esprits enfermées dans des terres d'exil... »

Au« Vive la République ; vive la France » qui était le cri du rassemblement de la volonté politique, s'est substitué depuis quelques mois « Vive le virus ; à mort la France » . Mais une mort économique, politique, sociale, douce, paisible,et agréable, qui a pu faire dire un jour au Christ, quand il était encore là : « Laissez les morts enterrer les morts ! »

La vérité si je mens...suite au prochain épisode.


 

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