lundi 29 juin 2020

QUAND LE VIRUS DE LA POLITIQUE...

QUAND LE VIRUS DE LA POLITIQUE SE RETROUVE

DÉTRÔNE PAR LE VIRUS SANITAIRE... 



Le peuple de France, juste et simple, ne se retrouve plus, depuis des décennies, dans des élections qui ne sont représentatives que d'illusions égotiques réactionnelles, qui se veulent toutes compensatrices des gestions négatives précédentes.
La valorisation des uns par rapport aux autres ne fait qu'aggraver la situation d'un pays de plus en plus en faillite de valeurs spirituelles et morales, de justice, d' amour et de paix. Les portefeuilles sont bien remplis, mais les esprits sont vides d'écoute, de vision, d' intelligence pour comprendre qu'il ne peut y avoir de santé économique, politique et sociale dans un pays, sans santé  humaine : depuis 70 ans et la création de la Sécurité Sociale, l'électoralisme « social » n'a fait que transformer la « belle dame » en Assurance Maladie complice de laisser des générations se penser, ou même de se rendre malade, pour ne plus participer à l'effort économique du pays, quand tant de personnes véritablement malades, elles, auraient bien voulu continuer à le faire…. C'est peut-être, et même sûrement, le message de cette nouvelle pandémie que la médiatisation diabolique de ce monde a répandue comme une traînée de poudre pour tout faire exploser.
Ces dernières élections viennent de témoigner encore de la schizophrénie de dirigeants politiques d'un peuple obligé maintenant d'aller voter le jour avec des masques et du gel hydroalcoolique (la carte d'identité ne suffisant plus) ; pour que les mêmes, le soir, apparaissent les uns serrés contre les autres pour la photo souvenir d'une victoire toujours plus diabolisée par l'absence de nouvelles et véritables perspectives ! La scène politique se psychiatrise de plus en plus : avec la psychose maniaco-dépressive du virus mortifère, maintenant la schizophrénie complète et totale ; demain la paranoïa et sa folie meurtrière...Beau programme politique !!!
Au détournement d'une politique de plus en plus ténébreuse au fil des générations, nos « grands responsables » politiques ont ajouté la distanciation : toute politique qui ne ramène pas l'homme au cœur de lui-même, de sa volonté, de son courage, de sa dignité, ne peut pas être au cœur de ses préoccupations ! Difficile à comprendre pour celui ou celle qui ne mène pas une véritable politique de santé publique…
C'est pourquoi la Liberté n'est pas la libération- l’Égalité n'est pas l'union- la Fraternité n'est pas la sanctification (le Grand Œuvre d'esprits plein de sagesse et d'amour). Le sommet de la pyramide d'une société est le reflet de sa base ; sans politique conjugale, familiale, amicale, professionnelle, il ne peut y a voir de politique sociétale. Nous ne pouvons avoir de véritables responsables politiques à quelques niveaux que ce soit de la société si nous ne sommes pas chacun responsable de notre vie. L’État providence est un leurre devant la Providence du cœur de l'Homme : la toute puissance de l’État s'efface et disparaît devant son incapacité à répondre à des besoins croissants des uns comme des autres , du fait de la perte du sens de la nécessité.
Si l'homme ne résiste pas à ses propres insuffisances et inconsciences, il ne pourra résister à la vague du déluge politicien conformiste, signifié aux météorologues de la Véritable Conscience...depuis des millénaires.La politique politicienne continue de servir des égos et certainement pas l'intérêt commun!  
Dans son acceptation de la fatalité, l'humanité d'aujourd'hui dans son culte de la mort, ne semble plus attendre que d'être totalement emportée; ayant oubliée depuis trop longtemps que pour être sauvé, il faut être sauveur…mais que pour être sauveur il faut être sauvé! Dès lors, comment stabiliser la vie économique, politique et sociale d'un pays, sans que les gens à sa tête ne puissent plus  témoigner de la stabilité de leur propre vie conjugale et familiale? Même si, et comment faire autrement au vu de scandales tellement nombreux qu'ils n'en sont plus, il faut plus que jamais séparer la vie publique et la vie privée! Bien que l'existence extérieure demeure toujours le reflet de la vie intérieure...Le désaccord entre les paroles et les actes ne datent pas d'hier! C'est tout le sens des promesses électoralistes qui ne servent qu'à être élu mais qui ne peuvent être tenues sans le témoignage d'une propre vie... Leur crédibilité  ne tient plus qu'à de faibles pourcentages de votants toujours déconnectés de la véritable réalité : celle de la nécessité occultée par le désir de réponse par l'autre, par les autres, à leurs besoins égotiques croissants!

L'éternel et véritable parti politique ne peut être que celui d'une vie  consacrée à la genèse d'une vie meilleure et d'un monde meilleur, en référence à la droiture de son cœur et de son esprit  ! Le tout est de savoir si quelque chose dans ce monde peut figurer ce même parti ?

dimanche 21 juin 2020

Le Grand Pardon

                                                       
                                                             LE GRAND PARDON


Le grand pardon c'est tout d'abord celui de la dictature chinoise qui a mis sous l'éteignoir en le fichant le peuple chinois pour ne plus voir de manifestation comme celle de la place Tien-An-Men.
C'est celui des médecins et infectiologues chinois, qui en toute « liberté » bien sûr,ont averti le monde entier du risque d'une pandémie mortifère « sans précédent », et ont fait part de leur grande expérience dans la manipulation des différents virus dont ils sont toujours victimes en priorité ; ce qui les a amenés à construire en toute urgence un hôpital de fortune, compte tenu du manque bien sûr d'infrastructures hospitalières en place, du manque de moyens à leur disposition pour bien comptabiliser leur nombre de victimes, et signifier la nécessité d'intervenir rapidement pour développer la notion d'isolement indispensable à la survie de la planète;leur préoccupation dictatoriale de la santé mondiale est édifiante et bien sûr émouvante !
C'est celui des infectiologues français, européens, anglo-saxons qui, au nom de la grande communauté internationale médicale, se sont appuyés sur les dires de leurs grands homologues chinois pour se disputer la une des meilleures dispositions à prendre pour sauver l'espèce humaine d'un risque mortifère sans précédent.Ce fut le temps de la course (à ne pas confondre avec les courses) à l'isolement, à l'enfermement des « nouveaux pestiférés »,à la distanciation telle, qu'elle a emporté un nombre considérable de connaissances, parents ou amis, au milieu de l'océan de la négativité de ce monde, quand certains ne gisent pas au fond même de cet océan. Ça été, et c'est bien sûr encore pourquoi pas, la goutte d'eau qui continue a faire déborder le vase ! Le vase de l'insouciance, de l'inconscience, de l'immaturité de chacun, de sa perte de logique, de bon sens, de mesure ; c'est le vase aujourd'hui des craintes et des peurs économiques, politiques et sociales ; c'est le vase demain des détresses morales, physiques, conjugales, familiales, sociétales,mondiales…
C'est celui de grands scientifiques qui ont contribué à propager, pour la première fois, la notion de pandémie ; de première et donc de deuxième vague possible, si nous ne restions pas au fond de nous toujours morts de peur ! Et ce, malgré d'autres épidémies sorties tout droit des archives de notre inconscient collectif, comme la grippe asiatique, la grippe aviaire, le s.r.a.s , toutes les grippes saisonnières, au moins aussi mortifères toujours dans le cadre de comorbidités comme le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et respiratoires chroniques, les cancers...etc. C'est ainsi le grand pardon pour tous les virus mentaux, affectifs, comportementaux, oubliés au fond des tiroirs des laboratoires chimiques et des instituts de recherche financés par les américains ou les chinois; avec des chercheurs qui ne dissocieraient plus l'esprit et l'âme du corps, et qui auraient pu, peut-être eux-aussi, comme Mathieu Ricard, devenir moines tibétains! C'est le grand pardon de la non-reconnaissance de leur participation à la détresse respiratoire qui n'a été, ou qui n'aurait-été malheureusement pour certains, que gène respiratoire ou juste aggravation d'un problème respiratoire préexistant, comme au par avant avec n'importe quel virus biologique !  
C 'est celui des grands politologues, retranchés derrière tellement de preuves scientifiques qu'elles ont détruit toute conscience universelle ! « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme »dit Rabelais.
C'est celui de l' intellectuellement correct, du politiquement correct, du scientifiquement correct, du médicalement correct, dans une France déjà arrêtée de travailler trop souvent, de plus en plus psychiatrisée, manipulée, formatée, sacrifiée sur l'autel de divinités médiatisées.
C'est celui du port d'un masque par des gens qui déjà ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez, pour maintenant ne plus le voir du tout. De gens qui continuent d' avancer le visage encore masqué au point de ne plus pouvoir envisager quoique ce soit de meilleur à l'horizon, qu'une récession économique terrible comme conséquence de leurs régressions mentales et comportementales du fait de leur perte de toute logique et de bon sens individuel et donc collectif.
C'est celui d'une psychose-maniaco-dépressive que connaissent bien les psychiatres : celui de le crainte et de la peur de l'impureté, de l'imperfection, qui vous amène à vous laver toute la journée les mains des souillures, flétrissures, ordures de ce monde insouciant, inconscient, immature, jusqu'au soir où la pourriture de l'âme et de l'esprit vous plonge dans une dépression sans fond.
C'est celui aujourd'hui de pauvres enfants, victimes du « tout sécuritaire »,contraints à des exigences sanitaires qui ne concernent que le corps physique les obligeant de se laver les mains 10 fois /jour, sous la conduite d'enseignants très éclairés, mesurant parfaitement la gravité de la crise sanitaire avec, comme en Belgique, 0,89 mort pour mille habitants attribués au seul virus sans tenir compte des comorbidités. C'est au cours préparatoire que les enfants étaient censés apprendre à lire, à écrire, mais aussi à compter. Il serait horrible de penser que la suppression du certificat d'études depuis des décennies ferait qu'aujourd'hui moins de morts en Mars 2020, qu'en Mars 2019 ou 2017 aurait une résonance plus grave !
C'est celui d'une société dans lesquelles il n'y aurait plus de facultés d'enseignement pour des enfants ayant perdu toute faculté de concentration, de motivation, de réalisation, pour ne pas avoir reçu l'enseignement de l'écoute, de la vision, de la compréhension nécessaire pour une vie future, avec des parents absents, occupés à bien trop de choses en compensation de leur propre négativité, pour se préoccuper de la vie présente et donc future de leurs enfants.
C'est celui du brillantissime scientisme intellectuel, tellement focalisé dans un domaine qu'il occulte toute conscience universelle, entretenant toujours le principe du « après moi, le déluge ! »
C'est celui d'une dramaturgie collective hallucinante sans précédent qui ne peut être attribuée qu'à une perte de la conscience de la défense nationale,de son indépendance, du haut de la pyramide sociétale vers sa base, et qui a fini par amener certains philosophes, trois mois après, à sortir de leur propre confinement et tenter de rappeler tous les soi-disant responsables à la raison : autrement dit, les quelques survivants à leur propre négativité, ayant gardé un minimum de volonté, de courage, et de dignité, pour rentrer en résistance et ne pas sombrer dans cette moutonnerie !
C'est celui d'un monde tellement mortifié de peur qu'il en devient totalement décérébré, porteur d'un nouveau gène d'une telle idiotie qu'elle fait disparaître toute capacité normalement attribué à la nature humaine !
C'est celui d'un monde qui a perdu le sens du recueillement, de la vigilance, de l'attention à l'autre, pour devenir horriblement violent et totalement destructeur. C'est celui d'un monde qui continue de crucifier le Christ pour qu'Il n'arrête pas de dire : "Pardonnes-leur Seigneur; ils ne savent pas ce qu'ils font!"
C'est celui d'un monde qui marche toujours la tête à l'envers, qui regarde les réalités d'en bas au lieu de regarder le réalités d'en haut comme dit Saint Paul ; C'est celui du monde déchu de l'immanence qui tombe sous l'influence de la médiatisation diabolique dans son animalité ; au lieu de retourner à la force de sa divinité par la transcendance de son humanité affaiblie, de plus en plus fragilisée et sensibilisée…
C'est celui d'un monde désespéré de n'être pas retourné au Père et de l'avoir perdu de vue ; d'un monde sombrant dans les ténèbres à force de tourner le dos à la Lumière.D'un monde dans lequel l'homme serait condamné à penser, à croire, à se croire parce qu'il ne serait plus conscient de la nécessité d'être?
C'est celui de la désunion, division, séparation (les divorces de la vie), distanciation, qui fait sortir l'homme du champ des radars de la conscience pour se retrouver au milieu, ou pire, au fond de l'océan de la négativité de ce monde emporté par les vagues du déluge qu'est l'inconscience de chacun d'entre nous.
C'est celui d'un État providence en faillite parce qu'il aurait failli, en privilégiant le droit électoraliste à l'assistanat, au détriment du devoir de chacun ; c'est celui d'une dette qui ne serait plus une dette parce qu'il n'y aurait plus de remboursement crédible possible, mais de plus en plus le sacrifice des générations futures.
C'est celui d'un monde au goût sexiste, qui ne respecte plus les lois de la vie,de la nature et de la Création ; au détriment des lois de sagesse et d'amour d'une sexualité génératrice d'une vie familiale bien établie, structurée; véritable microcosme fondateur d'une vie sociétale basée sur le respect de chacun; comme cela est stipulé dans le "Contrat social" de Jean Jacques Rousseau!
C'est celui d'un monde matériel dont le culte de la mort voudrait, plus que jamais, empêcher de croire en la Résurrection de la Vie...grâce à la transmission de valeurs spirituelles et morales indispensables à la pérennisation de l'humanité.



Un des Commandements étant : « Tu ne jugeras point ! » ; le « grand pardon » trouve, dès lors, toute sa raison d'être…
D'autant plus qu'un autre Commandement est « d'aimer nos ennemis » : en effet, ils se présentent à nous comme les révélateurs que nous étions, bien avant eux, nos propres ennemis ; des victimes de chamailleries infantiles signifiant depuis longtemps notre appartenance à une société de plus en plus inculte, immature et décadente...dans laquelle l'absence de discernement, de logique, de bon sens, de révolte intérieure, plonge les survivants dans l'inconscience, et les met de plus en plus à la merci d'une médiatisation diabolique supersonique, qui fait tellement de bruit qu'il n'y a plus, au bout d'un moment, d'écoute de la vérité possible.La rapidité de l'information détruit le temps de la culture, de la référence, de l'enseignement de l'histoire, de l'enrichissement de l'esprit de la sagesse des grands maîtres de la philosophie, de la théologie, de la mystique, pour nourrir notre époque d'une conscience collective universelle.Car le risque est de plus en plus grand de voir cette animalité de l'inconscience se développer de plus en plus pour dévorer ce qui reste de spiritualité dans ce monde, à l'image d'Hitler qui avait fait brûler tous les livres pour ne garder que celui de la culture nazie...L'invasion du Tibet par les chinois et la destruction des textes du Bouddha en est un autre exemple qui annonçait bien ce rejet par « l'homme du pouvoir des ténèbres» de la quête de la lumière. Mais heureusement, peut être en compensation, les infectiologues chinois maintenant veillent sur nous, pour nous soulager de tous les virus qui pourraient encore générer des craintes et des peurs ; nous permettant maintenant de nous endormir dans un monde du "matin calme" toujours aussi paisible et serein !
Le « grand pardon » c'est celui de tous ceux dont les terres intérieures n'ont pas été cultivées et qui ne récoltent aujourd'hui que « des ronces et des épines »…


« Le Grand Pardon » c'est celui du grand peuple Hébreu : de tous ceux qui font la traversée de leur désert pour retrouver la Terre Sainte de leur intériorité qu'est leur cœur centre ontologique, celui de la genèse et de la création d'une vie meilleure et d'un monde meilleur.
Le Grand Pardon c'est tout ce qui passe par le don de l'écoute, de la vision, de la compréhension de la Justice, de la Bonté, de la Vérité. « Quand l'Homme écoute, dit Saint Paul, toutes les portes de son cœur, de son esprit, de sa vie céleste comme terrestre, s'ouvrent pour lui! » C'est la Pessah des Juifs (des Justes), c'est la porte de passage du monde sensible du malheur dans le Royaume intelligible du bonheur.C'est un immense bonheur, infini et éternel, que de ne pas être aveugle et sourd à l'Appel de l'Amour de Dieu, le Père, et de ne plus être désespéré... « Écoutes Israël ! Quand donc écouteras-tu ma Parole avec ton cœur ? Sans quoi il n'y aura sur cette terre que pleurs et grincements de dents ! »(Deutéronome, ch 8). C'est celui d'un peuple qui n'a plus la nuque raide et n'a plus besoin de se faire manipulé!
Le Grand Pardon c'est celui de la joie de la pauvreté (du détachement impassible) face à la tristesse de la possession. C'est la transformation du risque de l'avoir (les « virus ») à la ferme volonté de l'être ; de l'asservissement, à la libération de l'âme et de l'esprit ; de la pollution de l'âme et de l'esprit par les souillures, flétrissures et ordures de ce monde, à la pureté de l'intention d'aimer la vie et de l'embrasser toujours plus, dans la nécessité de devenir meilleur.C'est le refus de devenir mouton pour demeurer berger…C'est la Miséricorde de Dieu qui fait sortir l'homme de la misère de son cœur et de son esprit.
Le Grand Pardon c'est donc pour tous les éclairés, les initiés, le combat (et non la guerre) perpétuel contre les forces des ténèbres des gentils comme des mauvais : c'est un témoignage, un appel, un amen vers la Lumière d'un Seul et Même Jour. Vers la porte de passage de l'horizontalité du mal, du mal-être, de la maladie et de la mort certaine, à la verticalité de la Vraie Vie Infinie et Éternelle des justes ! C'est le témoignage de l'amour de son prochain pour ne pas demeurer dans la mort (Jn,1). C'est celui de « la Charité qu'est la Loi dans sa plénitude » dit Saint Augustin : tout ce qui se donne à l'Homme qui se tourne vers le tribunal céleste de son cœur et revendique l'autorité et l'exigence de la Loi de l'Amour ; qui soumet son obéissance à la Justice supérieure des Commandements…
C'est celui de la traversée de la mer rouge, du passage de l'humide au sec, des Eaux tumultueuses de ce monde d'en-bas aux Eaux paisibles et calmes du Royaume d'en-haut. C'est celui de la conversion vers l'élévation et l'évolution pour remédier à l'inversion et la chute mortelle : c'est arrêter de marcher sur la tête dans le non-sens, voire l'insensé, et la remettre à l'endroit dans le bon sens.
C'est celui de l'Homme responsable, debout et en marche de son humanité vers sa divinité : de l'être intellectuel redevenu spirituel ; du docteur redevenu médecin de l'âme et de l'esprit comme du corps ; du politique ne cherchant plus à se donner bonne conscience en compensation d'un manque de conscience général ; d'un papa et d'une maman ne se contentant pas de l'acte procréateur de l'enfantement, mais redevenant père et mère, matrice de vie et puissance créatrice de vie infinie et éternelle pour leurs enfants, et à travers leurs enfants pour la vie du monde à venir... 
C'est celui des combattants de la Résistance dans une France défigurée par le "tout sécuritaire" et déjà occupée par les chinoiseries économico-sanitaires et politiciennes; c'est sa libération des gestes barrières et des laissez-passer qui sortaient le tapis rouge pour l'arrivée du dictateur chinois!
C'est celui de pères et de mères, de grand-pères et de grands mères, qui gardent en eux, contre eux , le souffle de vie de leurs enfants et petits-enfants salvateur de la patrie et du monde...
C'est celui du salut de l'humanité dans l'Arche d' Alliance, quand l'Archétype ( le Principe céleste) s'unit à nouveau à Sa Création ( la réalisation terrestre).
Le Grand Pardon c'est quand l'homme renonce à tout ce qu'il est, à tout ce qu'il a, pour retourner à sa nature divine originelle en transformant sa nature humaine faible, fragile, sensible en être créateur à l'Image et à la Ressemblance de Dieu. C'est la solidité, la fermeté, la constance de la fixité de l'Homme en Dieu, qui ne peut plus se fixer sur aucune créature; c'est la transformation de la chenille, qui dévore la feuille, en papillon, devenu léger et d'une beauté remarquable en participant à la pollinisation ; et dont, contrairement aux apparences, le battement d'aile à l'équateur peut entraîner un tremblement de terre à l'autre bout du monde...


Le Grand Pardon c'est ce qui est donné à l'Homme qui remet pleinement son âme et sa conscience dans les mains de la Vie, et qui ne craint plus; car un monde nouveau s'offre à lui : celui qu'il crée grâce à l'intelligence de son cœur…
Tel est le sens de la Foi, de la certitude que demain sera meilleur : "c'est ce que l’œil n'a pas vu; ce que l'oreille n'a pas entendu; ce qui n'est pas venu à l'esprit de l'homme" dit Saint Pierre. Il suffit pour cela de se rendre au cœur de soi-même pour devenir une pierre vivante et participer à la construction de l'édifice...

"Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacré...Entrez par la porte étroite. Elle est grande, la porte,il est large, le chemin qui conduit à la perdition; et ils sont nombreux, ceux qui s'y engagent. Mais elle est étroite, la porte, il est resserré le chemin qui mène à la vie; et ils sont peu nombreux ceux qui le trouvent." Mt, 7.  

Alors vive la Véritable démocratie- Vive la France libérée par la résistance au monde sensible du malheur-Vive le Souverain Bien (l'Esprit, sa Sagesse et son Intelligence) pour un monde rempli d'Amour!

Dr Michel Laclaverie : Juin 2020




mercredi 3 juin 2020

LA DICTATURE D'UN VIRUS ET DE SES CHINOISERIES

Après la dictature politique, la dictature prolétarienne, la dictature de l'argent, voici venu le temps de la dictature virale! la question fondamentale c'est de savoir comment Charlot arriverait à la mimer ? Car ce virus après s'être emparé de nos âmes et de nos esprits, détruit notre logique et notre bon sens,notre savoir clinique médical en le ramenant à la seule science des laboratoires biologiques et d'infectiologie effrayant dans leurs pronostics mortifères, s'attaque maintenant, de manière irréversible pour beaucoup d'entre nous,à ce qui restait de tissu économique, politique et sociétal, de nos sociétés industrialisées qui se voulaient très évoluées dans la gestion des catastrophes et de leurs conséquences.
«  La peur du docteur » qu'avaient autrefois les enfants, lorsqu'ils devaient être vaccinés, se serait transformée en peur des docteurs et de leurs clients de ne pas être tous vaccinés ? En fait, comme le souligne l'Apôtre Marc, chapitre5 : « Vous avez des yeux mais vous ne regardez pas ! Vous avez des oreilles mais vous n'écoutez pas...car l'amour vous fait peur ! » La peur de voir le véritable danger qu'est la dictature chinoise aujourd'hui (il suffit de se référer au documentaire d'Envoyé spécial d'Octobre 2019), après la dictature russe ou américaine hier, nous pousse à ne voir pas plus loin que le bout de notre nez en ne regardant plus notre vie que comme suspendue à la lorgnette d'un microscope infectiologique !
Cette catastrophe mentale, comportementale, qui touche toutes les couches de la société, entraîne une dette abyssale qui ne se remboursera jamais par le sacrifice de la vie de nos enfants ! Cette fin d'humanité, certainement nécessaire, appelle de manière urgente à la conscience d'une nouvelle humanité dans nos cœurs et nos esprits...Comment ne pas voir nos hôpitaux inondés de besoins urgents et croissants de tous ordres quand la médecine générale ne fait plus depuis longtemps « barrage » à la misère de cœur et d'esprit de gens de plus en plus consommateurs de médicaments, tenus à l'écart et restant à l'écart d'une véritable politique de santé.Comme nos temples et nos églises se sont vidées au fil du temps, la matière ayant plus de prix que l'esprit, le médecin s'est transformé en simple docteur, ne prenant plus aucune responsabilité dans la gestion sanitaire de notre pays, de peur d'être attaqué, se contentant d'appliquer les directives technocratiques de l'Agence Nationale de l'Assurance Maladie et non de la Santé.Quand nos dirigeants s'attaquent à des médecines ancestrales comme l'Homéopathie qui fait faire des milliards d'économie à la société (les bilans d'activité de l'Assurance Maladie concernant chaque médecin en témoignent),comment est-il possible de continuer de voir privilégier les arrêts de travail et la psychiatrisation d'un pays qui ne va faire que s'accroître avec le tsunami sociétal qui s'annonce ?

La gestion de cette crise sanitaire s'est effectuée en prenant toutes les mesures barrières ! Est-ce-que, pour autant, toutes les barrières familiales, économiques, sociétales, nationales, internationales, mises en place par tous les dirigeants de tous les pays soit-disant concernés, ont permis de mesurer le désastre humain qu'elles ont entraînées, qu 'elles entraînent et qu'elles ne vont pas cesser d’entraîner si chacun ne se secoue pas de manière urgente dans son cœur et dans sa tête, pour réveiller sa conscience tombée dans un coma profond ?
L'immense majorité des personnes passées en réanimation dans le contexte de cette virologie présentaient une comorbidité : diabète, obésité, insuffisance respiratoire chronique, maladie cardiovasculaire. Tout le monde le sait ! C 'est une perfidie diabolique et une malhonnêteté intellectuelle que de les avoir ramenés à une seule cause virale mortifère !!! On a laissé les infectiologues faire le buzz, en nous parlant cette année, pour la première fois, malgré la bénignité des symptômes guérissant spontanément comme d'habitude, de pandémie, de première et de deuxième vague, encore plus anxiogène, de nécessité de tester, de vacciner comme toujours, de confinement, de reconfinement possible,...etc ; un vrai film d'horreur sur le plan médical et maintenant sociétal et mondial !
Comment des infectiologues européens ou anglo-saxons ont-ils pu rentrer dans le jeu de médecins et d'infectiologues chinois manipulés par la dictature chinoise, car il ne peut pas en être autrement quand nous regardons bien Envoyé spécial ? Les destructions sociales de tous ordres, les destructions mentales, sont des conséquences dont il est impossible de mesurer maintenant l'étendue. Directement ou indirectement le virus de la mort d'une humanité paisible et calme s'est emparé de la conscience collective... Les prêtres vont avoir encore plus de mal à dire à leurs paroissiens d'aller dans la paix du Christ s'ils arrivent à manquer de gel hydroalcoolique du fait de la séparation de l’Église et de l’État !

Si la France, qui est un petit pays sur la carte du monde, avait une aura diplomatique mondiale, c'était grâce à l'affirmation de son courage et de sa volonté de défendre l'indépendance des peuples et de leur liberté à disposer d'eux-mêmes, reflet de l'indépendance de chacun au service de tous, pour le bien d'une communauté nationale et à un échelon supérieur internationale.
La médiatisation informatique progressiste mondiale, en mettant de plus en plus de distanciation entre les hommes, en excluant les générations précédentes qui n'y avaient pas été préparées, a détruit le progrès humain et par voie de conséquence social nécessaires à l'équilibre et à l'harmonie de la vie de tous. La fuite en avant, qui ne faisait que s'accélérer dans la course effrénée aux besoins matériels, a entraîner la perte de conscience de la pureté, de la simplicité, de la vérité, d'une vie paisible et calme.
Dans toute chose il y a du Yin et du Yang, disent les Orientaux (peut-être pas les chinois?), et tout malheur est bon quand on sait l'interpréter ! Il n'y a pas, et il n'y aura pas, de retour dans ce que l'homme, manipulé depuis trop longtemps par son intellect,à la normale ! Car notre société fatiguée, arrêtée de travailler, psychiatrisée de plus en plus,dans des régions transformées en déserts médicaux, a perdu au fil des décennies le goût de l'effort, de la dignité, de la responsabilité, condamnant certains à se penser, à se croire (mais que pendant un temps), meilleurs que les autres, responsables à la place des autres, en compensation de leur négativité voulue et entretenue. La responsabilité de chacun dans le « Aides-toi et le Ciel t'aidera » a été effacée de la conscience collective.
Toutes ces « chinoiseries », propres à nous-mêmes, font que nous avons du mal, aujourd'hui plus que jamais, malgré l'histoire récente,à envisager le risque égotique surdimensionné d'une population 20 fois supérieure en nombre, à la notre.
Dans « le culte de la virologie de la mort » nous avons vu que 80 ans après 1940, le travail et donc le devoir de mémoire n'a pas été fait : l'affaiblissement de notre humanité et par voie de conséquence de nos pays ne peuvent résister à la moindre médiatisation diabolique d'un virus ; qu'il soit politique, économique, ou de santé publique...Comment ne pas perdre sa vie quand on a déjà perdu son âme, son esprit et par voie de conséquence sa raison et sa conscience. L'homme existentiel, nous l'avons vu, est condamné à penser, à croire, à se penser et à se croire, parce qu'il n'est pas !
Si le « virus de l'avoir » a tué le germe divin de l'être c'est que l'homme, depuis des générations, depuis toujours, depuis Adam et Eve,a préféré être « cloué au lit » par la grippe que d'être « cloué sur la croix » : les goûts, les envies, les besoins, les désirs, les plaisirs seuls, ont été privilégiés au détriment de la Passion du Christ, de la nécessité d'une mort spirituelle pour ressusciter à une vie divine, infinie et éternelle... Quand l'homme ne fait pas parti, ou ne fait plus parti, des êtres élus, choisis, appelés, amenés à être rendu justes, ils se prépare toujours à de nouvelles élections d'égos qui ne s'opposent que pour mortifier davantage un monde disparaissant des champs de la Véritable Conscience ! L'homme du XXIe siècle ne mène plus de politique valable et durable, il joue à la politique, comme on joue à la dînette (nos restaurants étoilés étant fermés) ou au docteur, grâce à internet et la télémédecine. Le progrès n'arrête pas le progrès ! Alors, comment expliquer que, du jour au lendemain, l'émerveillement d'hier de nos anciens de voir voler des oiseaux de plusieurs tonnes dans le ciel,disparaît tout d'un coup des radars d'un avenir prometteur ? Tout simplement car, malgré les signaux de détresse à travers de multiples plans de restructurations, incroyablement juteux pour certains dont le nom a déjà été effacé de la classe à scandales, l'homme actuel continuait à se fuir dans la quête au temps et à l'argent, sans comprendre qu'il faisait partie d'un tout dans l'interdépendance des phénomènes.Ayant perdu la notion du cœur, du centre ontologique de sa vie, il crée des fractures sociales,conjugales, familiales, sociétales qui l' affectent tellement qu'elles provoquent en lui et autour de lui des infarctus terribles.Avant cette crise médiatico- médico-économico-politique, toutes nos institutions, la Santé, la Justice, la Sécurité, l’Éducation, étaient déjà en soins palliatifs, perfusées de millions d'euros; ce qui nécessitait un semblant d'équilibre budgétaire. Aujourd'hui, elles se retrouvent toutes en coma profond, réclamant des milliards d'euros, de dollars, ou plutôt pour rester d'actualité, de yuans !
Étant éclairés et donc initiés ,nous avons compris,à travers les textes précédents, qu'il était maintenant urgent de résister aux champs des sirènes qui nous ont bercé si longtemps d'illusions, qu'elles soient intellectuelles, économiques, politiques, pleines de religiosité partisane politique, syndicale, culturelle ou cultuelle ; et ce, sans qu'il y ait toujours la moindre perspective de religion, de rassemblement universel, horizontal car vertical.
L'argent ne fait pas le bonheur ; mais il y contribue ! Il est donc nécessaire, pour sortir véritablement de cette dramaturgie hallucinante collective, que chacun fasse, s'il le peut encore, si cet épisode « viral » n'a pas détruit en lui ce qui restait de conscience et de raison, son travail d'introspection ; voir ce qui cloche en lui, s'il ne veut pas se voir mis définitivement sous cloche par ce qui s'est transformé en névrose obsessionnelle et en paranoïa en voyant chacun comme un pestiféré…

« Point de salut sans combat dans son intériorité » ; « charité bien ordonnée commence par soi-même » ; « pour être sauvé il faut-être sauveur »...autant de maximes qui exigent de se reprendre très vite ;à moins que nous attendions passivement les chinois comme repreneurs d'un état, d'un monde, en faillite spirituelle depuis trop longtemps, en faillite morale de plus en plus, en faillite économique maintenant évidente…
Courage, restons bien centrés sur nous, pour une vie pure, simple, intelligente, et le Satan prendra enfin la fuite, voyant notre demeure maintenant illuminée, alors qu'il se préparait à entrer et la piller pour la nième fois ! L'être spirituel rentre alors dans un nouveau monde, dans une Terre nouvelle, un Ciel nouveau, où sa transmutation au cœur de son être le transforme, entretient ce qui faisait sa vie d'hier et cultive ce qui fait sa vie d'aujourd'hui pour demain  ; où plus l'ombre d'un virus ne plane sur son âme et son esprit, pour finir par se voir transfiguré dans une Volonté Suprême Absolue dont la clarté éblouit tellement qu'aucune autre volonté relative ne peut s'exprimer en sa présence ; C'est la vision essentielle à la Vraie Vie du bon apôtre...qui marche sur le Chemin de l'Espérance !
« Ne craignez plus un monde nouveau s'offre à vous ! » ; il suffit seulement d'avoir peur d'avoir peur selon le principe homéopathique si souvent décrié: le mal contre le mal ; l'Homme contre le Satan... Mais,c'est vrai, toutes ces critiques contre une médecine humaine qui englobe tous nos maux pour sauver chaque être de l'inconscience de ce monde de plus en plus mortifère autrement, étaient bien avant cette crise !
Nous sommes dans une fin d'humanité car c'est son âme qu'on assassine. Seuls quelques uns sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité qui ne passe pas par des élections égotiques illusoires mais une Eliction à la pureté, la simplicité, l'humilité ; car c'est toujours, malheureusement pour certains qui auraient pu faire le choix de la vie et qui ont fait le choix de la mort, « beaucoup d'appelés et peu d'élus ! ». « Laissons les morts enterrer les morts... »
La nouvelle vie qui s'offre toujours à l'être conscient est celle de l'au-delà : celle de ses enfants élevés à la conscience des sages, des maîtres, de Dieu, pour une vie meilleure et un monde meilleur ; celle du paradis de leur cœur retrouvé par le détachement de ce monde infernal, dans une joie inexprimable, un bonheur imprenable qui ne s'achète pas par la cupidité d'hommes qui auraient les yeux en amande horizontale et non verticale. Il est à craindre pour bon nombre d'entre nous qui ne travailleraient pas, ne s'informeraient pas et continueraient de se laisser mal informés, que leur présence de plus en plus envahissante ne présage pas celle de la douceur de vivre. Alors il est temps encore, non de réagir comme bon nombre de gouvernants de ce monde,mais de se révolter contre soi-même, ses insuffisances, insouciances, inconsciences, qui remontent à des générations, pour retrouver la Justice et le Bonté : la plan divin de la Genèse et de la Création !
Car, selon la sagesse de Confucius : « Celui qui se juge avec rigueur et sévérité évite les mécontentements !»
C'est ainsi que la preuve de l'Amour demeure le témoignage...de sa propre évolution.
Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais pour être sauveur, il faut être sauvé !
C'est avec le temps et le travail que l'homme reconstruit le temple de sa vie intérieure, infinie et éternelle…
Mon Dieu... que c'est beau !!! dit l'enfant émerveillé.
Alors comment arrêter maintenant «  ce cirque de Pékin » ? Comment arriver à sa dernière représentation mortifère sur nos plateaux télés reliés à des services d'urgence d'une France ne vivant plus que dans la peur constante de la réanimation compte tenu de tous les maux qu'elle porte en son sein ? Comment arrêter ce bal masqué de nos voyageurs dans les couloirs de métros où sur les quais de trains qui ne sont toujours qu 'en partance pour des destinations futiles et éphémères, mais qui sont encore là pour nous faire oublier, mais pas complètement, d'autres vagues dramatiques de virus de notre triste humanité avec des trains dans lesquels il n'y avait pas de billet retour ? N'ayons plus besoin, comme toujours, en sales gamins désobéissants, de passer par le jeu des expériences amères !
Pour cela il faut impérativement retourner à son cœur et retrouver son âme d'enfant, pour retrouver des valeurs spirituelles et morales, des lois de la vie et de la nature, pour que nos propres enfants, charité bien ordonnée commence par soi-même, ne se retrouvent plus confinés dès leur plus jeune âge dans la froideur de l'intellectualisation à outrance, l'informatisation, la propulsion à vitesse grand « G » de leur âme et de leur esprit dans des sphères internautes où l'illusion de la communication détruit la chaleur des relations humaines.
Comment s'étonner dès lors d'une planète en feu, de son réchauffement, avec toutes ses guerres, quand l'homme devient de plus en plus infernal ? Ne combattant pas dans son intériorité grâce à la parole des sages et des maîtres, il éprouve toujours le besoin de détruire ce que le Principe Créateur ne cesse, Lui, de vouloir construire : Sa véritable humanité.
Depuis toujours, l'humanité a été sauvée par le retour à une vie pure, simple et aimante. Alors, assez ; suffit ! Baissons rapidement maintenant les masques de nos illusions, de nos sentiments, de nos faussetés, de nos doutes, de nos angoisses, de notre animalité, et prenons, en raison et en conscience retrouvées, le Chemin de la Vérité et de la Vraie Vie…
Portons notre âme et notre esprit à l'écoute de notre cœur et nous n'aurons plus besoin de cacher derrière un masque les affres de notre inhumanité ! Pour que nous puissions chanter à nouveau dans nos demeures, avec nos enfants, pour nos enfants, petits enfants, arrières petits enfants... de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit« Heureux les cœurs purs... »