mercredi 3 juin 2020

LA DICTATURE D'UN VIRUS ET DE SES CHINOISERIES

Après la dictature politique, la dictature prolétarienne, la dictature de l'argent, voici venu le temps de la dictature virale! la question fondamentale c'est de savoir comment Charlot arriverait à la mimer ? Car ce virus après s'être emparé de nos âmes et de nos esprits, détruit notre logique et notre bon sens,notre savoir clinique médical en le ramenant à la seule science des laboratoires biologiques et d'infectiologie effrayant dans leurs pronostics mortifères, s'attaque maintenant, de manière irréversible pour beaucoup d'entre nous,à ce qui restait de tissu économique, politique et sociétal, de nos sociétés industrialisées qui se voulaient très évoluées dans la gestion des catastrophes et de leurs conséquences.
«  La peur du docteur » qu'avaient autrefois les enfants, lorsqu'ils devaient être vaccinés, se serait transformée en peur des docteurs et de leurs clients de ne pas être tous vaccinés ? En fait, comme le souligne l'Apôtre Marc, chapitre5 : « Vous avez des yeux mais vous ne regardez pas ! Vous avez des oreilles mais vous n'écoutez pas...car l'amour vous fait peur ! » La peur de voir le véritable danger qu'est la dictature chinoise aujourd'hui (il suffit de se référer au documentaire d'Envoyé spécial d'Octobre 2019), après la dictature russe ou américaine hier, nous pousse à ne voir pas plus loin que le bout de notre nez en ne regardant plus notre vie que comme suspendue à la lorgnette d'un microscope infectiologique !
Cette catastrophe mentale, comportementale, qui touche toutes les couches de la société, entraîne une dette abyssale qui ne se remboursera jamais par le sacrifice de la vie de nos enfants ! Cette fin d'humanité, certainement nécessaire, appelle de manière urgente à la conscience d'une nouvelle humanité dans nos cœurs et nos esprits...Comment ne pas voir nos hôpitaux inondés de besoins urgents et croissants de tous ordres quand la médecine générale ne fait plus depuis longtemps « barrage » à la misère de cœur et d'esprit de gens de plus en plus consommateurs de médicaments, tenus à l'écart et restant à l'écart d'une véritable politique de santé.Comme nos temples et nos églises se sont vidées au fil du temps, la matière ayant plus de prix que l'esprit, le médecin s'est transformé en simple docteur, ne prenant plus aucune responsabilité dans la gestion sanitaire de notre pays, de peur d'être attaqué, se contentant d'appliquer les directives technocratiques de l'Agence Nationale de l'Assurance Maladie et non de la Santé.Quand nos dirigeants s'attaquent à des médecines ancestrales comme l'Homéopathie qui fait faire des milliards d'économie à la société (les bilans d'activité de l'Assurance Maladie concernant chaque médecin en témoignent),comment est-il possible de continuer de voir privilégier les arrêts de travail et la psychiatrisation d'un pays qui ne va faire que s'accroître avec le tsunami sociétal qui s'annonce ?

La gestion de cette crise sanitaire s'est effectuée en prenant toutes les mesures barrières ! Est-ce-que, pour autant, toutes les barrières familiales, économiques, sociétales, nationales, internationales, mises en place par tous les dirigeants de tous les pays soit-disant concernés, ont permis de mesurer le désastre humain qu'elles ont entraînées, qu 'elles entraînent et qu'elles ne vont pas cesser d’entraîner si chacun ne se secoue pas de manière urgente dans son cœur et dans sa tête, pour réveiller sa conscience tombée dans un coma profond ?
L'immense majorité des personnes passées en réanimation dans le contexte de cette virologie présentaient une comorbidité : diabète, obésité, insuffisance respiratoire chronique, maladie cardiovasculaire. Tout le monde le sait ! C 'est une perfidie diabolique et une malhonnêteté intellectuelle que de les avoir ramenés à une seule cause virale mortifère !!! On a laissé les infectiologues faire le buzz, en nous parlant cette année, pour la première fois, malgré la bénignité des symptômes guérissant spontanément comme d'habitude, de pandémie, de première et de deuxième vague, encore plus anxiogène, de nécessité de tester, de vacciner comme toujours, de confinement, de reconfinement possible,...etc ; un vrai film d'horreur sur le plan médical et maintenant sociétal et mondial !
Comment des infectiologues européens ou anglo-saxons ont-ils pu rentrer dans le jeu de médecins et d'infectiologues chinois manipulés par la dictature chinoise, car il ne peut pas en être autrement quand nous regardons bien Envoyé spécial ? Les destructions sociales de tous ordres, les destructions mentales, sont des conséquences dont il est impossible de mesurer maintenant l'étendue. Directement ou indirectement le virus de la mort d'une humanité paisible et calme s'est emparé de la conscience collective... Les prêtres vont avoir encore plus de mal à dire à leurs paroissiens d'aller dans la paix du Christ s'ils arrivent à manquer de gel hydroalcoolique du fait de la séparation de l’Église et de l’État !

Si la France, qui est un petit pays sur la carte du monde, avait une aura diplomatique mondiale, c'était grâce à l'affirmation de son courage et de sa volonté de défendre l'indépendance des peuples et de leur liberté à disposer d'eux-mêmes, reflet de l'indépendance de chacun au service de tous, pour le bien d'une communauté nationale et à un échelon supérieur internationale.
La médiatisation informatique progressiste mondiale, en mettant de plus en plus de distanciation entre les hommes, en excluant les générations précédentes qui n'y avaient pas été préparées, a détruit le progrès humain et par voie de conséquence social nécessaires à l'équilibre et à l'harmonie de la vie de tous. La fuite en avant, qui ne faisait que s'accélérer dans la course effrénée aux besoins matériels, a entraîner la perte de conscience de la pureté, de la simplicité, de la vérité, d'une vie paisible et calme.
Dans toute chose il y a du Yin et du Yang, disent les Orientaux (peut-être pas les chinois?), et tout malheur est bon quand on sait l'interpréter ! Il n'y a pas, et il n'y aura pas, de retour dans ce que l'homme, manipulé depuis trop longtemps par son intellect,à la normale ! Car notre société fatiguée, arrêtée de travailler, psychiatrisée de plus en plus,dans des régions transformées en déserts médicaux, a perdu au fil des décennies le goût de l'effort, de la dignité, de la responsabilité, condamnant certains à se penser, à se croire (mais que pendant un temps), meilleurs que les autres, responsables à la place des autres, en compensation de leur négativité voulue et entretenue. La responsabilité de chacun dans le « Aides-toi et le Ciel t'aidera » a été effacée de la conscience collective.
Toutes ces « chinoiseries », propres à nous-mêmes, font que nous avons du mal, aujourd'hui plus que jamais, malgré l'histoire récente,à envisager le risque égotique surdimensionné d'une population 20 fois supérieure en nombre, à la notre.
Dans « le culte de la virologie de la mort » nous avons vu que 80 ans après 1940, le travail et donc le devoir de mémoire n'a pas été fait : l'affaiblissement de notre humanité et par voie de conséquence de nos pays ne peuvent résister à la moindre médiatisation diabolique d'un virus ; qu'il soit politique, économique, ou de santé publique...Comment ne pas perdre sa vie quand on a déjà perdu son âme, son esprit et par voie de conséquence sa raison et sa conscience. L'homme existentiel, nous l'avons vu, est condamné à penser, à croire, à se penser et à se croire, parce qu'il n'est pas !
Si le « virus de l'avoir » a tué le germe divin de l'être c'est que l'homme, depuis des générations, depuis toujours, depuis Adam et Eve,a préféré être « cloué au lit » par la grippe que d'être « cloué sur la croix » : les goûts, les envies, les besoins, les désirs, les plaisirs seuls, ont été privilégiés au détriment de la Passion du Christ, de la nécessité d'une mort spirituelle pour ressusciter à une vie divine, infinie et éternelle... Quand l'homme ne fait pas parti, ou ne fait plus parti, des êtres élus, choisis, appelés, amenés à être rendu justes, ils se prépare toujours à de nouvelles élections d'égos qui ne s'opposent que pour mortifier davantage un monde disparaissant des champs de la Véritable Conscience ! L'homme du XXIe siècle ne mène plus de politique valable et durable, il joue à la politique, comme on joue à la dînette (nos restaurants étoilés étant fermés) ou au docteur, grâce à internet et la télémédecine. Le progrès n'arrête pas le progrès ! Alors, comment expliquer que, du jour au lendemain, l'émerveillement d'hier de nos anciens de voir voler des oiseaux de plusieurs tonnes dans le ciel,disparaît tout d'un coup des radars d'un avenir prometteur ? Tout simplement car, malgré les signaux de détresse à travers de multiples plans de restructurations, incroyablement juteux pour certains dont le nom a déjà été effacé de la classe à scandales, l'homme actuel continuait à se fuir dans la quête au temps et à l'argent, sans comprendre qu'il faisait partie d'un tout dans l'interdépendance des phénomènes.Ayant perdu la notion du cœur, du centre ontologique de sa vie, il crée des fractures sociales,conjugales, familiales, sociétales qui l' affectent tellement qu'elles provoquent en lui et autour de lui des infarctus terribles.Avant cette crise médiatico- médico-économico-politique, toutes nos institutions, la Santé, la Justice, la Sécurité, l’Éducation, étaient déjà en soins palliatifs, perfusées de millions d'euros; ce qui nécessitait un semblant d'équilibre budgétaire. Aujourd'hui, elles se retrouvent toutes en coma profond, réclamant des milliards d'euros, de dollars, ou plutôt pour rester d'actualité, de yuans !
Étant éclairés et donc initiés ,nous avons compris,à travers les textes précédents, qu'il était maintenant urgent de résister aux champs des sirènes qui nous ont bercé si longtemps d'illusions, qu'elles soient intellectuelles, économiques, politiques, pleines de religiosité partisane politique, syndicale, culturelle ou cultuelle ; et ce, sans qu'il y ait toujours la moindre perspective de religion, de rassemblement universel, horizontal car vertical.
L'argent ne fait pas le bonheur ; mais il y contribue ! Il est donc nécessaire, pour sortir véritablement de cette dramaturgie hallucinante collective, que chacun fasse, s'il le peut encore, si cet épisode « viral » n'a pas détruit en lui ce qui restait de conscience et de raison, son travail d'introspection ; voir ce qui cloche en lui, s'il ne veut pas se voir mis définitivement sous cloche par ce qui s'est transformé en névrose obsessionnelle et en paranoïa en voyant chacun comme un pestiféré…

« Point de salut sans combat dans son intériorité » ; « charité bien ordonnée commence par soi-même » ; « pour être sauvé il faut-être sauveur »...autant de maximes qui exigent de se reprendre très vite ;à moins que nous attendions passivement les chinois comme repreneurs d'un état, d'un monde, en faillite spirituelle depuis trop longtemps, en faillite morale de plus en plus, en faillite économique maintenant évidente…
Courage, restons bien centrés sur nous, pour une vie pure, simple, intelligente, et le Satan prendra enfin la fuite, voyant notre demeure maintenant illuminée, alors qu'il se préparait à entrer et la piller pour la nième fois ! L'être spirituel rentre alors dans un nouveau monde, dans une Terre nouvelle, un Ciel nouveau, où sa transmutation au cœur de son être le transforme, entretient ce qui faisait sa vie d'hier et cultive ce qui fait sa vie d'aujourd'hui pour demain  ; où plus l'ombre d'un virus ne plane sur son âme et son esprit, pour finir par se voir transfiguré dans une Volonté Suprême Absolue dont la clarté éblouit tellement qu'aucune autre volonté relative ne peut s'exprimer en sa présence ; C'est la vision essentielle à la Vraie Vie du bon apôtre...qui marche sur le Chemin de l'Espérance !
« Ne craignez plus un monde nouveau s'offre à vous ! » ; il suffit seulement d'avoir peur d'avoir peur selon le principe homéopathique si souvent décrié: le mal contre le mal ; l'Homme contre le Satan... Mais,c'est vrai, toutes ces critiques contre une médecine humaine qui englobe tous nos maux pour sauver chaque être de l'inconscience de ce monde de plus en plus mortifère autrement, étaient bien avant cette crise !
Nous sommes dans une fin d'humanité car c'est son âme qu'on assassine. Seuls quelques uns sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité qui ne passe pas par des élections égotiques illusoires mais une Eliction à la pureté, la simplicité, l'humilité ; car c'est toujours, malheureusement pour certains qui auraient pu faire le choix de la vie et qui ont fait le choix de la mort, « beaucoup d'appelés et peu d'élus ! ». « Laissons les morts enterrer les morts... »
La nouvelle vie qui s'offre toujours à l'être conscient est celle de l'au-delà : celle de ses enfants élevés à la conscience des sages, des maîtres, de Dieu, pour une vie meilleure et un monde meilleur ; celle du paradis de leur cœur retrouvé par le détachement de ce monde infernal, dans une joie inexprimable, un bonheur imprenable qui ne s'achète pas par la cupidité d'hommes qui auraient les yeux en amande horizontale et non verticale. Il est à craindre pour bon nombre d'entre nous qui ne travailleraient pas, ne s'informeraient pas et continueraient de se laisser mal informés, que leur présence de plus en plus envahissante ne présage pas celle de la douceur de vivre. Alors il est temps encore, non de réagir comme bon nombre de gouvernants de ce monde,mais de se révolter contre soi-même, ses insuffisances, insouciances, inconsciences, qui remontent à des générations, pour retrouver la Justice et le Bonté : la plan divin de la Genèse et de la Création !
Car, selon la sagesse de Confucius : « Celui qui se juge avec rigueur et sévérité évite les mécontentements !»
C'est ainsi que la preuve de l'Amour demeure le témoignage...de sa propre évolution.
Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais pour être sauveur, il faut être sauvé !
C'est avec le temps et le travail que l'homme reconstruit le temple de sa vie intérieure, infinie et éternelle…
Mon Dieu... que c'est beau !!! dit l'enfant émerveillé.
Alors comment arrêter maintenant «  ce cirque de Pékin » ? Comment arriver à sa dernière représentation mortifère sur nos plateaux télés reliés à des services d'urgence d'une France ne vivant plus que dans la peur constante de la réanimation compte tenu de tous les maux qu'elle porte en son sein ? Comment arrêter ce bal masqué de nos voyageurs dans les couloirs de métros où sur les quais de trains qui ne sont toujours qu 'en partance pour des destinations futiles et éphémères, mais qui sont encore là pour nous faire oublier, mais pas complètement, d'autres vagues dramatiques de virus de notre triste humanité avec des trains dans lesquels il n'y avait pas de billet retour ? N'ayons plus besoin, comme toujours, en sales gamins désobéissants, de passer par le jeu des expériences amères !
Pour cela il faut impérativement retourner à son cœur et retrouver son âme d'enfant, pour retrouver des valeurs spirituelles et morales, des lois de la vie et de la nature, pour que nos propres enfants, charité bien ordonnée commence par soi-même, ne se retrouvent plus confinés dès leur plus jeune âge dans la froideur de l'intellectualisation à outrance, l'informatisation, la propulsion à vitesse grand « G » de leur âme et de leur esprit dans des sphères internautes où l'illusion de la communication détruit la chaleur des relations humaines.
Comment s'étonner dès lors d'une planète en feu, de son réchauffement, avec toutes ses guerres, quand l'homme devient de plus en plus infernal ? Ne combattant pas dans son intériorité grâce à la parole des sages et des maîtres, il éprouve toujours le besoin de détruire ce que le Principe Créateur ne cesse, Lui, de vouloir construire : Sa véritable humanité.
Depuis toujours, l'humanité a été sauvée par le retour à une vie pure, simple et aimante. Alors, assez ; suffit ! Baissons rapidement maintenant les masques de nos illusions, de nos sentiments, de nos faussetés, de nos doutes, de nos angoisses, de notre animalité, et prenons, en raison et en conscience retrouvées, le Chemin de la Vérité et de la Vraie Vie…
Portons notre âme et notre esprit à l'écoute de notre cœur et nous n'aurons plus besoin de cacher derrière un masque les affres de notre inhumanité ! Pour que nous puissions chanter à nouveau dans nos demeures, avec nos enfants, pour nos enfants, petits enfants, arrières petits enfants... de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit« Heureux les cœurs purs... »

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