dimanche 21 juin 2020

Le Grand Pardon

                                                       
                                                             LE GRAND PARDON


Le grand pardon c'est tout d'abord celui de la dictature chinoise qui a mis sous l'éteignoir en le fichant le peuple chinois pour ne plus voir de manifestation comme celle de la place Tien-An-Men.
C'est celui des médecins et infectiologues chinois, qui en toute « liberté » bien sûr,ont averti le monde entier du risque d'une pandémie mortifère « sans précédent », et ont fait part de leur grande expérience dans la manipulation des différents virus dont ils sont toujours victimes en priorité ; ce qui les a amenés à construire en toute urgence un hôpital de fortune, compte tenu du manque bien sûr d'infrastructures hospitalières en place, du manque de moyens à leur disposition pour bien comptabiliser leur nombre de victimes, et signifier la nécessité d'intervenir rapidement pour développer la notion d'isolement indispensable à la survie de la planète;leur préoccupation dictatoriale de la santé mondiale est édifiante et bien sûr émouvante !
C'est celui des infectiologues français, européens, anglo-saxons qui, au nom de la grande communauté internationale médicale, se sont appuyés sur les dires de leurs grands homologues chinois pour se disputer la une des meilleures dispositions à prendre pour sauver l'espèce humaine d'un risque mortifère sans précédent.Ce fut le temps de la course (à ne pas confondre avec les courses) à l'isolement, à l'enfermement des « nouveaux pestiférés »,à la distanciation telle, qu'elle a emporté un nombre considérable de connaissances, parents ou amis, au milieu de l'océan de la négativité de ce monde, quand certains ne gisent pas au fond même de cet océan. Ça été, et c'est bien sûr encore pourquoi pas, la goutte d'eau qui continue a faire déborder le vase ! Le vase de l'insouciance, de l'inconscience, de l'immaturité de chacun, de sa perte de logique, de bon sens, de mesure ; c'est le vase aujourd'hui des craintes et des peurs économiques, politiques et sociales ; c'est le vase demain des détresses morales, physiques, conjugales, familiales, sociétales,mondiales…
C'est celui de grands scientifiques qui ont contribué à propager, pour la première fois, la notion de pandémie ; de première et donc de deuxième vague possible, si nous ne restions pas au fond de nous toujours morts de peur ! Et ce, malgré d'autres épidémies sorties tout droit des archives de notre inconscient collectif, comme la grippe asiatique, la grippe aviaire, le s.r.a.s , toutes les grippes saisonnières, au moins aussi mortifères toujours dans le cadre de comorbidités comme le diabète, l'obésité, les maladies cardiovasculaires et respiratoires chroniques, les cancers...etc. C'est ainsi le grand pardon pour tous les virus mentaux, affectifs, comportementaux, oubliés au fond des tiroirs des laboratoires chimiques et des instituts de recherche financés par les américains ou les chinois; avec des chercheurs qui ne dissocieraient plus l'esprit et l'âme du corps, et qui auraient pu, peut-être eux-aussi, comme Mathieu Ricard, devenir moines tibétains! C'est le grand pardon de la non-reconnaissance de leur participation à la détresse respiratoire qui n'a été, ou qui n'aurait-été malheureusement pour certains, que gène respiratoire ou juste aggravation d'un problème respiratoire préexistant, comme au par avant avec n'importe quel virus biologique !  
C 'est celui des grands politologues, retranchés derrière tellement de preuves scientifiques qu'elles ont détruit toute conscience universelle ! « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme »dit Rabelais.
C'est celui de l' intellectuellement correct, du politiquement correct, du scientifiquement correct, du médicalement correct, dans une France déjà arrêtée de travailler trop souvent, de plus en plus psychiatrisée, manipulée, formatée, sacrifiée sur l'autel de divinités médiatisées.
C'est celui du port d'un masque par des gens qui déjà ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez, pour maintenant ne plus le voir du tout. De gens qui continuent d' avancer le visage encore masqué au point de ne plus pouvoir envisager quoique ce soit de meilleur à l'horizon, qu'une récession économique terrible comme conséquence de leurs régressions mentales et comportementales du fait de leur perte de toute logique et de bon sens individuel et donc collectif.
C'est celui d'une psychose-maniaco-dépressive que connaissent bien les psychiatres : celui de le crainte et de la peur de l'impureté, de l'imperfection, qui vous amène à vous laver toute la journée les mains des souillures, flétrissures, ordures de ce monde insouciant, inconscient, immature, jusqu'au soir où la pourriture de l'âme et de l'esprit vous plonge dans une dépression sans fond.
C'est celui aujourd'hui de pauvres enfants, victimes du « tout sécuritaire »,contraints à des exigences sanitaires qui ne concernent que le corps physique les obligeant de se laver les mains 10 fois /jour, sous la conduite d'enseignants très éclairés, mesurant parfaitement la gravité de la crise sanitaire avec, comme en Belgique, 0,89 mort pour mille habitants attribués au seul virus sans tenir compte des comorbidités. C'est au cours préparatoire que les enfants étaient censés apprendre à lire, à écrire, mais aussi à compter. Il serait horrible de penser que la suppression du certificat d'études depuis des décennies ferait qu'aujourd'hui moins de morts en Mars 2020, qu'en Mars 2019 ou 2017 aurait une résonance plus grave !
C'est celui d'une société dans lesquelles il n'y aurait plus de facultés d'enseignement pour des enfants ayant perdu toute faculté de concentration, de motivation, de réalisation, pour ne pas avoir reçu l'enseignement de l'écoute, de la vision, de la compréhension nécessaire pour une vie future, avec des parents absents, occupés à bien trop de choses en compensation de leur propre négativité, pour se préoccuper de la vie présente et donc future de leurs enfants.
C'est celui du brillantissime scientisme intellectuel, tellement focalisé dans un domaine qu'il occulte toute conscience universelle, entretenant toujours le principe du « après moi, le déluge ! »
C'est celui d'une dramaturgie collective hallucinante sans précédent qui ne peut être attribuée qu'à une perte de la conscience de la défense nationale,de son indépendance, du haut de la pyramide sociétale vers sa base, et qui a fini par amener certains philosophes, trois mois après, à sortir de leur propre confinement et tenter de rappeler tous les soi-disant responsables à la raison : autrement dit, les quelques survivants à leur propre négativité, ayant gardé un minimum de volonté, de courage, et de dignité, pour rentrer en résistance et ne pas sombrer dans cette moutonnerie !
C'est celui d'un monde tellement mortifié de peur qu'il en devient totalement décérébré, porteur d'un nouveau gène d'une telle idiotie qu'elle fait disparaître toute capacité normalement attribué à la nature humaine !
C'est celui d'un monde qui a perdu le sens du recueillement, de la vigilance, de l'attention à l'autre, pour devenir horriblement violent et totalement destructeur. C'est celui d'un monde qui continue de crucifier le Christ pour qu'Il n'arrête pas de dire : "Pardonnes-leur Seigneur; ils ne savent pas ce qu'ils font!"
C'est celui d'un monde qui marche toujours la tête à l'envers, qui regarde les réalités d'en bas au lieu de regarder le réalités d'en haut comme dit Saint Paul ; C'est celui du monde déchu de l'immanence qui tombe sous l'influence de la médiatisation diabolique dans son animalité ; au lieu de retourner à la force de sa divinité par la transcendance de son humanité affaiblie, de plus en plus fragilisée et sensibilisée…
C'est celui d'un monde désespéré de n'être pas retourné au Père et de l'avoir perdu de vue ; d'un monde sombrant dans les ténèbres à force de tourner le dos à la Lumière.D'un monde dans lequel l'homme serait condamné à penser, à croire, à se croire parce qu'il ne serait plus conscient de la nécessité d'être?
C'est celui de la désunion, division, séparation (les divorces de la vie), distanciation, qui fait sortir l'homme du champ des radars de la conscience pour se retrouver au milieu, ou pire, au fond de l'océan de la négativité de ce monde emporté par les vagues du déluge qu'est l'inconscience de chacun d'entre nous.
C'est celui d'un État providence en faillite parce qu'il aurait failli, en privilégiant le droit électoraliste à l'assistanat, au détriment du devoir de chacun ; c'est celui d'une dette qui ne serait plus une dette parce qu'il n'y aurait plus de remboursement crédible possible, mais de plus en plus le sacrifice des générations futures.
C'est celui d'un monde au goût sexiste, qui ne respecte plus les lois de la vie,de la nature et de la Création ; au détriment des lois de sagesse et d'amour d'une sexualité génératrice d'une vie familiale bien établie, structurée; véritable microcosme fondateur d'une vie sociétale basée sur le respect de chacun; comme cela est stipulé dans le "Contrat social" de Jean Jacques Rousseau!
C'est celui d'un monde matériel dont le culte de la mort voudrait, plus que jamais, empêcher de croire en la Résurrection de la Vie...grâce à la transmission de valeurs spirituelles et morales indispensables à la pérennisation de l'humanité.



Un des Commandements étant : « Tu ne jugeras point ! » ; le « grand pardon » trouve, dès lors, toute sa raison d'être…
D'autant plus qu'un autre Commandement est « d'aimer nos ennemis » : en effet, ils se présentent à nous comme les révélateurs que nous étions, bien avant eux, nos propres ennemis ; des victimes de chamailleries infantiles signifiant depuis longtemps notre appartenance à une société de plus en plus inculte, immature et décadente...dans laquelle l'absence de discernement, de logique, de bon sens, de révolte intérieure, plonge les survivants dans l'inconscience, et les met de plus en plus à la merci d'une médiatisation diabolique supersonique, qui fait tellement de bruit qu'il n'y a plus, au bout d'un moment, d'écoute de la vérité possible.La rapidité de l'information détruit le temps de la culture, de la référence, de l'enseignement de l'histoire, de l'enrichissement de l'esprit de la sagesse des grands maîtres de la philosophie, de la théologie, de la mystique, pour nourrir notre époque d'une conscience collective universelle.Car le risque est de plus en plus grand de voir cette animalité de l'inconscience se développer de plus en plus pour dévorer ce qui reste de spiritualité dans ce monde, à l'image d'Hitler qui avait fait brûler tous les livres pour ne garder que celui de la culture nazie...L'invasion du Tibet par les chinois et la destruction des textes du Bouddha en est un autre exemple qui annonçait bien ce rejet par « l'homme du pouvoir des ténèbres» de la quête de la lumière. Mais heureusement, peut être en compensation, les infectiologues chinois maintenant veillent sur nous, pour nous soulager de tous les virus qui pourraient encore générer des craintes et des peurs ; nous permettant maintenant de nous endormir dans un monde du "matin calme" toujours aussi paisible et serein !
Le « grand pardon » c'est celui de tous ceux dont les terres intérieures n'ont pas été cultivées et qui ne récoltent aujourd'hui que « des ronces et des épines »…


« Le Grand Pardon » c'est celui du grand peuple Hébreu : de tous ceux qui font la traversée de leur désert pour retrouver la Terre Sainte de leur intériorité qu'est leur cœur centre ontologique, celui de la genèse et de la création d'une vie meilleure et d'un monde meilleur.
Le Grand Pardon c'est tout ce qui passe par le don de l'écoute, de la vision, de la compréhension de la Justice, de la Bonté, de la Vérité. « Quand l'Homme écoute, dit Saint Paul, toutes les portes de son cœur, de son esprit, de sa vie céleste comme terrestre, s'ouvrent pour lui! » C'est la Pessah des Juifs (des Justes), c'est la porte de passage du monde sensible du malheur dans le Royaume intelligible du bonheur.C'est un immense bonheur, infini et éternel, que de ne pas être aveugle et sourd à l'Appel de l'Amour de Dieu, le Père, et de ne plus être désespéré... « Écoutes Israël ! Quand donc écouteras-tu ma Parole avec ton cœur ? Sans quoi il n'y aura sur cette terre que pleurs et grincements de dents ! »(Deutéronome, ch 8). C'est celui d'un peuple qui n'a plus la nuque raide et n'a plus besoin de se faire manipulé!
Le Grand Pardon c'est celui de la joie de la pauvreté (du détachement impassible) face à la tristesse de la possession. C'est la transformation du risque de l'avoir (les « virus ») à la ferme volonté de l'être ; de l'asservissement, à la libération de l'âme et de l'esprit ; de la pollution de l'âme et de l'esprit par les souillures, flétrissures et ordures de ce monde, à la pureté de l'intention d'aimer la vie et de l'embrasser toujours plus, dans la nécessité de devenir meilleur.C'est le refus de devenir mouton pour demeurer berger…C'est la Miséricorde de Dieu qui fait sortir l'homme de la misère de son cœur et de son esprit.
Le Grand Pardon c'est donc pour tous les éclairés, les initiés, le combat (et non la guerre) perpétuel contre les forces des ténèbres des gentils comme des mauvais : c'est un témoignage, un appel, un amen vers la Lumière d'un Seul et Même Jour. Vers la porte de passage de l'horizontalité du mal, du mal-être, de la maladie et de la mort certaine, à la verticalité de la Vraie Vie Infinie et Éternelle des justes ! C'est le témoignage de l'amour de son prochain pour ne pas demeurer dans la mort (Jn,1). C'est celui de « la Charité qu'est la Loi dans sa plénitude » dit Saint Augustin : tout ce qui se donne à l'Homme qui se tourne vers le tribunal céleste de son cœur et revendique l'autorité et l'exigence de la Loi de l'Amour ; qui soumet son obéissance à la Justice supérieure des Commandements…
C'est celui de la traversée de la mer rouge, du passage de l'humide au sec, des Eaux tumultueuses de ce monde d'en-bas aux Eaux paisibles et calmes du Royaume d'en-haut. C'est celui de la conversion vers l'élévation et l'évolution pour remédier à l'inversion et la chute mortelle : c'est arrêter de marcher sur la tête dans le non-sens, voire l'insensé, et la remettre à l'endroit dans le bon sens.
C'est celui de l'Homme responsable, debout et en marche de son humanité vers sa divinité : de l'être intellectuel redevenu spirituel ; du docteur redevenu médecin de l'âme et de l'esprit comme du corps ; du politique ne cherchant plus à se donner bonne conscience en compensation d'un manque de conscience général ; d'un papa et d'une maman ne se contentant pas de l'acte procréateur de l'enfantement, mais redevenant père et mère, matrice de vie et puissance créatrice de vie infinie et éternelle pour leurs enfants, et à travers leurs enfants pour la vie du monde à venir... 
C'est celui des combattants de la Résistance dans une France défigurée par le "tout sécuritaire" et déjà occupée par les chinoiseries économico-sanitaires et politiciennes; c'est sa libération des gestes barrières et des laissez-passer qui sortaient le tapis rouge pour l'arrivée du dictateur chinois!
C'est celui de pères et de mères, de grand-pères et de grands mères, qui gardent en eux, contre eux , le souffle de vie de leurs enfants et petits-enfants salvateur de la patrie et du monde...
C'est celui du salut de l'humanité dans l'Arche d' Alliance, quand l'Archétype ( le Principe céleste) s'unit à nouveau à Sa Création ( la réalisation terrestre).
Le Grand Pardon c'est quand l'homme renonce à tout ce qu'il est, à tout ce qu'il a, pour retourner à sa nature divine originelle en transformant sa nature humaine faible, fragile, sensible en être créateur à l'Image et à la Ressemblance de Dieu. C'est la solidité, la fermeté, la constance de la fixité de l'Homme en Dieu, qui ne peut plus se fixer sur aucune créature; c'est la transformation de la chenille, qui dévore la feuille, en papillon, devenu léger et d'une beauté remarquable en participant à la pollinisation ; et dont, contrairement aux apparences, le battement d'aile à l'équateur peut entraîner un tremblement de terre à l'autre bout du monde...


Le Grand Pardon c'est ce qui est donné à l'Homme qui remet pleinement son âme et sa conscience dans les mains de la Vie, et qui ne craint plus; car un monde nouveau s'offre à lui : celui qu'il crée grâce à l'intelligence de son cœur…
Tel est le sens de la Foi, de la certitude que demain sera meilleur : "c'est ce que l’œil n'a pas vu; ce que l'oreille n'a pas entendu; ce qui n'est pas venu à l'esprit de l'homme" dit Saint Pierre. Il suffit pour cela de se rendre au cœur de soi-même pour devenir une pierre vivante et participer à la construction de l'édifice...

"Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacré...Entrez par la porte étroite. Elle est grande, la porte,il est large, le chemin qui conduit à la perdition; et ils sont nombreux, ceux qui s'y engagent. Mais elle est étroite, la porte, il est resserré le chemin qui mène à la vie; et ils sont peu nombreux ceux qui le trouvent." Mt, 7.  

Alors vive la Véritable démocratie- Vive la France libérée par la résistance au monde sensible du malheur-Vive le Souverain Bien (l'Esprit, sa Sagesse et son Intelligence) pour un monde rempli d'Amour!

Dr Michel Laclaverie : Juin 2020




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