QUAND
LE VIRUS DE LA POLITIQUE SE RETROUVE
DÉTRÔNE PAR LE VIRUS SANITAIRE...
Le peuple de France, juste et
simple, ne se retrouve plus, depuis des décennies, dans des
élections qui ne sont représentatives que d'illusions égotiques
réactionnelles, qui se veulent toutes compensatrices des gestions
négatives précédentes.
La valorisation des uns par
rapport aux autres ne fait qu'aggraver la situation d'un pays de plus
en plus en faillite de valeurs spirituelles et morales, de justice,
d' amour et de paix. Les portefeuilles sont bien remplis, mais les
esprits sont vides d'écoute, de vision, d' intelligence pour
comprendre qu'il ne peut y avoir de santé économique, politique et
sociale dans un pays, sans santé humaine : depuis 70 ans
et la création de la Sécurité Sociale, l'électoralisme « social »
n'a fait que transformer la « belle dame » en Assurance
Maladie complice de laisser des générations se penser, ou même
de se rendre malade, pour ne plus participer à l'effort économique
du pays, quand tant de personnes véritablement malades, elles,
auraient bien voulu continuer à le faire…. C'est peut-être, et même sûrement, le message de cette
nouvelle pandémie que la médiatisation diabolique de ce monde a
répandue comme une traînée de poudre pour tout faire exploser.
Ces dernières élections
viennent de témoigner encore de la schizophrénie de dirigeants
politiques d'un peuple obligé maintenant d'aller voter le jour avec
des masques et du gel hydroalcoolique (la carte d'identité ne
suffisant plus) ; pour que les mêmes, le soir, apparaissent les
uns serrés contre les autres pour la photo souvenir d'une victoire
toujours plus diabolisée par l'absence de nouvelles et véritables
perspectives ! La scène politique se psychiatrise de plus en
plus : avec la psychose maniaco-dépressive du virus mortifère,
maintenant la schizophrénie complète et totale ; demain la
paranoïa et sa folie meurtrière...Beau programme politique !!!
Au détournement d'une
politique de plus en plus ténébreuse au fil des générations, nos
« grands responsables » politiques ont ajouté la
distanciation : toute politique qui ne ramène pas l'homme au
cœur de lui-même, de sa volonté, de son courage, de sa dignité,
ne peut pas être au cœur de ses préoccupations ! Difficile à
comprendre pour celui ou celle qui ne mène pas une véritable
politique de santé publique…
C'est pourquoi la Liberté
n'est pas la libération- l’Égalité n'est pas l'union- la
Fraternité n'est pas la sanctification (le Grand Œuvre d'esprits
plein de sagesse et d'amour). Le sommet de la pyramide d'une société
est le reflet de sa base ; sans politique conjugale, familiale,
amicale, professionnelle, il ne peut y a voir de politique sociétale.
Nous ne pouvons avoir de véritables responsables politiques à
quelques niveaux que ce soit de la société si nous ne sommes pas
chacun responsable de notre vie. L’État providence est un leurre
devant la Providence du cœur de l'Homme : la toute puissance de
l’État s'efface et disparaît devant son incapacité à répondre
à des besoins croissants des uns comme des autres , du fait de la
perte du sens de la nécessité.
Si l'homme ne résiste pas à
ses propres insuffisances et inconsciences, il ne pourra résister à
la vague du déluge politicien conformiste, signifié aux météorologues de la
Véritable Conscience...depuis des millénaires.La politique politicienne continue de servir des égos et certainement pas l'intérêt commun!
Dans son acceptation de la
fatalité, l'humanité d'aujourd'hui dans son culte de la mort, ne semble plus
attendre que d'être totalement emportée; ayant oubliée
depuis trop longtemps que pour être sauvé, il faut être sauveur…mais que pour être sauveur il faut être sauvé! Dès lors, comment stabiliser la vie économique, politique et sociale d'un pays, sans que les gens à sa tête ne puissent plus témoigner de la stabilité de leur propre vie conjugale et familiale? Même si, et comment faire autrement au vu de scandales tellement nombreux qu'ils n'en sont plus, il faut plus que jamais séparer la vie publique et la vie privée! Bien que l'existence extérieure demeure toujours le reflet de la vie intérieure...Le désaccord entre les paroles et les actes ne datent pas d'hier! C'est tout le sens des promesses électoralistes qui ne servent qu'à être élu mais qui ne peuvent être tenues sans le témoignage d'une propre vie... Leur crédibilité ne tient plus qu'à de faibles pourcentages de votants toujours déconnectés de la véritable réalité : celle de la nécessité occultée par le désir de réponse par l'autre, par les autres, à leurs besoins égotiques croissants!
L'éternel et véritable parti politique ne peut être que celui d'une vie consacrée à la genèse d'une vie meilleure et d'un monde meilleur, en référence à la droiture de son cœur et de son esprit ! Le tout est de savoir si quelque chose dans ce monde peut figurer ce même parti ?
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