mercredi 29 avril 2020

dis seulement

DIS SEULEMENT UNE PAROLE ET JE SERAI GUÉRI… (Avril 2020)


« Seigneur je ne suis pas digne de te recevoir ; mais dis seulement une Parole et je serai guéri ! »
Comment pourrais-je rentrer en communion avec le Père, le Fils, le Saint Esprit, avec tous les Anges et tous les Saints, si je ne suis toujours pas capable de rentrer en communion avec moi-même ?
Comment pourrais-je sortir de mon aveuglement, de ma surdité, si je n'ai toujours pas fait ma « traversée du désert », si je ne vis toujours pas selon la Parole : « Va vers toi » de Dieu à Abraham ou « Viens et suis moi » du Christ Rédempteur, libérateur et purificateur, en connaisseur du bonheur du Royaume des Cieux…
Le rôle de mon Adversaire, du Satan, comme pour mes parents, grand-parents, arrières...arrières…arrières grands-parents, c'est de m'appeler, de m'enfermer dans une histoire vieille comme le monde,et de me tenter, moi aussi (personne ne saurait échapper), par une vie relative, conditionnée à des goûts, des envies, des besoins, en me faisant penser et croire qu'ils m'appartiendraient. C'est pour continuer à alimenter son pouvoir de mes faiblesses et m'empêcher encore et toujours de lui résister. Demeure pourtant l'Espérance de Dieu...ce Père si aimant, qu'Il cherche toujours à faire sortir l'homme de l'errance, à sauver cet exilé de son cœur ! « Nul ne peut retourner au Père sans passer par moi ! »Alors viens et suis-Moi...Tel est le sens de la guérison de tous les maux !
Il n'y a pas de moyen terme : le Christ , Verbe-Épée, l'affirme : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi » et c'est elle, cette Épée de Vie, exigeante, dérangeante, qu'Il est venu donner au monde : « Je ne suis pas venu apporter la paix mais l’Épée. » S'Il était venu apporter la paix, nous n'aurions plus rien à faire ! Il nous a donné la paix, Il nous a laissé Sa paix ; à nous de nous mettre en paix avec nous-même comme dans notre relation à l'autre…
Celui qui ne saisit pas l’Épée par le pommeau divin(le Yod), celui-là confondu avec le collectif, rentre dans le troupeau de moutons, et finit par se faire complice de Caïn. Au lieu de faire le sacré,en combattant de la Lumière, il se fait complice du sacrifice et tue Abel (Abba-El) : Dieu le Père Lui-même ! Mais Dieu, Éternel et Tout Puissant lui pardonne car Son Amour est plus fort que la mort ! Le Pardon de Dieu est tout qui passe par Ses dons...
Et pourtant ! Malgré tous Ses dons : l'intelligence, la logique, le bon sens, la raison, Sa propre Sagesse, Son propre Amour, rien n'y ferait ? L'homme, des milliers d'années durant, continue à être aveugle et sourd à ce qu'il est juste et bon pour une vie meilleure et un monde meilleur.N'étant pas enfant du Père, enfant de Dieu, son infantilisme détruit le Temple de sa vie intérieure. Le Satan continue à piller son âme et son esprit de toute écoute et vision nouvelles possibles : plus de Bonne Nouvelle à la Saint Jean d'hiver ! Plus de Pâques de la Résurrection ! Plus de Grâce de l'Esprit à la Pentecôte ! Nos Églises, comme nos Temples, nos Synagogues, nos Mosquées...sont vides, fermées à la Parole, à la Lumière ! Faute au coronavirus ? Non ! Faute à l'homme demeuré insouciant, inconscient, au point de préférer le désert de son cœur et de son esprit à la vie infinie et éternelle !
L'Homme a « mal viré » depuis Adam et Eve, et il continue malgré la Miséricorde Éternelle de Dieu...Il préfère aujourd'hui l'enfermement, le confinement dans son infantilisme animal égotique à travers des jeux vidéos mortifères et violents, à la grandeur aimante d'un père et d'une mère qui auraient disparus de sa vie, ayant abandonné la leur !
Celui qui désire est en état de faiblesse par rapport à l'autre désiré !C'est pourquoi pour garder sur l'homme la puissance, le Satan se fait désirer de lui ; il se fait désirer de lui à travers mille objets de convoitise venant en écho à des besoins de jouissance, de possession et de puissance, puisque telles sont les trois composantes du Saint Nom que le monstre a récupéré en sa faveur. « Point de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint Augustin:lorsque le Satan, l'Adversaire, demeure en l'homme, il est dominé, maîtrisé ; lorsque l'homme vend son âme au Satan, il lui donne tout le pouvoir pour en faire son Ennemi. Il se transforme alors en diable,en Prince des enfers et de leurs divinités.Le dieu Économie, par exemple, a son autel et ses dévots au cœur de notre vie sociale et politique ; il ne partage son trône qu'avec son dauphin, le dieu Technique, et ces dieux, dirait Nicolas Berdiaeff (théologien orthodoxe), «réclament de l'homme qu'il adopte leur image et leur ressemblance ». La confusion est tellement totale, que tôt ou tard, leur supercherie finie, toujours, par être découverte! Économie et Technique devraient avoir leur place dans notre vie, mais en tant que subordonnées à l'Esprit. Le malheur de l'homme, encore aujourd'hui, tient à son inculture ; il voit ainsi toute sa vie n'être plus conditionnée qu'à des manipulations sortant des « merveilleux »laboratoires de la déesse Science qui, trop occupée pour veiller sur sa sœur jumelle, la Conscience, se perd dans les méandres de considérations strictement et donc tristement matérielles. Lorsque ces Dieux de l'Avoir règnent, ils créent la peur et tuent. Nous en vivons de nombreux exemples. Ne sommes- nous pas toujours nourris de produits alimentaires dont on sait depuis longtemps qu'ils sont meurtriers mais que les exigences financières continuent de répandre sur les marchés ? Le privilège de l'Avoir sur l'Être, ne nous pousse-t-il pas à réclamer toujours plus de traitements en compensation des conséquences engendrées par d'autres traitements? N'actionne-t-on pas l'arme du meurtre jusque dans les mains de nos enfants confinés dans le chaos de nos sociétés matérialistes et nourris de spectacles télévisés débilitants ou de violents jeux vidéos ? Ne vivons-nous pas à proximité d'usines dont on sait parfaitement que les émanations multiplient les cancers ? Le politiquement correct nous pousserait toujours à nous préoccuper en conscience de la pollution extérieure de l'air, de l'eau, de la nature, des océans ; alors que nos âmes et nos esprits sont complètement souillés, flétris, remplis d'ordures (Pierre,1) que l'homme ne sait toujours pas recycler ? Et l'une (extérieure) n'étant bien sûr que la conséquence de l'autre (intérieure). L'homme dans son confinement ne peut plus , ne sait plus, être au centre de la Création !!! Et cette noble dame toujours défaillante qu'est la Sécurité sociale n'enjoint-elle pas aux docteurs honnêtes de prescrire davantage de produits pharmaceutiques et d'arrêts de travail? La notion du remède a été effacée des tablettes des enseignants de nos facultés au détriment « du tout sécuritaire » médicamenteux ! Le diable est arrivé à ses fins en constituant des sociétés touchées d'Alzheimer de toute notion de sagesse et d'amour, d'âme et d'esprit !
« Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ! »dit le Christ. On comprend dès lors le désarroi de Jean Tauler, mystique du Moyen-âge affirmant : « Ils auraient pu faire le choix de la vie ; ils ont fait le choix de la mort. Seule la mort peut être leur récompense ! » Faut-il encore et toujours « laisser les morts enterrer leurs morts » ? Nous pouvons, dès lors, à peine imaginer un Pape donnant la « Bénédiction Urbi et Orbi »dans un Vatican Vide, symbolisant le désert de l’Église, le désert de tous nos cœurs et de nos esprits, qui auraient pu participer, qui auraient dû déjà participer, au moins depuis Hier, à ce Corps Mystique du Christ. La Résurrection ne fait plus recette ; le culte de la mort « en live » l'a remplacé ! C'est vrai que c'est écrit : « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois Dieu et l'Argent » ! Mais combien de temps cela va-t-il durer encore ? Ainsi l'Un serait en passe d'être complètement oublié, mais pas l'autre ? Nous n'avons pas fini de pleurer avec notre âme qui a perdu sa pureté, sa virginité, sa fécondité, pour finalement brûler en enfer comme Notre Dame de Paris ; Elle est toujours victime de l'homme qui continue à faire «le pari du « S »atan . Tombant dans notre animalité nous aurions perdu le sens de notre divinité, de notre utilité, de notre responsabilité, asservies aux divinités de la Science, de l’Économie, de la Technologie ! Le pouvoir du Satan se joue toujours dans le détournement de la Possession, de la Jouissance et de la Puissance (ces Archétypes célestes), des uns au détriment des autres...La fonction n'est pas la mission ; l'amour du pouvoir n'est pas l'amour du prochain;le besoin de reconnaissance a occulté la Connaissance. « Qui s 'élèvera sera abaissé ; qui s'abaissera sera élevé ! » L'orgueil de l'homme provoque sa chute ; son humilité, son élévation. Quand l'homme se pense, se croit, c'est qu'il n'est pas ! Le « Connais-toi, toi-même... » de Socrate, le manque de culture propre à chaque homme a fait place à l'information médiatique immédiate du consumérisme sociétal ! De regarder « Terres inconnues » nous empêche d'explorer nos terres intérieures et de les cultiver...De voir des terres brûlées, pillées par l'homme serait beaucoup plus porteur que la Croix du Christ et le vécu de Sa Passion dans l 'élévation de son âme et de son esprit ?
Telle est encore et toujours la Promesse de Dieu : Aides-toi et le Ciel t'aidera ! Il fallait bien arriver à la mort de cet « État providence » qui a occulté complètement cette Parole de Saint Paul : «  Parce que vous ne voulez pas travailler, c'est que vous ne voulez pas manger ! »La solidarité devrait éternellement, et de plus en plus compenser le manque de solidité. La résurrection de la volonté, du courage, de la dignité de tout homme est à ce prix. Malgré tout, heureusement encore, que les œuvres caritatives compensatoires multiples sont là pour pallier à la défaillance d'un tel État, qui est le reflet de notre triste état ; et nous rappeler, bien sûr, que la porte du salut de l'intériorité ne nous ouvre des perspectives de sagesse et d'amour que dans le sens du partage. « Caritas in veritate » :charité bien ordonnée commence par soi-même ; et la bonne œuvre est d'abord celle qui porte témoignage de sa croix, de sa verticalité, de son don total à soi comme à l'autre ; à ses proches comme à tout autre ! Le sens de la nécessité chasse les nuages de la dépendance et du besoin...Le véritable médecin est celui qui rétablit l'autre en « odeur de sainteté » ;qui l'appelle, qui l'amène à respirer l'Amour de l'unité entre son esprit, son âme et son corps : c'est sa seule et véritable re-anima-tion ! Et ce n'est pas en se « protégeant » derrière un masque que l'homme du XXIe siècle pourra cacher toutes ses lacunes...Ne s'attachant toujours pas à écouter, il se condamnerait à devoir attacher un masque à ses oreilles !
« La mesure de l'Amour c'est un amour sans mesure »affirme Saint Augustin. A côté de cela, nous sommes dans un monde qui ne cesse de toujours prendre de nouvelles mesures, de légiférer, avec une « intelligence » artificielle, en compensation de la perte de l'Intelligence divine du cœur et de l'esprit de chacun ; de toujours chercher de nouveaux vaccins pour nous protéger de phobies mortifères, de nouveaux traitements pour traiter les conséquences des causes, que l'homme dans son obscurantisme intellectuel refuse de voir. De continuer à faire appel à de « bonnes consciences » d'un tout sécuritaire, car scientifique, ne ferait que signifier que nous n'avons vraiment plus de conscience !
A l'inverse, le renoncement, qui est détachement et non reniement, est force libératrice,créatrice, désécurisante d'une volonté totalisatrice médiatisée d'enfermement des consciences.Les miracles qui consisteraient à ne plus être aveugle et sourd, paralytique, lépreux, possédé du démon ou ressuscité ne pourraient plus s'accomplir ? Alors qu'il suffirait, enfin, de se vider de tout besoin égotique, égocentrique, pour retrouver le Tombeau vide du Christ... « L'être ordinaire se mortifie à l'ombre du fait ; l'être éclairé ressuscite à la lumière de l'esprit » dit Sénèque dans « la vie heureuse ».L'écoute de la Parole, la vision du cœur, auraient disparues de toute intelligence humaine devant la peur universelle aujourd'hui d'un virus plus puissant que tous les autres?
Le Temps de lever le trouble de notre âme,les voiles de la confusion, demeure, plus que jamais,d'actualité : la Science n'est pas la Conscience ; le savoir n'est pas la Connaissance ; l'intellect n'est pas l'esprit ; l'existence n'est pas la vie ; le besoin n'est pas la nécessité ; la religiosité n'est pas la religion ; le médicament comme le vaccin prestidigitateur n'est pas le remède…Les manques d'écoute, de vision,de compréhension de ce qui est juste et bon pour sa vie comme celle de l'autre sont des virus que seule l'intelligence du cœur peut traiter.
La Sagesse nous guide vers notre « sacré »cœur, pour laisser passer la lumière de l'Intelligence Suprême qui nous donne la force d'aimer, car « l'Amour est fort comme la Mort ! », Ct 8. Quand nous rentrerons à nouveau dans Notre Dame de Paris ce sera pour signifier, pour témoigner que nous avons bien fait le pari de l'écoute de la Parole et de la musicologie du grand orgue de notre cœur ! Que nous ne voulons plus nous comporter en sales garnements qui détruisent la cathédrale de leur vie, leur Être intérieur, comme on détruit sur la plage un château de sable. « Celui qui connaît ma Parole et qui ne la vit pas est comme l'insensé qui construit sa maison sur le sable : quand le vent va souffler, la tempête va arriver sa maison sera emportée ! Quant à celui qui connaît ma Parole et qui la vit il bâtit sa maison sur le roc : quand le vent va souffler, la tempête va arriver sa maison demeurera ! »Lc,6.
« Aimes ton prochain comme toi-même » est le remède à tous nos maux. Il nous coupe de la fièvre individuelle comme collective qui s'empare de corps matériels en compensation, en réaction de nos insuffisances, insouciances, inconsciences de nos sociétés demeurées infantiles.Le Patriarcat de Noé, d'Abraham, d'Isaac, de Jacob devenu Israël, n'ont pas inspiré beaucoup de géniteurs ! La fatalité qui s'abat sur l'homme qui a perdu le sens de sa divinité est celle de son animalité privée de raison. La Sagesse appelle l'homme à la raison d'aller au cœur de lui-même, car Elle sait que « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas ! » L'Homme centré sur lui ne discute pas, ne pense pas, ne croit pas : il est.
« Que celui qui a des oreilles pour entendre entende ! » dit Jésus. L’Évangile est semé de cette injonction divine que déjà Israël fait sienne : « Écoute Israël... »Quelle est donc l'oreille qui peut entendre ? Quel œil, capable de voir ? Et quel est le cœur suffisamment ouvert pour comprendre ? Il semble que nos sens épris du réel immédiat, épris du connu, ferment leur capacité détectrice de l’essentiel! Dans ce sens, peut-être certains, peut-être que quelques uns encore, aborderont aujourd'hui ou du moins s'approcheront, du Rendez-vous de l'Histoire avec son âme ?L'orient de l'être, là où se parle la langue Une,dans un monde de plus en plus désorienté, uniformisé, « correctement » policé, verra s' accomplir enfin l'ontologie de la Nouvelle et Belle Humanité..De la conquête de cette terre nouvelle l'homme verra resurgir du conscient ! « Le Seigneur m'acquiert principe de son chemin, orient de Ses œuvres depuis toujours...Lorsqu'Il pose les fondements de la terre je suis auprès de Lui, Son architecte et faisant Ses délices ; jour après jour... »Prov, 8.
Les enfants ont à naître à une intelligence capable de décrypter le sens de l'événement, si banal ou douloureux soit-il dans l'immédiateté du phénomène, pour deviner en lui le canal opérationnel de la Volonté divine... « Laissez venir à moi les petits enfants... »qu'ils retrouvent la faculté d'écouter, de voir de leurs propres yeux, d'aimer, qui s'est perdue ; au lieu de toujours vouloir les enfermer dans le formatage collectif de nos facultés où tout ce qui brille n'est pas or! Laissons-les, encourageons-les même, à se révolter contre un monde d'adulte qui ne serait pas la colonne vertébrale de leur vie ; qui ne saurait pas les guider, les accompagner sur le chemin d'une vie meilleure, les assurer d'un monde meilleur. « Je te donnerai une Terre nouvelle dans laquelle toute ta descendance croîtra et se multipliera comme les étoiles dans le Ciel... » dit Dieu à Abraham. L'homme n'est meilleur qu'avec l'autre, pour l'autre car il n'y a pas d'amour sans partage !

Partagez bien cette belle nourriture, cette « manne du désert »rural, agricole, médical, industriel, sociétal, terrestre... ; elle chassera le culte de la virologie mortifère de l'Avoir, des doutes de soi-même comme des autres, des angoisses et des peurs.  Ne craignez plus, Dieu vous en supplie ! Un monde nouveau s'offre à vous, sans pleurs ni grincements de dents…
Mais pour cela, n'oublions pas, que si l'homme demeure plus soucieux du rendement, d'une satisfaction intellectuelle momentanée, que du salut de son âme, toutes ses entreprises périront ! Et surtout celles qui ne cherchent que dans les ténèbres, de nouveaux vaccins ou de nouveaux médicaments, qui voudraient se substituer à la lumière du cœur et de l'esprit de chacun !
Vraiment : « Qui n'a ni Dieu, ni Maître, a Satan pour maître ! »Saint Augustin. Mais quelques uns, encore et toujours, peuvent s'inscrire dans l'Histoire de l'Humanité et témoigner de la Vérité ... Lorsque l'homme transforme son cœur de pierre en cœur de chair,le bruit du chaos devient silence de la Parole ; la simple vue devient vision de la justice et de la bonté ; la faiblesse du sentiment s'efface devant la toute puissance de l'Amour.Alors sa vie ressuscitée se remet à jaillir jusqu'à la Vie Éternelle...et, comme un horizon nouveau qui s'ouvre devant les yeux de l'âme, les ténèbres se dissipent pour laisser apparaître un monde sublime appelé à la conscience de l'Infini…le Royaume des Cieux.
Le recueillement, l'attention, la vigilance, pour écouter la Parole au-dedans de soi-même, voilà ce qui nous rend apte à recevoir la force divine pour mener le combat et sans laquelle nul ne saurait remporter la victoire. Or cette force n'est donnée, n'est retrouvée, qu'en l'homme qui a fait rentrer tous ses sens au-dedans de lui-même pour se les soumettre et qui, face à l'épreuve, a gardé la véritable conscience, la logique et le bon sens de la maîtrise ; qu'en celui qui retrouve la voie de la libération de son âme et de son esprit qui étaient asservis à l'image et l'imagination d'un monde médiatique et qui volaient, comme des oiseaux sauvages,de discussions en discussions, au gré du vent d'intellectuels très éclairés mais enfermés, chacun dans leur domaine, dans les ténèbres de leur spécialité. La propagation des virus, qu'ils soient mentaux, affectifs, comportementaux, biologiques ou médiatiques tient à la perte de la volonté, du courage, de la dignité de chacun, en prenant la fuite devant ses responsabilités ; le coupable c'est l'homme et sa faiblesse, mais le responsable c'est toujours le Satan qui, comme un voleur, se préparait, encore une fois, à piller nos demeures, mais qui, voyant maintenant de la lumière, s'enfuit en toute hâte…
Jean, 1 : « Celui qui demeure en lui voit le Fils comme le Père demeurer en lui et sa maison est une demeure de Dieu ! » C'est la paix de l'âme et de l'esprit de chacun qui fera que le monde retrouvera la Paix : « Allez dans la paix du Christ... ». Ne tardez plus car le Chemin est long, peut-être même infini...alors que tout semblait, à l'écoute des oiseaux de mauvaise augure, encore une fois fini. Il suffit de ne pas oublier qu'il n'y a que la Foi qui sauve !

Dr Michel Laclaverie

liberte egalite fraternite

LIBERTÉ – ÉGALITÉ- FRATERNITÉ

sont les trois principes de la République ; les trois fondements de la démocratie...au service de la laïcité. Le sens de la laïcité étant de s'opposer à la religiosité au nom d'une uniformisation des esprits dans le but de l'instauration et du maintien d'une toute relative unité…
L'intellect n'étant pas l'esprit, le sentiment humain n'étant pas l'amour, qui lui se doit de générer et de créer une vie et un monde meilleur, les lois « universelles » de la république ne cessent d'opposer les agnostiques (les penseurs-les incroyants) aux gnostiques (les bien-pensants- les croyants).
La laïcité apparaissant dès lors comme le laïcat (l'union de l'esprit et de la matière) amputé de la spiritualité. Lorsque le Christ dit aux Apôtres : « Je suis la Tête ; vous êtes le Corps ! » ; Saint Jean Chrysostome, Théologien orthodoxe du 4e siècle dit : « Vous avez déjà vu un corps sans tête ? »
L'homme dans le fait, dans le plan matériel, est condamné à penser, à croire, à se penser et à se croire parce qu'il n'est pas ! Quand les uns se pensent croyants, les autres se pensent incroyants. C'est ainsi que nous voyons, depuis toujours, des gens « incroyants » faire plus d’œuvres de sagesse et de charité que des soi-disant croyants ! Manque seulement, dans toutes ces « bonnes œuvres » : l'Amour.
L'inculture de la Parole sensée ramener l'homme sur le chemin de la Sagesse de son intériorité l'empêche d'aller au cœur de lui-même pour y recevoir la force d'aimer. « Le malheur pour l'homme c'est son inculture ! » dit Platon. De rendre l'école obligatoire par Jules Ferry a permis le développement du savoir ( l'intellect) pour parfois occulter encore plus la connaissance (l'esprit)...Le savoir intellectuel servant au combat des Egos, aux valorisations des uns par rapport aux autres ; à occuper des postes de fonction sans autre mission que de servir des intérêts individuels et matériels.
La connaissance est tout autre : elle a pour but d'enrichir son âme et son esprit de la Parole des Sages et des Maîtres pour une vie meilleure et un monde meilleur. Cette Parole renferme en elle le trésor de l'Au-delà des petites pensées humaines qui ne cessent de s'opposer les unes aux autres dans des contradictions de plus en plus paradoxales sans le recours à la solidité, à la fermeté, à l'autorité de la Parole.
Le monde marche à l'envers. La véritable médecine est de remettre le patient sur le chemin d'une marche à l'endroit : c'est la conversion !

La Liberté devient alors Libération : c'est l'action de la Parole dans le cœur et dans l'esprit de l'homme qui libère sa vie qui était enfermée, conditionnée par des concepts de religiosité sociale, économique, politique, médicale, médiatique...etc. Elle est porte de passage du monde sensible du malheur au royaume intelligible du bonheur ; elle participe au détachement du fait.
Les manipulations intellectuelles sont diaboliques. Elles s'emparent de l'âme et de l'esprit de chaque être humain, dont la faiblesse ne lui permet pas de résister à sa tentation de tomber dans les ténèbres de ce monde ; elles se retrouvent de fait confinées dans son animalité. Il entre, dès lors, dans le politiquement correct, l'intellectuellement correct, le médicalement correct, le socialement correct...etc, pour l'empêcher de se rectifier lui-même, dans l'écoute, la vision, l'intelligence de son cœur. L'homme peut et doit retrouver le bonheur d'écouter, de voir, de comprendre, ce qui est juste et bon d'être, de dire, de faire, pour la vie du monde auquel il appartient. Cette Justice lui est donnée par le sens de la vie : le sens de l'au-delà. Celui dont la clairvoyance ne s'étend pas loin sera bientôt dans l'embarras...dit Confucius.
L'homme matériel prend la mesure de sa vie par rapport au fait ; l'être spirituel prend la mesure de la genèse et de la création d'une vie meilleure à partir du fait ! « La mesure de L'Amour c'est un amour sans mesure !» dit Saint Augustin.

L’Égalité n'est que de l’uniformalisme : l'égalité en droit, d'avoir le droit, occulte le sens du devoir qui donne des droits. Saint Paul nous le signifie bien il y a 2000 ans : « Puisque vous ne voulez pas travailler c'est que vous ne voulez pas manger ! ». Elle a, jusque-là, trouvé un écho favorable chez des « objecteurs de conscience », des manipulateurs « du besoin » qui, à des fins électoralistes, dans des combats d'Egos, ne mènent avec le temps et pour tout le monde, qu'au pire. Cette constatation universelle, malheureusement depuis plusieurs générations, n'est que le fruit d'une humanité perdue dans le besoin de chercher toujours à se donner « bonne conscience », ayant perdue la Conscience divine, de Sagesse et d'Amour !
L’État providence s'est substitué à la Providence divine. « Quand l'homme part à la rencontre de lui-même, Dieu vient à sa rencontre.. »dit Saint Bonaventure, disciple de Saint François d'Assise. L'être providentiel, seul, n'existe pas. La misère existentielle n'est que la conséquence de la misère de cœur et d'esprit de tout homme qui a fait le choix du besoin au détriment de la nécessité. L'homme qui a déserté son cœur ne reçoit plus la Miséricorde de Dieu. Son cœur est miséreux sans Dieu. N'ayant plus de vie intérieure, sa vie sur terre se transforme en véritable désert. Le goût, l'envie, le besoin de chacun, amènent, chaque jour davantage à la mort certaine de l’État providence...Ce qui se voulait pour tous, risque de ne plus être là pour personne ; le besoin ayant depuis trop longtemps occulté le sens de la nécessité. L'inertie et la passivité se sont emparées du sens de la responsabilité . Le « Aides-toi et le Ciel t'aidera ! » a fait place à l'assistanat sous toutes ses formes.
Il n'est toujours pas trop tard pour se convertir : réorienter sa vie vers son cœur pour toujours recevoir la Lumière et ne pas se faire emporter par l'Océan de ténèbres de ce monde qui ne serait plus que matériel. L'Espérance n'est donnée qu'à l'homme initié qui s'est remis en chemin vers son cœur. Elle est le fruit de la Parole, qui malgré des millénaires de haine et de violence voit toujours des prêtres (des hommes toujours prêts à être) témoigner de Sa Vérité. L'homme éclairé n’est plus mortifié de peur à l'ombre du fait ; il est ressuscité à la Lumière de l'Esprit !
C'est l'unité retrouvée entre son esprit, son âme et son corps, de sa vie en lui , avec lui et pour lui, que l'Homme pourra unir sa vie à l'Autre, au monde tout entier...Sans le combat dans son intériorité contre le diabolos (le diviseur) qui l'habite, il se retrouve condamné à déverser sa haine, son agressivité, sa violence, dans le monde extérieur à travers des guerres sans fin effectives et maintenant de plus en plus virtuelles.
Contrairement au docteur (« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme !») le médecin est celui qui appelle, qui amène, le patient à se vacciner, chaque jour davantage, contre son manque d'écoute, de vision, de compréhension, de ce qu'il est juste et bon d'être, de dire et de faire pour la vie de tous ceux qui l'entoure : de s'aimer ça nous rend service et ça rend service à tous ceux qui nous entourent. Le vaccin à tous nos maux c'est l'Amour : « L'amour est fort comme la mort » Ct, 8 ; comme la mort nous coupe de la vie, l'amour nous coupe de la mort. Quand l'homme a perdu son âme et son esprit dans les biens matériels, il est mort « cérébralement » : il est mort mentalement, psychiquement, affectivement ( c'est pourquoi il se retrouve tant affecté quand ce n'est pas infecté !), il ne lui reste plus qu'à mourir physiquement. Cette humanité est d'une tristesse terrible ! C'est pourquoi le Christ a dit aux Apôtres : « Qui m'aime me suive ..quant aux autres : laissez les morts enterrer leurs morts ». Quand vous êtes morts à l'écoute et à la vision du cœur, vous mortifiez le monde qui vous entoure. Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais pour être sauveur il faut être sauvé, d'une insouciance, d'une inconscience, familiale, sociétale, collective qui remonte à des générations, et dont les générations d'aujourd'hui et encore plus de demain paieront toujours plus les conséquences. A moins que ...L'être humain retrouve la conscience de la nécessité de se convertir, c'est-à-dire de rentrer en religion ( et non religiosité, extérieure à son âme) avec lui-même, de retourner à son cœur où demeure cette étincelle de vie, qui au fur-et- à mesure de son élévation se transformera en flamme de vie puis en lumière du monde. « Autrefois vous étiez ténèbres ; maintenant dans le Seigneur vous êtes lumière ; conduisez-vous comme des enfants de lumière. Le fruit de cette lumière c'est la justice, la bonté, la vérité » dit Saint Paul .
Malgré la tentation croissante d'établir des couvres-feu, d'empêcher l'éveil des consciences, l’Évangile nous dit : « On ne met pas une lumière sous le boisseau ; on la met dans une lanterne ». La lumière qui nous est donnée doit être transmise. La transmission de la Parole évite toute transmission du Virus de la Mort. Aujourd'hui le culte médiatico-médico-politico-économique de la Mort serait préférable à celui de la Vie selon la Parole ? Le confinement serait bien, dès lors, le symbole de l'enfermement de notre esprit dans des concepts étrangers à la sagesse de notre esprit et à l'amour de notre cœur. « Le Christ viendra ouvrir vos tombeaux ; Il viendra libérer vos âmes et vos esprits enfermés dans des terres d'exil » dit Saint Paul.

La Fraternité, qui ne serait pas de cœur et d'esprit ne serait qu'une filiation terrestre biologique. Il existe une filiation céleste, qui ne se retrouve dans les relations humaines, que de manière futile, éphémère,dans certains domaines et avec certaines personnes privilégiées. Cette filiation céleste pour l'être spirituel s'affirme de manière constante dans un principe de pureté, de simplicité, d'immutabilité...Elle est le fruit de l'élévation constante de son âme et de son esprit à la conscience des sages, des maîtres, de Dieu. L'élévation est source d'évolution. L'involution est le résultat inéluctable de la descente infernale de l'esprit dans la matière. Elle est la cause de la dégénérescence et de la décadence de notre humanité. C'est la verticalité qui définit l'horizontalité (Tout se passe sur la Terre comme au Ciel). L'horizontalité seule n'étant symbole que de finitude, de mort !
Une vielle (très vieille chanson) nous affirmait que «  nous irons tous au Paradis...même moi ! » En attendant, sur Terre c'est toujours et de plus en plus l'enfer.
« Les sens sont inconstants et variables ; ils ne peuvent pas donner la vie parce qu'ils ne l'ont pas : ils ne peuvent donner que la mort ! » Son manque d'intelligence de cœur et d'esprit, sa perte du sens de l'infini, de l’Éternel d'hier, d'aujourd'hui et de demain,ne permettent pas à l'être humain d'être libre et de ne pas se retrouver fixé sur le problème du moment. Il aurait mieux fait de rester fixé sur la croix et de mourir à son ego, son orgueil, s'il avait voulu ressusciter, vivre éternellement en se détachant du fait par des morts spirituelles salvatrices et des résurrection successives. A l'écoute de la Parole qui n'a jamais cessé de l'appeler à la véritable conscience, et dont il s'est de plus en plus détourné, il aurait pu lever, depuis longtemps, les voiles de son insouciance, de son inconscience, infantilisantes !
N'ayant plus de guides, de sages, de maîtres, il se retrouve esclave de sentiments futiles et éphémères, au point de se transformer fréquemment en ressentiments.
« Déclouez votre Jésus-Christ... Assez, suffit !»chante Nougaro. Si l'homme ne vit pas en christ, au cœur de lui-même, le Christ n'est pas près d'être vivant, ressuscité d'entre les morts : sa deuxième venue dans la Gloire ne rencontre toujours pas son « Ici et Maintenant » !
« Quand l'homme va au cœur de lui-même, le bois du supplice se transforme en arbre de vie ! » dit Saint Paul, fort de la Parole du Christ : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ». Le Printemps de la Résurrection de la Vie, ne serait donc plus réservé qu' à Dame Nature ! Malgré, elle aussi, ses arbres morts ou déracinés, elle voit d'autres arbres embellir ses horizons de leur feuillage vert plein d'espérance, de leurs nouveaux rameaux éclater de joie de porter plus loin la bonne nouvelle de la vie, d'un au-delà toujours plus haut, toujours plu grand ! Si l'homme appelé à la conscience des sages, des maîtres, de Dieu, ne ressuscite pas en lui, s'il ne se rend pas à la jouissance de son cœur, l'histoire de Jésus reste une histoire vieille de 2000 ans et toujours pas d'actualité ! L'actualité du moment serait celle d'un virus et de sa courbe de croissance pendant que l'homme continuerait de prendre la pente descendante de sa chute ir-reme-diable en enfer ?
Les deux Commandements de Dieu (« Tu aimeras Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit, de toute ta force » et «  Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! ») ayant disparus corps et biens, malgré la mise en place de« S.O .S enlèvement »,il nous est recommandé par des gens pleins de bonne conscience de rester confinés dans notre animalité.
La recherche toujours de nouveaux médicaments, de « la mise au point » de nouveaux vaccins signifie bien que l'homme est toujours cet « aveugle-né » ou cet « handicapé par sa surdité » qui se refuse à croire que l'Amour est le remède à tous nos maux et qu' « Il est fort comme la Mort ! ». Comme la Mort nous coupe de la vie ; l'Amour nous coupe de la mort...Le manque de vision, d'écoute, de sagesse, d'amour transforme la vie sur Terre en véritable désert. Le virus de l'Avoir continue de détruire le germe divin de l'Être ! Le virus biologique n'est que la goutte d'eau qui fait déborder le vase des virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, économiques, politiques...qui détruisent de générations en générations la logique, le bon sens, la raison, la conscience de l'homme. « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » disait Rabelais au Moyen-âge. Aujourd'hui, c'est la dégénérescence et la décadence des corps : l'imaginaire a remplacé l'Imaginal ; le virtuel, le réel !
N'étant pas devenu le Peuple Hébreu pour faire sa traversée du désert et arriver à sa Terre promise, à la Terre Sainte de son intériorité qu'est son cœur ; aussi tous les autres peuples qui ne marchent pas dans le même sens que le Peuple Hébreu, ne récoltent sur leurs terres incultes que des ronces et des épines ... n'ayant pas écouté l'appel du Christ : « Celui qui vient à moi n'aura plus jamais fin ni jamais soif car il sera devenu la source d'eau vive qui jaillira jusqu'à la Vie éternelle » ... l'homme du XXIe siècle se retrouve en plein désert de son inhumanité ! Le désert de vie personnelle entraîne un désert de vie conjugale, de vie familiale et par voie de conséquence de vie sociétale: rurale, agricole, médicale, politique, et demain économique et sociale.
Aujourd'hui nous assistons au désert politique complet et total : le Front National a disparu avec la ligne Maginot et l'espace Schengen qui a laissé passer le virus de l'exil; La France Insoumise s'est enfermée dans la caverne d’Ali baba avec les patrons du CAC 40 pour faire le carême ; Maintenant c'est sûr,la République en marche ne marche vraiment plus que sur la tête…
Sans le salut par le combat dans son intériorité de son propre négatif, l'homme se verra toujours amené dans le besoin de faire la guerre. C'est son immaturité qui est éternellement responsable de sa victimologie !
L' étincelle de vie qui est en chacun ne manquera pas de l'amener à comprendre que la porte de salut c'est son intériorité qui nous coupe de la négativité de ce monde, de ses pensées, de ses croyances mortifères. L'existence demeure toujours le reflet de notre intériorité : c'est toujours le point qui définit le cercle. Et ce point c'est l'Homme placé au centre de la Création, au centre de sa création :« Ordo ab Chao » : encore et toujours ! Sans l'Ordre intérieur, la Parole qui fait autorité dans le cœur de l'Homme, c'est le Chaos...
L'Homme responsable est un homme debout et en marche et « qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour...Le véritable médecin est celui qui appelle l'autre à devenir médecin ; c'est-à-dire à remédier à ses manques d'écoute, de vision, de compréhension de ce qui est juste et bon, pour se rendre vivant dans sa relation au monde s'il ne veut pas disparaître de ce qu'il reste de notre belle planète bleue…
De créature il est appelé à redevenir créateur sous les drapeaux de la création d'une nouvelle vie dans la Création. L'imaginaire aura retrouvé le sens de l'Imaginal...l'humain sera retourné à sa nature divine originelle !
Relèves-toi Conscience de l'Homme si tu ne veux pas que l'homme devienne complètement un robot de la manipulation !
« Ne craignez plus un monde nouveau s'offre à vous » dit le Christ aux Apôtres. Redevenons tous ses apôtres de la Sagesse et de l'Amour de Dieu pour que se crée encore et toujours de la Vie dans la Création. La Souffrance du Christ (le souffle de l'errance) chassera enfin, de manière infinie et éternelle, les nuages de l'obscurantisme d'esprits qui demeureraient autrement condamnés à n'être remplis que des ténèbres de la peur et de la tristesse de la Mort.
Volonté, courage, dignité, maîtrise et confiance sont les éléments nécessaires capables de redonner à chacun la force de mener le combat pour la Vie. « Point de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint Augustin. C'est la capacité retrouvée à répondre présent dans sa relation à soi (charité bien ordonnée commence par soi-même) qui recréera le moment présent pour l'avenir et le devenir des nouvelles générations. Si l'homme continue encore et toujours à détruire le Temple de sa vie intérieure, l'espèce humaine, privilégiant sa bestialité, sera condamnée à disparaître... « Que celui qui a des oreilles entende... » Apocalypse de Jean. https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/video-chine-tout-est-sous-controle_3629697.html : Elise Lucet : "Tout est sous controle..."

Au coeur d'une pandémie

AU CŒUR D'UNE PANDÉMIE…

Ce n'est pas la première fois que l'homme se retrouve au cœur d'une pandémie mortifère ni meurtrière...et à chaque fois l'humanité, ou ce qu'il en reste, s'en est sortie ! Faut-il pour autant nier les risques et les dangers de celle qui nous concernerait aujourd'hui ? Avec encore un minimum de rationalité, bien sûr que non ! Néanmoins, pour tous ceux qui ne seraient pas tombés dans leur animalité qui les priverait de la raison, il serait temps de redresser la barre ! Redresser la barre de l'horizontalité du formatage collectif, qui ouvre de plus en plus la porte au transhumanisme, pour que chacun retrouve la verticalité de son être. Le retour annoncé à la normale depuis 2000 ans, à la vision du cœur, au recouvrement de son âme ( de son anima, de sa pneuma pour les Grecs), aurait dû nous éviter de nous retrouver tous en ré-animation de nos corps étouffés par le manque d'oxygène d'une humanité confinée dans sa matérialité : soit directement en tant qu'acteurs;soit, en tant que spectateurs « avertis » ! Le culte de la maladie et de la mort fait toujours recette !

-Le volet infectiologique : Comment des scientifiques, qui ont fait pourtant de longues études, ne sauraient plus compter que les morts et encore ? Simplement par la loi du Nombre :1 milliard 300 millions de Chinois, qui eux, bien sûr, ne savent pas compter les leurs! En construisant un hôpital en urgence, la propagande chinoise, avec « preuves scientifiques » à l'appui, a planté le décor de la pièce de théâtre qui allait se jouer, médiatiquement, sur le plan mondial ; paralysant de peur chez elles toutes les économies, occidentales d'abord, mondiales ensuite.Nous n'aurons jamais assez de masques pour nous voiler la face, ni de respirateurs artificiels pour que les poumons de notre économie retrouvent leur souffle d'antan !!! Après le débat sur le port du voile islamique, demain viendra le débat sur le port obligatoire du masque, dans le but, bien sûr, de toujours simplifier les relations humaines.
Les chinois connaissent le Coronavirus depuis 2001 selon l'O.M.S. Pourquoi en inonder le marché mondial aujourd'hui ? Et puis pourquoi s'inquiéter quand on a le meilleur système de santé au monde avec souvent un pneumologue pour vingt psychiatres en moyenne ? Quand donc sortirons-nous du confinement de notre négativité et de ses besoins compensatoires:aurons-nous assez d'anxiolytiques, d'antidépresseurs,d'opiacés, de morphiniques, de dérivés de cannabis,pour sauver nos âmes et nos esprits de la crise économique et sociale qui étend les flammes de l'enfer qu'est devenu l'homme pour lui-même à toutes les populations de la planète ?La multiplication des grammes de Paracétamol, très hépatotoxique,suffira-t-elle à en faire baisser la température? Ce qui est certain,par contre, c'est que nous n'aurons jamais assez de gel hydro-alcoolique pour nous « laver les mains » comme Ponce Pilate, il y a 2000 ans, avec les institutions en place, les prêtres juifs et les pharisiens, les princes de ce monde à l'époque, d'un tel crime contre l'humanité ! Le crime se perpétue au fil des siècles et des millénaires par l'incapacité de l'homme d'aujourd'hui comme hier, à se rendre au cœur de lui-même pour y recevoir la lumière de ce qui est juste et bon pour lui et sa descendance. Ne participant pas au salut de sa vie intérieure, dans un ordre intérieur fait de lois de Sagesse et d'Amour, il la pollue, la détruit, dans le vacarme d' un chaos extérieur de plus en plus impressionnant !
Nous parlions souvent de médecine à deux vitesses ; nous en sommes, aujourd'hui, à la chute complète et totale, de tout et de tout le monde à vitesse grand V ! A moins... encore et toujours, que celui qui a, encore, des oreilles entende ! Si l'homme n'écoute pas son cœur, il se retrouve, dans les « eaux du Déluge » de l'inconscience de ce monde et se retrouve ballotté au gré du vent des ego de journalistes, intellectuellement et politiquement corrects, parfaitement initiés et éclairés sur le problème actuel à traiter puisque « c'est leur domaine », alors qu'ils ne l'étaient pas jusque -là sur les autres, puisque les situations présentes, encore une fois et comme d'habitude,n'avaient pas pu être prévues.Nous comprenons très bien qu'avec Saint Paul, nous ne sommes pas « porteurs », ni médiatiquement, ni politiquement, ni économiquement parlant : « Autrefois vous étiez ténèbres ; maintenant dans le Seigneur, vous êtes lumière. Conduisez-vous comme des enfants de lumière : les fruits de la lumière c'est la justice, la bonté, la vérité... »ça coupe court et ça empêche de discuter pendant des heures pour ne rien dire ! Si nous nous remettons tous ensemble en capacité de voir avec le cœur, nous pourrons toujours prévoir ! Même s'il faudra plus de temps au temps, car nous n'aurons jamais non plus, assez de pompiers pour éteindre encore les flammes de l'enfer de l'Avoir que l'homme préfère toujours au paradis de l'Être !
Comme le souligne l'anthropologue Jean Dominique MICHEL, qui s'occupe de la santé publique depuis 30 ans, l'infection à Coronavirus est bénigne en dehors de pathologies morbides préexistantes ; ou de sensibilités, de fragilités particulières mentales ou affectives avérées, ou plus récentes du fait du caractère nocif, amplifié médiatiquement de l'événement. Lorsque les virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, matériels, professionnels...etc n'ont pas été « pulvérisés » par la sagesse et l'amour de l'homme, ce virus,comme tout autre, est pour certains la « goutte d'eau » qui fait déborder le vase.
Tous les ans la grippe fait bon an mal an 8 à 10000 morts en France ; 12000 morts par résistance aux antibiotiques ; 1700 morts tous les jours de pluripathologies ; 50000 morts tous les mois en France. Si nous ne savions pas compter nous aurions de quoi être inquiets du H1N1, du SRAS, et maintenant du Coronavirus ; en attendant le prochain à sortir des laboratoires de la mode scientifique. Malgré la mise en garde de Rabelais que « science sans conscience » n'est que ruine de l'âme, le scientisme est devenu l'intelligence universelle, preuves à l'appui !!!
C'est avec la complicité médiatique, pour laquelle le virtuel a tellement plus de valeur qu'il a remplacé le réel, que nous nous retrouvons dans une dramaturgie collective hallucinée, dans laquelle les « princes de ce monde »voudraient tous nous enfermer, s'appuyant sur la statistique parlante qu'il y aurait plus de moutons que de bergers...Heureusement qu'il reste, et qu'il restera toujours, des êtres valeureux (qui ont d'autres valeurs), courageux et forts, pour défendre la forteresse de leur conscience universelle…
« A malin, malin et demi ! » Déjouer la ruse du Satan, le serviteur des princes de ce monde, c'est que la France ne se vive plus par rapport au monde, mais qu 'elle redevienne lumière du monde...non pas en pensée, en croyance égotique, jupitérienne, mais en véritable témoignage qu'elle est sorti de l'asservissement aux intérêts économiques et politiques consensuels. Ce n'est pas en rétablissant des frontières entre les pays que nous nous sortirons de nos incapacités à nous suffire à nous-mêmes.La ruse de Dieu est d'appeler l'Homme à rétablir l'unité de vie en lui, avec lui, pour lui, pour participer à Son Grand Œuvre. Si l'homme a été capable de construire des cathédrales qui font l'émerveillement de tous, pourquoi ne serait-il plus capable de devenir cette « pierre vivante » pour participer à l'édification d'une vie meilleure et d'un monde meilleur ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous des  compagnons du « devoir » pour relever Notre Dame et sa flèche de nos errances matérielles qui, dans leur chute, nous plongent dans les flammes de l'enfer ?
Allons nous rester spectateurs, et par voie de conséquence victimes, d'être « bien pensants » de notre bien être, qui n'arrêtent pas, sous prétexte de l'occupation de postes de responsabilités éphémères, de chercher à se donner bonne conscience parce qu'ils auraient perdu toute conscience « propre » ? Cette « bonne »conscience c'est celle d'un état providence qui occulte le sens de la nécessité princeps, propre à chacun, pour entretenir l'homme vulgaire, non éclairé, dans la dépendance, le besoin. L'assistanat s 'est substitué au « Aides-toi et les Ciel t'aidera ». L'appel sans cesse urgent au docteur est la conséquence de l'absence de médecins qui n'auraient jamais cessé d’appeler, eux, leurs patients à combattre le virus de cette insouciance, de cette inconscience, de cette incapacité collective à écouter à voir, à comprendre ce qui est juste et bon pour la vie aujourd'hui et celle du monde à venir...Le télétravail et la télétransmission, aussi juteux et « confortables » soient-ils, n'éviteront pas la propagation de tous ces virus !
L'affection, l'infection, ne sont que les fruits d'une médecine de laboratoires qui n'ont d'intérêt, sous le couvert de hautes autorités de la santé et de l'O.M.S dont les chinois étaient à la tête durant le mois de Mars (coïncidence), que l'on traite toujours les conséquences pour ne jamais s 'attaquer aux causes. L'enfermement dans des pensées medico-médiatico-économica-politiques empêche l'homme d'aujourd'hui de vivre en retrouvant l'intégrité de ses propres moyens. Les perfusions de millions d'Euros de toutes nos institutions en soins palliatifs depuis longtemps en témoignent;l'inconscience de chacun, l'empêchant de faire le sacré, l'unité  dans sa relation à lui (à elle), dans sa relation à l'autre, contribue à l'endettement abyssal de notre société, qui s'aggrave de jour en jour, sacrifiant ainsi toutes les générations à venir...Nous sommes loin de pouvoir retrouver « le sommeil du juste » avec nos enfants de plus en plus hyperactifs en cherchant à se débarrasser des chaînes de l'immaturité et de l'animalité de leurs « parents »...Et l'apport de milliards de dollars ou d'euros, par les banques européennes ou mondiales, avec de « l'argent tombé du ciel », ne suffiront jamais à combler les manques de conscience de chacun...
Un des Commandements c'est : « Tu ne jugeras point ! ». « Pardonnes leur, Père ; ils ne savent pas ce qu'ils font ! » C'est pour cette raison qu'il nous faut nous rendre à la Justice, celle du cœur de l'Homme qui reçoit la Lumière, pour pouvoir témoigner dans le monde de cette justice.Dans le cas contraire l'humanité continuera à « se faire sonner les cloches » et ce sera plutôt le tocsin que celles de Pâques...Sans aller si loin, l'humanité n'est toujours pas sorti de sa terre d’Égypte, de sa terre d'exilée, de victime perpétuelle et des dix plaies de son âme... « Que celui qui a des oreilles (maintenant) entende ! »
Après la course de la mise « au point » d'un nouveau vaccin ( 3 mois pour les américains ; 1 an pour les français…) la polémique intellectuelle n'a pas atteint son apogée.Dans le cercle des sommités, comme le souligne j.d Michel, « la recherche et l'autorité médicales, sont aussi faites de mesquineries, de manipulations,de malhonnêtetés en tous genres, ainsi que de pitoyables, mais violents combats d'ego. »
Les discussions, qui appartiennent toujours à l'intellect et non à l'esprit, portent sur le choix de telle ou telle molécule, dont l'effet placebo, viendrait rassurer chacun dans son besoin, bien sûr, de santé publique. L'hydroxychloroquine est un médicament extraordinaire : c'est de l'hydrogène- de l'oxygène- du chlore( de l'eau de javel)- de la quinine ; mais dangereux pour les cardiaques qui seraient alors trop stimulés. Mais ce médicament est trop simple pour être efficace ! Heureusement nous avons l'intelligence artificielle et l'ordinateur d'IBM de 1 km² (j’exagère à peine) qui va nous trouver les molécules et donc les médicaments (tous chimiques bien sûr) à fabriquer.Là forcément l'intellect de l'homme, ne fait pas le poids ! Demain, les robots chinois fabriqués avec les matières premières africaines(culture geek de BFM tv en fait régulièrement la promotion) éviteront toute promiscuité humaine.Nos usines, nos entreprises seront vidées de toute virologie humaine : demeurera seulement la possibilité des virus informatiques pour leurs pauvres robots. Confucius, sage chinois, et son fameux « qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour ! », est mort avec le progressisme du scientisme, inhibant tous les progrès que pouvait et donc devait faire l'Homme..
Ayant perdu le sens de la vie, de l'au-delà du fait, l'être humain, dans sa faiblesse, cultive la mort : individuelle, conjugale, familiale, sociétale.

-L'explosion médiatique du virus et de « sa couronne d'épines » est responsable d'une hallucinante psychose collective. Le monde sensible du malheur n'est plus focalisé que sur la dernière trouvaille faite par les chinois pour polluer la vie du reste du monde et l'enfermer dans une urgence psychiatrique ! L'étendue des radiations sont pires que celles de Tchernobyl ou Fukushima réunies, pour lesquelles, il n'y aurait eu besoin ni de médicament ni de vaccin, si ce n'est celui du mensonge et de la malhonnêteté saupoudrés d'un peu de thyroxine auxquels toutes les populations de la planète ont bien voulu croire ; pour les faire plonger quelques temps après dans le « scandale » du Levothyrox. La schizophrénie de ce monde tient au paradoxe de l'homme qui a toujours un pied tourné vers la tombe et l'autre vers le monde intelligible de l'Esprit. La gravité du désastre tient à la perte de la conscience personnelle, et par voie de conséquence collective,assaillies de toutes parts sous l'effet de la mondialisation. Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais pour être sauveur il faut être sauvé. Le bateau France aurait-été rebaptisé pour ne pas faire économiquement,complètement naufrage ? Qui aurait pu prévoir un tel abandon d'un des fleurons de notre pays ? Avec des gouvernants qui ne naviguent plus qu'à vue (ayant perdue la vision) nous risquons tous d'échouer ; et pas sur le bon rivage... où il n'y a plus de faux-semblants ! L'être humain perd sa conscience dès qu'il se considère par rapport à l'autre, par rapport au monde qui l'entoure ; et qu'il ne demeure pas en lui, avec lui, pour lui comme pour le monde d'aujourd'hui et de demain…
A la psychose fait suite dès maintenant pour l'homme enfermé dans son confinement, la névrose obsessionnelle de toute relation humaine. La peur s'est emparé de l'esprit de l'homme pour détruire sa conscience et sa vie.
Demain il rentrera immanquablement dans une paranoïa inconcevable jusqu'alors pour les savants , de sa propre victimologie, du fait du mal, du mal être, de la maladie et de la mort que lui procure ce monde.C'est « l'homme sensible ».
« L'homme intelligible »,à contrario,est celui qui a l'intelligence encore d'aller au cœur de lui-même, parce qu'il a appris, au fil des générations, qu'il n'y a que la Foi qui sauve ! La foi, c'est la fidélité à la Parole, c'est la culture des terres intérieures de sa spiritualité, qui le sauve et sauve tous ceux qui l'entourent, et qui lui affirme que : « demain sera meilleur » ! Sans l'écoute de la Parole, il n'y a et il n'y aura sur cette Terre que pleurs et grincements de dents. Au lieu de chercher l'au-delà de l'au-delà de l'au-delà, de son intériorité, l'homme d'aujourd'hui va du pire au pire, pour tomber et brûler en enfer. Au lieu de combattre son négatif et son ego pour retourner au paradis de son cœur, il préfère continuer à faire le choix de sa victimologie à travers les autres.
Sans ces Archétypes (ces Principes de vie) il ne peut y avoir de construction de vie meilleure…

-L'intégration des lois de la vie et de la nature : Si l'homme ne retourne pas à sa divinité il tombe dans son animalité ! De simple créature humaine, se recentrant sur lui, se remettant au centre de sa création, l'homme retrouve l'Image du Créateur. Pour cela il faut qu 'il intègre tous ses « animaux » ; qu'il les domine,qu'il les maîtrise. Ce sont ses insouciances, ses inconsciences, ses incapacités, d'écoute, de vision, de compréhension. L'homme qui était un animal doté de la raison, l'a perdue dans une vie de plus en plus instinctive, et donc non-réfléchie. A moins qu'une Volonté Supérieure abaisse aujourd'hui l'homme au rang d'animal privé de raison pour mieux percevoir l'intelligence de vie des animaux vivant depuis toujours dans la nature. Le développement intellectuel de l'homme l'ayant privé en même temps de l'intelligence de son cœur et de son esprit. Il n'y a qu'à voir : les animaux dans la nature ne regardent pas la télé et ne sont pas branchés sur les réseaux sociaux. Ils demeurent concentrés sur ce qui est utile et nécessaire à la pérennisation de leur espèce. Ils ne se posent nullement la question de savoir s'il y a davantage de chiens ou de chats errants dans la nature qu'autrefois avec la crainte que la rage ne les déciment en grande partie. Ils ont toujours vu du lichen sur les arbres, ou du gui, ou de la mousse recouvrir le sol,sans se dire que la fin du monde était proche,comme pouvait le prédire Mme Buzin ! Ils tolèrent tous les virus et les germes (des millions) dans leur corps ou en dehors, comme les humains jusque là...Leur sens de la vie va sûrement finir par nous inspirer. Même si bon nombre d'espèces animales ou végétales ont disparues au cours des millénaires, dans des cycles évolutifs de la planète, ou sous l'influence néfaste grandissante de l'homme, comme aujourd'hui.

-La vie du monde à venir : Avec la « couronne d'épines » nous y sommes:le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas, a dit Malraux !
Pourquoi Jésus serait mort sur la Croix, emportant avec lui tous nos péchés (toutes nos tentations de vivre par rapport au monde), si c'était pour vivre confinés aujourd'hui dans le concept d'un virus mondial ? Nous voyons bien que nous ne sommes pas tous chrétiens, morts sur la Croix, fixés sur notre cœur, à la croisée des chemins entre notre horizontalité ( la mort) et notre verticalité (la vie infinie et éternelle). Lorsque les avions ne décollent plus du sol c'est qu'il n'y a plus de pilote à bord ! Ils nous auraient peut-être permis de relativiser et d'arriver à la conclusion que quand l'homme s 'élève, tout ce qui lui apparaissait immense lorsqu'il était, avec son avion, cloué au sol, devient tout petit, puis infime, au point de disparaître même de sa vue. Combien de drames, de catastrophes, aujourd'hui oubliés, dans d'autres drames et catastrophes ; c'est le fruit du déplacement horizontal, de générations en générations du problème qu'est l'homme matériel lui-même, de plus en plus dégénéré, déstructuré, dans sa relation à lui,dans sa relation à l'autre. Il n'y a plus de commandant à bord, parce qu'il n'y a plus de Connaissance des 10 Commandements (Tu aimeras ton prochain comme toi-même- tu ne tueras point- tu ne voleras point…)
L'homme ayant déserté son cœur, malgré l'appel du Christ au « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie », sa vie sur Terre est de plus en plus désertique.Le Peuple élu, le Peuple de Dieu, le peuple Hébreu (le peuple qui fait la traversée du désert de son humanité,non de manière futile et éphémère comme sur les chemins de Compostelle, de la Mecque ou de Jérusalem, selon où l'on se trouve) ne marche pas dans le même sens que les autres peuples ; aussi les autres peuples ne récoltent sur leur terres incultes que des ronces et des épines. C'est le « Corona-Virus ». Jamais, soit-disant, nous n'avions vu une telle pandémie ; ce qui est normal quand on a fait le choix délibéré de rester aveugles et sourds, non ? Le culte de la mort viendra fleurir de plus en plus nos tombes, ou ce qu'il en restera, si nous ne faisons pas notre conversion, si nous ne guidons pas nos enfants sur le chemin de la Vraie Vie, de leur cœur. Il nous faut faire ce travail de mémoire de nos Anciens et revenir aux fondamentaux de la Vie,en commençant par le Baptême : le travail de libération, de purification, de nôtre âme et de notre esprit, par le détachement, pour pouvoir aimer cette vie sur Terre qui nous tend les bras. Ceux qui redeviendront des combattants de la Lumière, des résistants aux ténèbres de ce monde, seront sauvés : eux et toute leur descendance…
Il faut pour cela commencer par libérer la médecine de la vision labyrinthique des problèmes qu'elle traite au jour le jour, sans autre lumière que celle du soleil ou des frères Lumière dans ses laboratoires scientifiques...et des applications ruineuses de son aveugle philosophie.A elle de retrouver ses lettres de noblesse, pour que la pratique d'une véritable santé humaine ( et non humaniste), puisse protéger véritablement l'homme de demain de sa robotisation qui viendrait en compensation de tous les virus qu'on lui aurait suggérés et créés pour le faire disparaître.L'homme du XXe siècle avait tout confondu, dans ses ténèbres existentielles, intellect et esprit, sentiment et amour, existence et vie, prudence et frilosité…etc. Il est encore temps pour que l'homme du XXIe siècle se réveille de son sommeil terrestre s'il ne veut pas voir son existence terrestre se transformer en mort complète et totale.
Il n'y a pas et il n'y aura pas, car il n'y a jamais eu de santé sans la sainteté de la Sagesse et de l 'Amour de chacun !!!

Si les JO de Tokyo n'ont pas eu lieu c'est peut-être un signe pour nous dire qu'il faudrait arrêter de jouer aux sales garnements qui n'écoutent rien, et qu' « il faudrait cesser rapidement de tourner en rond autour du fait pour prendre le rayon qui nous ramène au centre » comme dit Plotin ! En 36, le monde, fixé sur les anneaux olympiques, n'avait pas vu que les JO de Berlin se déroulaient sous le salut nazi avec un stade olympique rempli de croix gammées ! Trois ans après, l'Allemagne envahissait l'Europe et faisait ses camps de concentration qui n'ont été découverts véritablement qu'à la libération... « Celui dont la clairvoyance ne s'étant pas loin sera bientôt dans l'embarras »dit Confucius.Cet appel à la sagesse, venue d'Orient, et qui n'est pas un virus médiatique venu s'appuyer sur notre manque véritable de travail de mémoire, devrait nous inspirer beaucoup plus qu'un hôpital construit à la hâte pour émouvoir le monde entier. Notre faiblesse est grande et notre inintelligence a dépassé les frontières…
Les gilets jaunes, maintenant le virus venu de Chine : le péril jaune avance « à peine » masqué, comme un cheval de Troie, d'abord en Afrique, demain en Europe et ailleurs, avec la construction d'hôpitaux, de dispensaires, de laboratoires plus industriels et économiques que médicaux! Tout cela sous le couvert du principe d'interdépendance des peuples du fait de la mondialisation entraînant dans certains pays, les plus faibles,la disparition de leur souveraineté nationale. « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent » dit Saint Paul.Les interventions à l'O.N.U, ou encore mieux, au sein de l'O.M.S, devraient faire davantage référence à la Parole, pour une véritable conduite de ce monde...Les institutions sont une chose ; la mission d'aimer de chacun, tout autre chose !
Recentrons nous sur nos valeurs spirituelles et morales qui ont permis à nos ancêtres de survivre à leurs difficultés pour que nous puissions vivre aujourd'hui;retrouvons le sens de la nécessité pour ne pas continuer à plonger dans le principe mortifère du besoin ! L'homme du futur ne peut se laisser asservir par la soif intarissable de progressisme technologique.Les progrès de l'homme ne se sont toujours accomplis que dans la maîtrise de ses goûts , de ses envies, de ses besoins ! Le progressisme entraîne une fuite dans l'extériorité.Il s'appuie sur le culte de la facilité ou de la crainte de la faiblesse de nos corps mortels ; le progrès est «  beaucoup plus » simple : il consiste à vivre de plus en plus en soi, avec soi, pour soi comme pour l'autre.Il est force et puissance créatrice de vie.
La tentation du Vieil Adam aurait disparue avec la venue du Nouvel Adam ? Le salut de l'homme, pas plus aujourd'hui qu'hier, ne peut se faire par l'enfermement ou le confinement ; il passe uniquement par son intériorisation. C'est la « Pessah »des hébreux, la porte de passage des Justes ; la Pâques chrétienne, l'amour et le partage de la vraie vie avec l'autre…
Préparons nous à fêter Pâques, la Résurrection de tout et de tous dans une conscience infinie et éternelle, qui est la notre maintenant, pour la vie de nos enfants et petits-enfants demain…
Il sera toujours temps de faire un bilan post mortem de nos entreprises victimes de notre manque d'entreprise personnel, conjugal, familial, et par voie de conséquence sociétal et mondial, de la gestion médicale et politique d'un tel gâchis humanitaire, qui continue à se transmettre de «  virus » en virus. Refaisons le sacré, l'unité en nous et autour de nous, non plus à l'écoute de la propagande médiatique, mais à l'écoute de notre cœur, centre ontologique ; de notre « sacré cœur » !
Nous pourrons arrêter ainsi l'exil de la Terre Sainte de notre intériorité, l'hémorragie de beaucoup de pays et le sacrifice de leurs enfants. « Tout malheur est bon quand on sait l'interpréter ! »Arrêtons le massacre,et pas que des baleines, des rhinocéros ou des éléphants...Assez, suffit !
Le Christ à dit aux Apôtres : « Je vous laisse la paix, Je vous donne ma Paix ». Allons tous dans la paix du Christ,au cœur de nous-mêmes, à la rencontre de nous-mêmes, nous Le verrons, comme dit Saint Bonaventure, venir à notre rencontre, rétablir cet Arche d'Alliance Nouvelle et Éternelle pour sauver toute l'humanité de sa dualité, de sa diabolisation…
« Il n'y a pas d'amour sans partage.Tout ce que vous ferez vous le ferez en mémoire de moi ! ».  Joyeuses Fêtes de Pâques , dans un cœur rempli de joie de pouvoir encore et toujours donner du sens à sa vraie vie…
Après la levée du débat du port du voile islamique, à bas le masque de la honte de cette humanité « pestiférée », pour que nous puissions montrer au regard de la Sagesse et de l'Amour, enfin le vrai visage de notre nouvelle et éternelle humanité!
Le port du masque ne protégera pas davantage nos âmes, nos esprits comme nos corps, des virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux qui ont pénétré depuis trop longtemps nos différents cercles de vie. Le virus n'est pas venu pour être testé ; il est venu tester notre résistance aux vagues de déferlement médiatique des forces du Mal et nous dire que le temps de réveiller nos consciences, notre logique et notre bon sens est véritablement venu !
Avec Pâques, nous retrouvons la joie, de retourner au cœur de nous-mêmes, de nous détacher du virus de l'Avoir, et d'être élevé à la nouvelle conscience de l'Être : «  Heureux les cœurs purs...» Retrouvons ce cœur pur de l'enfant pour ne plus voir le drapeau de notre intelligence en berne, trahie par la perte de notre conscience : « Ouvrez la cage aux oiseaux- regardez comme les voir s'envoler c'est beau ! »
Que Pâques 2020 soit le Renouveau, le Printemps de notre humanité d'hier, d'aujourd'hui et de demain...c'est tout le sens de la Culture et de la Tradition.



Michel Laclaverie : Avril 2020

le culte de la virologie de la mort


LE CULTE DE LA VIROLOGIE ...OU LA GOUTTE D'  
EAU QUI FAIT DÉBORDER LE VASE !

« Tout ce que tu as caché aux savants et aux sages de ce monde tu l'as révélé aux tout petits... »Luc, 10
« Tout malheur est bon quand on sait l'interpréter »disent les Sages et les Maîtres…
« Le monde marche à l'envers ! Une véritable médecine consisterait à remettre les patients sur le chemin d'une marche à l'endroit. Toute autre médecine laisse l'homme dans une impasse! » Annick de Souzenelle 1970 . Elle ajoute en 2016 : « Nous sommes dans une fin d'humanité ; seuls quelques uns sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité. Et si l'homme ne retourne pas à sa divinité il tombe dans son animalité ! »

Il serait temps,à l'écoute de tout cela, de se révolter contre son propre négatif qui veut faire de chacun d'entre nous des « animaux privés de raison » disait Maître Eckhart au Moyen âge.
Sommes nous bergers de notre propre vie ou bien moutons ?
L'homme moderne a perdu toute conscience n'étant plus élevé à la conscience des Sages, des Maîtres, de Dieu ! Plus de réponse possible pour tous ceux qui ne peuvent se soumettre à la question de Socrate : « Qui suis-je ? Où vais-je ? Que vais-je devenir ? »L'enfermement dans les ténèbres des concepts sociaux, économiques, politiques, médicaux...etc, ne lui permettent plus d'être « lumière » pour la vie de ce monde matériel, dans lequel l'homme n'est plus dans l'esprit d 'écouter, de voir, de comprendre, ce qui est juste et bon d'être, de dire, de faire pour le présent et donc, par voie de conséquence, l'avenir de ses enfants…
L'être matériel est condamné à vivre par rapport au monde qui l'entoure ; l'être spirituel cherche sans cesse ce qu'il peut faire pour la vie du monde qui est le sien : « Heureux les cœurs purs le Royaume des Cieux est à eux... »
Le virus de l' « Avoir » voudrait encore et toujours tuer le germe divin de l' « Être ». Comme si la faiblesse de l'humain, ses doutes, ses angoisses...pouvaient triompher de la force intérieure de sa divinité, de sa capacité infinie et éternelle à aimer ; c'est à dire de générer en lui et de créer autour de lui une vie meilleure, un monde meilleur !
La « virologie » c'est celui de tous les virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, nationaux, mondiaux, qui détruisent nos âmes, nos esprits des uns comme des autres ! Comme si l'homme avait occulté sa conscience, sa logique, son bon sens ? Comme si plus personne n'était capable de recevoir la lumière pour se vivre et vivre le monde qui l'entoure ?
« L'homme extérieur court à sa ruine ; l'homme intérieur se renouvelle sans cesse ! »dit Saint Paul. « On court précipitamment et on tombe dans les filets, les fosses, les pièges, à la manière des animaux sauvages ; personne ne sait échapper ! »dit Confucius. Le virus de l'insouciance, de l'inconscience, de l'incapacité,de la haine, de la violence, se propagent plus vite que l'écoute de la Parole des Sages et des Maîtres, sans lesquels l'homme n'est plus maître de sa destinée, mais esclaves de pensées, de croyances, de concepts, qui ne peuvent plus être les siennes…Ne prenant plus de responsabilités, ne sachant plus se prendre en main, il est manipulé.
Il aurait pu être le berger de sa volonté, de sa force, de sa dignité ; dans sa vie relative au fait, conditionnée à d'autres volontés volant au gré du vent de la mondialisation, il s'est laissé transformer en mouton !
Le nuage de la radiation de Tchernobyl s'était pourtant bien arrêté avant nos frontières, mais pas le Coronavirus que connaissent les Chinois pourtant depuis 2001 selon l'OMS.
Pourquoi toute cette « mascarade » pour supprimer le carnaval de Venise et la beauté de ses masques de fête ? Pourquoi 8000 morts de la grippe en France tous les ans, avec des personnes en E.H.P.A.D ou non, insuffisantes cardiaques, respiratoires, cancéreuses..pour lesquelles les visites n'étaient pourtant pas interdites;pourquoi 12000 morts par an par résistance aux antibiotiques, alors que « les antibiotiques c'est pas systématique » ? Et 5000 morts « dus » au coronavirus dans le monde ? Mais, c'est vrai, toute la traçabilité n'a pas encore été faite !!!
L'appel du 18 Juin 1940 du Général de Gaulle à la résistance contre l'envahisseur allemand, doit nous amener à combattre notre faiblesse pour ne plus continuer à nous faire envahir par le virus de la médiatisation politique et économique mondiales.
« Point de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint Augustin au Ve siècle. « Il n' y a pas de bien ni de mal ; il n'y a que le bien et le mal que nos pensées et nos actes engendrent » dit Mattieu Ricard, chercheur à l'institut Pasteur avant de devenir moine tibétain.
Il est urgent que nous retrouvions, avec la raison, le droit de moucher, de tousser, de se serrer la main, de s 'embrasser et ne plus se considérer comme des pestiférés, pour que les services des urgences ne continuent plus à être totalement débordés…il serait temps que la porte de la nécessité d'aimer s'ouvre à l'esprit de l'homme, pour que son corps ne se fracasse pas devant les portes des urgences de ses besoins croissants ! « Aimes ton prochain comme toi-même ; car celui qui n'aime pas demeure dans la mort ! »Jean, 1.
« Quand l'homme écoute, toutes les portes de sa vie céleste comme terrestre s'ouvrent pour lui »dit Saint Paul. Souhaitons que 2000 ans après il finisse par être entendu pour que les portes des écoles de nos enfants, après Pâques (ça tombe bien!) ne soient plus fermées en « prévoyance » de leur avenir…
« Père pardonne-leur ils ne savent pas ce qu'ils font ! ». Ayant acquis la certitude du pardon, le peuple passe « les portes royales » qui correspondent au tympan dans les églises d'Occident, qui correspondent au tympan de l'oreille qui sépare l'oreille externe de l'oreille moyenne, l'écoute des dires malfaisants, de celle de la Parole divine génératrice et créatrice de vie. Il y a 3000 ans déjà Dieu s'adressait à son peuple ainsi : « Écoute Israël ! Quand donc écouteras-tu ma Parole avec ton cœur ; quand donc transformeras-tu ton cœur de pierre en cœur de chair ? Sans quoi il n'y aura sur cette terre que pleurs et grincements de dents ! »
« Qui n'a ni Dieu, ni maître, a Satan pour Maître ! » affirme Saint Augustin, 5 siècles après le Sauveur, venu dire à l'Homme : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ...»Au 21e siècle où est-elle passée cette Vérité ?
Après les flammes de l'enfer en Californie, en Australie, en Corse ou ailleurs ;après les Eaux du Déluge des cyclones, des tempêtes, des ouragans ; après la peste, le sida, la grippe aviaire,le virus de la vache folle...voici le dernier né, le coronavirus qui serait sorti tout droit des usines chinoises et pas d'ailleurs ? En fait, le véritable virus de tout cela c'est l'homme lui-même et son orgueil qui entraîne toujours sa chute, son égoïsme, son manque de sagesse et d'amour.
Après les vaches et les canards voici l'être humain (et non l'Homme) confiné dans son animalité. Le masque de la honte de son inhumanité n'est pas prêt de tomber ! « Il serait temps que l'homme s'aime .. »chante Nougaro dans son album « ASSEZ » dans lequel crient les baleines, les chimpanzés...ou Jean Ferrat dans « la voie lactée » : « Quelle décadence dans mon royaume de France ! ». Le siècle des « lumières » est révolu peut-être par le manque d'écoute de Rabelais qui au Moyen-âge, et aujourd'hui encore, ne cesse de dire que « science sans conscience n'est que ruine de l'âme ! »
« Vous ne pouvez pas servir Deux maîtres à la fois : Dieu et l'Argent » dit Saint Paul. Le besoin de tout le temps légiférer dénote la perte des lois de Sagesse et d'Amour universelles. « Ordo ab chao » : Sans ordre intérieur c'est le chaos à l'extérieur!
Son besoin croissant d'avoir condamne l'homme à des besoins inconscients qu'il n'avait pas prévus. Il est urgent qu'il redevienne l'être divin pour lequel il a été créé pour passer au-delà des frontières de son humanité. L'Immanence (la chute) s'effacera devant la Transcendance (l'élévation vers l'au-delà) : « Au lieu de regarder les réalités d'en bas, vous feriez bien de regarder les réalités d'en haut » dit Saint Paul.
Comment la chute vertigineuse dans la dégénérescence, la décadence, jusqu'au point de toucher le fond de son animalité, serait préférable au retour à la raison et à l'élévation constante à la conscience de la véritable humanité ? Il serait temps que cette humanité quitte le bavardage de Babel (la médiatisation), le babillage de son mental ressassant problèmes et angoisses, pour commencer l’œuvre de restauration et de transmutation de son être, image du Verbe de Dieu, que l'homme doit, avec Dieu, mener à sa Ressemblance. « Redevenir une pierre vivante pour participer à la construction de l'édifice », avant que l'Homme , Temple de Dieu, ne soit complètement détruit à nouveau…, pour devoir, encore une fois,une bonne fois pour toutes peut-être, renaître de ses cendres !
« Ce qui fait que Dieu est Dieu, cela repose sur son détachement impassible ; de là sa pureté, sa simplicité, son immutabilité ! Si donc l'homme doit devenir semblable à Dieu cela ne peut-être que par le détachement, et ces qualités, qui ne font qu'élever l'homme au-dessus du temporel et le purifie (sans gel hydroalcoolique) de tout ce qui est passager... »Maître Eckhart (Moyen-âge).

Dr Michel Laclaverie : Mars 2020