LIBERTÉ
– ÉGALITÉ- FRATERNITÉ
sont les trois principes de la
République ; les trois fondements de la démocratie...au
service de la laïcité. Le sens de la laïcité étant de s'opposer
à la religiosité au nom d'une uniformisation des esprits dans
le but de l'instauration et du maintien d'une toute relative unité…
L'intellect n'étant pas
l'esprit, le sentiment humain n'étant pas l'amour, qui lui se doit
de générer et de créer une vie et un monde meilleur, les lois
« universelles » de la république ne cessent d'opposer
les agnostiques (les penseurs-les incroyants) aux gnostiques (les
bien-pensants- les croyants).
La
laïcité apparaissant dès lors comme le laïcat (l'union de
l'esprit et de la matière) amputé de la spiritualité. Lorsque le
Christ dit aux Apôtres : « Je suis la Tête ; vous
êtes le Corps ! » ; Saint Jean Chrysostome,
Théologien orthodoxe du 4e
siècle dit : « Vous avez déjà vu un corps sans
tête ? »
L'homme dans le fait, dans le
plan matériel, est condamné à penser, à croire, à se penser et à
se croire parce qu'il n'est pas ! Quand les uns se pensent
croyants, les autres se pensent incroyants. C'est ainsi que nous
voyons, depuis toujours, des gens « incroyants » faire
plus d’œuvres de sagesse et de charité que des soi-disant
croyants ! Manque seulement, dans toutes ces « bonnes
œuvres » : l'Amour.
L'inculture de la Parole
sensée ramener l'homme sur le chemin de la Sagesse de son
intériorité l'empêche d'aller au cœur de lui-même pour y
recevoir la force d'aimer. « Le malheur pour l'homme c'est son
inculture ! » dit Platon. De rendre l'école obligatoire
par Jules Ferry a permis le développement du savoir ( l'intellect)
pour parfois occulter encore plus la connaissance (l'esprit)...Le
savoir intellectuel servant au combat des Egos, aux valorisations des
uns par rapport aux autres ; à occuper des postes de fonction
sans autre mission que de servir des intérêts individuels et
matériels.
La connaissance est tout
autre : elle a pour but d'enrichir son âme et son esprit de la
Parole des Sages et des Maîtres pour une vie meilleure et un monde
meilleur. Cette Parole renferme en elle le trésor de l'Au-delà des
petites pensées humaines qui ne cessent de s'opposer les unes aux
autres dans des contradictions de plus en plus paradoxales sans le
recours à la solidité, à la fermeté, à l'autorité de la Parole.
Le monde marche à l'envers.
La véritable médecine est de remettre le patient sur le chemin
d'une marche à l'endroit : c'est la conversion !
La
Liberté
devient alors Libération : c'est l'action de la Parole dans le
cœur et dans l'esprit de l'homme qui libère sa vie qui était
enfermée, conditionnée par des concepts de religiosité sociale,
économique, politique, médicale, médiatique...etc. Elle est porte
de passage du monde sensible du malheur au royaume intelligible du
bonheur ; elle participe au détachement du fait.
Les
manipulations intellectuelles sont diaboliques. Elles s'emparent de
l'âme et de l'esprit de chaque être humain, dont la faiblesse ne
lui permet pas de résister à sa tentation de tomber dans les
ténèbres de ce monde ; elles se retrouvent de fait confinées
dans son animalité. Il entre, dès lors, dans le politiquement
correct, l'intellectuellement correct, le médicalement correct, le
socialement correct...etc, pour l'empêcher de se rectifier lui-même,
dans l'écoute, la vision, l'intelligence de son cœur. L'homme peut
et doit retrouver le bonheur d'écouter, de voir, de comprendre, ce
qui est juste et bon d'être, de dire, de faire, pour la vie du monde
auquel il appartient. Cette Justice lui est donnée par le sens de la
vie : le sens de l'au-delà. Celui dont la clairvoyance ne
s'étend pas loin sera bientôt dans l'embarras...dit Confucius.
L'homme matériel prend la
mesure de sa vie par rapport au fait ; l'être spirituel prend
la mesure de la genèse et de la création d'une vie meilleure à
partir du fait ! « La mesure de L'Amour c'est un amour
sans mesure !» dit Saint Augustin.
L’Égalité
n'est que de l’uniformalisme : l'égalité en droit, d'avoir
le droit, occulte le sens du devoir qui donne des droits. Saint Paul
nous le signifie bien il y a 2000 ans : « Puisque vous ne
voulez pas travailler c'est que vous ne voulez pas manger ! ».
Elle a, jusque-là, trouvé un écho favorable chez des « objecteurs
de conscience », des manipulateurs « du besoin »
qui, à des fins électoralistes, dans des combats d'Egos, ne mènent
avec le temps et pour tout le monde, qu'au pire. Cette constatation
universelle, malheureusement depuis plusieurs générations, n'est
que le fruit d'une humanité perdue dans le besoin de chercher
toujours à se donner « bonne conscience », ayant perdue
la Conscience divine, de Sagesse et d'Amour !
L’État providence s'est
substitué à la Providence divine. « Quand l'homme part à la
rencontre de lui-même, Dieu vient à sa rencontre.. »dit Saint
Bonaventure, disciple de Saint François d'Assise. L'être
providentiel, seul, n'existe pas. La misère existentielle n'est que
la conséquence de la misère de cœur et d'esprit de tout homme qui
a fait le choix du besoin au détriment de la nécessité. L'homme
qui a déserté son cœur ne reçoit plus la Miséricorde de Dieu.
Son cœur est miséreux sans Dieu. N'ayant plus de vie intérieure,
sa vie sur terre se transforme en véritable désert. Le goût,
l'envie, le besoin de chacun, amènent, chaque jour davantage à la
mort certaine de l’État providence...Ce qui se voulait pour tous,
risque de ne plus être là pour personne ; le besoin ayant
depuis trop longtemps occulté le sens de la nécessité. L'inertie
et la passivité se sont emparées du sens de la responsabilité . Le
« Aides-toi et le Ciel t'aidera ! » a fait place à
l'assistanat sous toutes ses formes.
Il n'est toujours pas trop
tard pour se convertir : réorienter sa vie vers son cœur pour
toujours recevoir la Lumière et ne pas se faire emporter par l'Océan
de ténèbres de ce monde qui ne serait plus que matériel.
L'Espérance n'est donnée qu'à l'homme initié qui s'est remis en
chemin vers son cœur. Elle est le fruit de la Parole, qui malgré
des millénaires de haine et de violence voit toujours des prêtres
(des hommes toujours prêts à être) témoigner de Sa Vérité.
L'homme éclairé n’est plus mortifié de peur à l'ombre du fait ;
il est ressuscité à la Lumière de l'Esprit !
C'est l'unité retrouvée
entre son esprit, son âme et son corps, de sa vie en lui , avec lui
et pour lui, que l'Homme pourra unir sa vie à l'Autre, au monde tout
entier...Sans le combat dans son intériorité contre le diabolos (le
diviseur) qui l'habite, il se retrouve condamné à déverser sa
haine, son agressivité, sa violence, dans le monde extérieur à
travers des guerres sans fin effectives et maintenant de plus en plus
virtuelles.
Contrairement au docteur
(« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme !»)
le médecin est celui qui appelle, qui amène, le patient à se
vacciner, chaque jour davantage, contre son manque d'écoute, de
vision, de compréhension, de ce qu'il est juste et bon d'être, de
dire et de faire pour la vie de tous ceux qui l'entoure : de
s'aimer ça nous rend service et ça rend service à tous ceux qui
nous entourent. Le vaccin à tous nos maux c'est l'Amour :
« L'amour est fort comme la mort » Ct, 8 ; comme la
mort nous coupe de la vie, l'amour nous coupe de la mort. Quand
l'homme a perdu son âme et son esprit dans les biens matériels, il
est mort « cérébralement » : il est mort
mentalement, psychiquement, affectivement ( c'est pourquoi il se
retrouve tant affecté quand ce n'est pas infecté !), il ne lui
reste plus qu'à mourir physiquement. Cette humanité est d'une
tristesse terrible ! C'est pourquoi le Christ a dit aux
Apôtres : « Qui m'aime me suive ..quant aux autres :
laissez les morts enterrer leurs morts ». Quand vous êtes
morts à l'écoute et à la vision du cœur, vous mortifiez le monde
qui vous entoure. Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais
pour être sauveur il faut être sauvé, d'une insouciance, d'une
inconscience, familiale, sociétale, collective qui remonte à des
générations, et dont les générations d'aujourd'hui et encore plus
de demain paieront toujours plus les conséquences. A moins
que ...L'être humain retrouve la conscience de la nécessité
de se convertir, c'est-à-dire de rentrer en religion ( et non
religiosité, extérieure à son âme) avec lui-même, de retourner à
son cœur où demeure cette étincelle de vie, qui au fur-et- à
mesure de son élévation se transformera en flamme de vie puis en
lumière du monde. « Autrefois vous étiez ténèbres ;
maintenant dans le Seigneur vous êtes lumière ; conduisez-vous
comme des enfants de lumière. Le fruit de cette lumière c'est la
justice, la bonté, la vérité » dit Saint Paul .
Malgré la tentation
croissante d'établir des couvres-feu, d'empêcher l'éveil des
consciences, l’Évangile nous dit : « On ne met pas une
lumière sous le boisseau ; on la met dans une lanterne ». La
lumière qui nous est donnée doit être transmise. La transmission
de la Parole évite toute transmission du Virus de la Mort.
Aujourd'hui le culte médiatico-médico-politico-économique de la
Mort serait préférable à celui de la Vie selon la Parole ? Le
confinement serait bien, dès lors, le symbole de l'enfermement de
notre esprit dans des concepts étrangers à la sagesse de notre
esprit et à l'amour de notre cœur. « Le Christ viendra ouvrir
vos tombeaux ; Il viendra libérer vos âmes et vos esprits
enfermés dans des terres d'exil » dit Saint Paul.
La
Fraternité,
qui ne serait pas de cœur et d'esprit ne serait qu'une filiation
terrestre biologique. Il existe une filiation céleste, qui ne se
retrouve dans les relations humaines, que de manière futile,
éphémère,dans certains domaines et avec certaines personnes
privilégiées. Cette filiation céleste pour l'être spirituel
s'affirme de manière constante dans un principe de pureté, de
simplicité, d'immutabilité...Elle est le fruit de l'élévation
constante de son âme et de son esprit à la conscience des sages,
des maîtres, de Dieu. L'élévation est source d'évolution.
L'involution est le résultat inéluctable de la descente infernale
de l'esprit dans la matière. Elle est la cause de la dégénérescence
et de la décadence de notre humanité. C'est la verticalité qui
définit l'horizontalité (Tout se passe sur la Terre comme au Ciel).
L'horizontalité seule n'étant symbole que de finitude, de mort !
Une vielle (très vieille
chanson) nous affirmait que « nous irons tous au
Paradis...même moi ! » En attendant, sur Terre c'est
toujours et de plus en plus l'enfer.
« Les sens sont
inconstants et variables ; ils ne peuvent pas donner la vie
parce qu'ils ne l'ont pas : ils ne peuvent donner que la
mort ! » Son manque d'intelligence de cœur et d'esprit,
sa perte du sens de l'infini, de l’Éternel d'hier, d'aujourd'hui
et de demain,ne permettent pas à l'être humain d'être libre et de
ne pas se retrouver fixé sur le problème du moment. Il aurait mieux
fait de rester fixé sur la croix et de mourir à son ego, son
orgueil, s'il avait voulu ressusciter, vivre éternellement en se
détachant du fait par des morts spirituelles salvatrices et des
résurrection successives. A l'écoute de la Parole qui n'a jamais
cessé de l'appeler à la véritable conscience, et dont il s'est de
plus en plus détourné, il aurait pu lever, depuis longtemps, les
voiles de son insouciance, de son inconscience, infantilisantes !
N'ayant
plus de guides, de sages, de maîtres, il se retrouve esclave de
sentiments futiles et éphémères, au point de se transformer
fréquemment en ressentiments.
« Déclouez votre
Jésus-Christ... Assez, suffit !»chante Nougaro. Si
l'homme ne vit pas en christ, au cœur de lui-même, le Christ n'est
pas près d'être vivant, ressuscité d'entre les morts : sa
deuxième venue dans la Gloire ne rencontre toujours pas son « Ici
et Maintenant » !
« Quand l'homme va au
cœur de lui-même, le bois du supplice se transforme en arbre de
vie ! » dit Saint Paul, fort de la Parole du Christ :
« Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ». Le
Printemps de la Résurrection de la Vie, ne serait donc plus réservé
qu' à Dame Nature ! Malgré, elle aussi, ses arbres morts ou
déracinés, elle voit d'autres arbres embellir ses horizons de leur
feuillage vert plein d'espérance, de leurs nouveaux rameaux éclater
de joie de porter plus loin la bonne nouvelle de la vie, d'un
au-delà toujours plus haut, toujours plu grand ! Si l'homme
appelé à la conscience des sages, des maîtres, de Dieu, ne
ressuscite pas en lui, s'il ne se rend pas à la jouissance de son
cœur, l'histoire de Jésus reste une histoire vieille de 2000 ans et
toujours pas d'actualité ! L'actualité du moment serait celle
d'un virus et de sa courbe de croissance pendant que l'homme
continuerait de prendre la pente descendante de sa chute
ir-reme-diable en enfer ?
Les deux Commandements de Dieu
(« Tu aimeras Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de
tout ton esprit, de toute ta force » et « Tu aimeras ton
prochain comme toi-même ! ») ayant disparus corps et
biens, malgré la mise en place de« S.O .S enlèvement »,il
nous est recommandé par des gens pleins de bonne conscience de
rester confinés dans notre animalité.
La recherche toujours de
nouveaux médicaments, de « la mise au point » de
nouveaux vaccins signifie bien que l'homme est toujours cet
« aveugle-né » ou cet « handicapé par sa
surdité » qui se refuse à croire que l'Amour est le remède à
tous nos maux et qu' « Il est fort comme la Mort ! ».
Comme la Mort nous coupe de la vie ; l'Amour nous coupe de la
mort...Le manque de vision, d'écoute, de sagesse, d'amour transforme
la vie sur Terre en véritable désert. Le virus de l'Avoir continue
de détruire le germe divin de l'Être ! Le virus biologique
n'est que la goutte d'eau qui fait déborder le vase des virus
mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux,
économiques, politiques...qui détruisent de générations en
générations la logique, le bon sens, la raison, la conscience de
l'homme. « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme »
disait Rabelais au Moyen-âge. Aujourd'hui, c'est la dégénérescence
et la décadence des corps : l'imaginaire a remplacé
l'Imaginal ; le virtuel, le réel !
N'étant pas devenu le Peuple
Hébreu pour faire sa traversée du désert et arriver à sa Terre
promise, à la Terre Sainte de son intériorité qu'est son cœur ;
aussi tous les autres peuples qui ne marchent pas dans le même sens
que le Peuple Hébreu, ne récoltent sur leurs terres incultes que
des ronces et des épines ... n'ayant pas écouté l'appel du
Christ : « Celui qui vient à moi n'aura plus jamais
fin ni jamais soif car il sera devenu la source d'eau vive qui
jaillira jusqu'à la Vie éternelle » ... l'homme du XXIe
siècle se retrouve en plein désert de son inhumanité ! Le
désert de vie personnelle entraîne un désert de vie conjugale, de
vie familiale et par voie de conséquence de vie sociétale: rurale,
agricole, médicale, politique, et demain économique et sociale.
Aujourd'hui nous assistons au
désert politique complet et total : le Front National a disparu
avec la ligne Maginot et l'espace Schengen qui a laissé passer le
virus de l'exil; La France Insoumise s'est enfermée dans la caverne
d’Ali baba avec les patrons du CAC 40 pour faire le carême ;
Maintenant c'est sûr,la République en marche ne marche vraiment
plus que sur la tête…
Sans le salut par le combat
dans son intériorité de son propre négatif, l'homme se verra
toujours amené dans le besoin de faire la guerre. C'est son
immaturité qui est éternellement responsable de sa victimologie !
L'
étincelle de vie qui est en chacun ne manquera pas de l'amener à
comprendre que la porte de salut c'est son intériorité qui nous
coupe de la négativité de ce monde, de ses pensées, de ses
croyances mortifères. L'existence demeure toujours le reflet de
notre intériorité : c'est toujours le point qui définit le
cercle. Et ce point c'est l'Homme placé au centre de la Création,
au centre de sa création :« Ordo ab Chao » :
encore et toujours ! Sans l'Ordre intérieur, la Parole qui fait
autorité dans le cœur de l'Homme, c'est le Chaos...
L'Homme responsable est un
homme debout et en marche et « qui ne progresse pas chaque
jour, recule chaque jour...Le véritable médecin est celui qui
appelle l'autre à devenir médecin ; c'est-à-dire à remédier
à ses manques d'écoute, de vision, de compréhension de ce qui est
juste et bon, pour se rendre vivant dans sa relation au monde s'il ne
veut pas disparaître de ce qu'il reste de notre belle planète
bleue…
De créature il est appelé à
redevenir créateur sous les drapeaux de la création d'une nouvelle
vie dans la Création. L'imaginaire aura retrouvé le sens de
l'Imaginal...l'humain sera retourné à sa nature divine originelle !
Relèves-toi Conscience de
l'Homme si tu ne veux pas que l'homme devienne complètement un robot
de la manipulation !
« Ne craignez plus un
monde nouveau s'offre à vous » dit le Christ aux Apôtres.
Redevenons tous ses apôtres de la Sagesse et de l'Amour de Dieu pour
que se crée encore et toujours de la Vie dans la Création. La
Souffrance du Christ (le souffle de l'errance) chassera enfin, de
manière infinie et éternelle, les nuages de l'obscurantisme
d'esprits qui demeureraient autrement condamnés à n'être remplis
que des ténèbres de la peur et de la tristesse de la Mort.
Volonté, courage, dignité,
maîtrise et confiance sont les éléments nécessaires capables de
redonner à chacun la force de mener le combat pour la Vie. « Point
de salut sans combat dans son intériorité » dit Saint
Augustin. C'est la capacité retrouvée à répondre présent dans sa
relation à soi (charité bien ordonnée commence par soi-même) qui
recréera le moment présent pour l'avenir et le devenir des
nouvelles générations. Si l'homme continue encore et toujours à
détruire le Temple de sa vie intérieure, l'espèce humaine,
privilégiant sa bestialité, sera condamnée à disparaître... « Que
celui qui a des oreilles entende... » Apocalypse de Jean. https://www.francetvinfo.fr/ monde/chine/video-chine-tout- est-sous-controle_3629697.html : Elise Lucet : "Tout est sous controle..."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire