mercredi 29 avril 2020

Au coeur d'une pandémie

AU CŒUR D'UNE PANDÉMIE…

Ce n'est pas la première fois que l'homme se retrouve au cœur d'une pandémie mortifère ni meurtrière...et à chaque fois l'humanité, ou ce qu'il en reste, s'en est sortie ! Faut-il pour autant nier les risques et les dangers de celle qui nous concernerait aujourd'hui ? Avec encore un minimum de rationalité, bien sûr que non ! Néanmoins, pour tous ceux qui ne seraient pas tombés dans leur animalité qui les priverait de la raison, il serait temps de redresser la barre ! Redresser la barre de l'horizontalité du formatage collectif, qui ouvre de plus en plus la porte au transhumanisme, pour que chacun retrouve la verticalité de son être. Le retour annoncé à la normale depuis 2000 ans, à la vision du cœur, au recouvrement de son âme ( de son anima, de sa pneuma pour les Grecs), aurait dû nous éviter de nous retrouver tous en ré-animation de nos corps étouffés par le manque d'oxygène d'une humanité confinée dans sa matérialité : soit directement en tant qu'acteurs;soit, en tant que spectateurs « avertis » ! Le culte de la maladie et de la mort fait toujours recette !

-Le volet infectiologique : Comment des scientifiques, qui ont fait pourtant de longues études, ne sauraient plus compter que les morts et encore ? Simplement par la loi du Nombre :1 milliard 300 millions de Chinois, qui eux, bien sûr, ne savent pas compter les leurs! En construisant un hôpital en urgence, la propagande chinoise, avec « preuves scientifiques » à l'appui, a planté le décor de la pièce de théâtre qui allait se jouer, médiatiquement, sur le plan mondial ; paralysant de peur chez elles toutes les économies, occidentales d'abord, mondiales ensuite.Nous n'aurons jamais assez de masques pour nous voiler la face, ni de respirateurs artificiels pour que les poumons de notre économie retrouvent leur souffle d'antan !!! Après le débat sur le port du voile islamique, demain viendra le débat sur le port obligatoire du masque, dans le but, bien sûr, de toujours simplifier les relations humaines.
Les chinois connaissent le Coronavirus depuis 2001 selon l'O.M.S. Pourquoi en inonder le marché mondial aujourd'hui ? Et puis pourquoi s'inquiéter quand on a le meilleur système de santé au monde avec souvent un pneumologue pour vingt psychiatres en moyenne ? Quand donc sortirons-nous du confinement de notre négativité et de ses besoins compensatoires:aurons-nous assez d'anxiolytiques, d'antidépresseurs,d'opiacés, de morphiniques, de dérivés de cannabis,pour sauver nos âmes et nos esprits de la crise économique et sociale qui étend les flammes de l'enfer qu'est devenu l'homme pour lui-même à toutes les populations de la planète ?La multiplication des grammes de Paracétamol, très hépatotoxique,suffira-t-elle à en faire baisser la température? Ce qui est certain,par contre, c'est que nous n'aurons jamais assez de gel hydro-alcoolique pour nous « laver les mains » comme Ponce Pilate, il y a 2000 ans, avec les institutions en place, les prêtres juifs et les pharisiens, les princes de ce monde à l'époque, d'un tel crime contre l'humanité ! Le crime se perpétue au fil des siècles et des millénaires par l'incapacité de l'homme d'aujourd'hui comme hier, à se rendre au cœur de lui-même pour y recevoir la lumière de ce qui est juste et bon pour lui et sa descendance. Ne participant pas au salut de sa vie intérieure, dans un ordre intérieur fait de lois de Sagesse et d'Amour, il la pollue, la détruit, dans le vacarme d' un chaos extérieur de plus en plus impressionnant !
Nous parlions souvent de médecine à deux vitesses ; nous en sommes, aujourd'hui, à la chute complète et totale, de tout et de tout le monde à vitesse grand V ! A moins... encore et toujours, que celui qui a, encore, des oreilles entende ! Si l'homme n'écoute pas son cœur, il se retrouve, dans les « eaux du Déluge » de l'inconscience de ce monde et se retrouve ballotté au gré du vent des ego de journalistes, intellectuellement et politiquement corrects, parfaitement initiés et éclairés sur le problème actuel à traiter puisque « c'est leur domaine », alors qu'ils ne l'étaient pas jusque -là sur les autres, puisque les situations présentes, encore une fois et comme d'habitude,n'avaient pas pu être prévues.Nous comprenons très bien qu'avec Saint Paul, nous ne sommes pas « porteurs », ni médiatiquement, ni politiquement, ni économiquement parlant : « Autrefois vous étiez ténèbres ; maintenant dans le Seigneur, vous êtes lumière. Conduisez-vous comme des enfants de lumière : les fruits de la lumière c'est la justice, la bonté, la vérité... »ça coupe court et ça empêche de discuter pendant des heures pour ne rien dire ! Si nous nous remettons tous ensemble en capacité de voir avec le cœur, nous pourrons toujours prévoir ! Même s'il faudra plus de temps au temps, car nous n'aurons jamais non plus, assez de pompiers pour éteindre encore les flammes de l'enfer de l'Avoir que l'homme préfère toujours au paradis de l'Être !
Comme le souligne l'anthropologue Jean Dominique MICHEL, qui s'occupe de la santé publique depuis 30 ans, l'infection à Coronavirus est bénigne en dehors de pathologies morbides préexistantes ; ou de sensibilités, de fragilités particulières mentales ou affectives avérées, ou plus récentes du fait du caractère nocif, amplifié médiatiquement de l'événement. Lorsque les virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, matériels, professionnels...etc n'ont pas été « pulvérisés » par la sagesse et l'amour de l'homme, ce virus,comme tout autre, est pour certains la « goutte d'eau » qui fait déborder le vase.
Tous les ans la grippe fait bon an mal an 8 à 10000 morts en France ; 12000 morts par résistance aux antibiotiques ; 1700 morts tous les jours de pluripathologies ; 50000 morts tous les mois en France. Si nous ne savions pas compter nous aurions de quoi être inquiets du H1N1, du SRAS, et maintenant du Coronavirus ; en attendant le prochain à sortir des laboratoires de la mode scientifique. Malgré la mise en garde de Rabelais que « science sans conscience » n'est que ruine de l'âme, le scientisme est devenu l'intelligence universelle, preuves à l'appui !!!
C'est avec la complicité médiatique, pour laquelle le virtuel a tellement plus de valeur qu'il a remplacé le réel, que nous nous retrouvons dans une dramaturgie collective hallucinée, dans laquelle les « princes de ce monde »voudraient tous nous enfermer, s'appuyant sur la statistique parlante qu'il y aurait plus de moutons que de bergers...Heureusement qu'il reste, et qu'il restera toujours, des êtres valeureux (qui ont d'autres valeurs), courageux et forts, pour défendre la forteresse de leur conscience universelle…
« A malin, malin et demi ! » Déjouer la ruse du Satan, le serviteur des princes de ce monde, c'est que la France ne se vive plus par rapport au monde, mais qu 'elle redevienne lumière du monde...non pas en pensée, en croyance égotique, jupitérienne, mais en véritable témoignage qu'elle est sorti de l'asservissement aux intérêts économiques et politiques consensuels. Ce n'est pas en rétablissant des frontières entre les pays que nous nous sortirons de nos incapacités à nous suffire à nous-mêmes.La ruse de Dieu est d'appeler l'Homme à rétablir l'unité de vie en lui, avec lui, pour lui, pour participer à Son Grand Œuvre. Si l'homme a été capable de construire des cathédrales qui font l'émerveillement de tous, pourquoi ne serait-il plus capable de devenir cette « pierre vivante » pour participer à l'édification d'une vie meilleure et d'un monde meilleur ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous des  compagnons du « devoir » pour relever Notre Dame et sa flèche de nos errances matérielles qui, dans leur chute, nous plongent dans les flammes de l'enfer ?
Allons nous rester spectateurs, et par voie de conséquence victimes, d'être « bien pensants » de notre bien être, qui n'arrêtent pas, sous prétexte de l'occupation de postes de responsabilités éphémères, de chercher à se donner bonne conscience parce qu'ils auraient perdu toute conscience « propre » ? Cette « bonne »conscience c'est celle d'un état providence qui occulte le sens de la nécessité princeps, propre à chacun, pour entretenir l'homme vulgaire, non éclairé, dans la dépendance, le besoin. L'assistanat s 'est substitué au « Aides-toi et les Ciel t'aidera ». L'appel sans cesse urgent au docteur est la conséquence de l'absence de médecins qui n'auraient jamais cessé d’appeler, eux, leurs patients à combattre le virus de cette insouciance, de cette inconscience, de cette incapacité collective à écouter à voir, à comprendre ce qui est juste et bon pour la vie aujourd'hui et celle du monde à venir...Le télétravail et la télétransmission, aussi juteux et « confortables » soient-ils, n'éviteront pas la propagation de tous ces virus !
L'affection, l'infection, ne sont que les fruits d'une médecine de laboratoires qui n'ont d'intérêt, sous le couvert de hautes autorités de la santé et de l'O.M.S dont les chinois étaient à la tête durant le mois de Mars (coïncidence), que l'on traite toujours les conséquences pour ne jamais s 'attaquer aux causes. L'enfermement dans des pensées medico-médiatico-économica-politiques empêche l'homme d'aujourd'hui de vivre en retrouvant l'intégrité de ses propres moyens. Les perfusions de millions d'Euros de toutes nos institutions en soins palliatifs depuis longtemps en témoignent;l'inconscience de chacun, l'empêchant de faire le sacré, l'unité  dans sa relation à lui (à elle), dans sa relation à l'autre, contribue à l'endettement abyssal de notre société, qui s'aggrave de jour en jour, sacrifiant ainsi toutes les générations à venir...Nous sommes loin de pouvoir retrouver « le sommeil du juste » avec nos enfants de plus en plus hyperactifs en cherchant à se débarrasser des chaînes de l'immaturité et de l'animalité de leurs « parents »...Et l'apport de milliards de dollars ou d'euros, par les banques européennes ou mondiales, avec de « l'argent tombé du ciel », ne suffiront jamais à combler les manques de conscience de chacun...
Un des Commandements c'est : « Tu ne jugeras point ! ». « Pardonnes leur, Père ; ils ne savent pas ce qu'ils font ! » C'est pour cette raison qu'il nous faut nous rendre à la Justice, celle du cœur de l'Homme qui reçoit la Lumière, pour pouvoir témoigner dans le monde de cette justice.Dans le cas contraire l'humanité continuera à « se faire sonner les cloches » et ce sera plutôt le tocsin que celles de Pâques...Sans aller si loin, l'humanité n'est toujours pas sorti de sa terre d’Égypte, de sa terre d'exilée, de victime perpétuelle et des dix plaies de son âme... « Que celui qui a des oreilles (maintenant) entende ! »
Après la course de la mise « au point » d'un nouveau vaccin ( 3 mois pour les américains ; 1 an pour les français…) la polémique intellectuelle n'a pas atteint son apogée.Dans le cercle des sommités, comme le souligne j.d Michel, « la recherche et l'autorité médicales, sont aussi faites de mesquineries, de manipulations,de malhonnêtetés en tous genres, ainsi que de pitoyables, mais violents combats d'ego. »
Les discussions, qui appartiennent toujours à l'intellect et non à l'esprit, portent sur le choix de telle ou telle molécule, dont l'effet placebo, viendrait rassurer chacun dans son besoin, bien sûr, de santé publique. L'hydroxychloroquine est un médicament extraordinaire : c'est de l'hydrogène- de l'oxygène- du chlore( de l'eau de javel)- de la quinine ; mais dangereux pour les cardiaques qui seraient alors trop stimulés. Mais ce médicament est trop simple pour être efficace ! Heureusement nous avons l'intelligence artificielle et l'ordinateur d'IBM de 1 km² (j’exagère à peine) qui va nous trouver les molécules et donc les médicaments (tous chimiques bien sûr) à fabriquer.Là forcément l'intellect de l'homme, ne fait pas le poids ! Demain, les robots chinois fabriqués avec les matières premières africaines(culture geek de BFM tv en fait régulièrement la promotion) éviteront toute promiscuité humaine.Nos usines, nos entreprises seront vidées de toute virologie humaine : demeurera seulement la possibilité des virus informatiques pour leurs pauvres robots. Confucius, sage chinois, et son fameux « qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour ! », est mort avec le progressisme du scientisme, inhibant tous les progrès que pouvait et donc devait faire l'Homme..
Ayant perdu le sens de la vie, de l'au-delà du fait, l'être humain, dans sa faiblesse, cultive la mort : individuelle, conjugale, familiale, sociétale.

-L'explosion médiatique du virus et de « sa couronne d'épines » est responsable d'une hallucinante psychose collective. Le monde sensible du malheur n'est plus focalisé que sur la dernière trouvaille faite par les chinois pour polluer la vie du reste du monde et l'enfermer dans une urgence psychiatrique ! L'étendue des radiations sont pires que celles de Tchernobyl ou Fukushima réunies, pour lesquelles, il n'y aurait eu besoin ni de médicament ni de vaccin, si ce n'est celui du mensonge et de la malhonnêteté saupoudrés d'un peu de thyroxine auxquels toutes les populations de la planète ont bien voulu croire ; pour les faire plonger quelques temps après dans le « scandale » du Levothyrox. La schizophrénie de ce monde tient au paradoxe de l'homme qui a toujours un pied tourné vers la tombe et l'autre vers le monde intelligible de l'Esprit. La gravité du désastre tient à la perte de la conscience personnelle, et par voie de conséquence collective,assaillies de toutes parts sous l'effet de la mondialisation. Pour être sauvé il faut être sauveur ; mais pour être sauveur il faut être sauvé. Le bateau France aurait-été rebaptisé pour ne pas faire économiquement,complètement naufrage ? Qui aurait pu prévoir un tel abandon d'un des fleurons de notre pays ? Avec des gouvernants qui ne naviguent plus qu'à vue (ayant perdue la vision) nous risquons tous d'échouer ; et pas sur le bon rivage... où il n'y a plus de faux-semblants ! L'être humain perd sa conscience dès qu'il se considère par rapport à l'autre, par rapport au monde qui l'entoure ; et qu'il ne demeure pas en lui, avec lui, pour lui comme pour le monde d'aujourd'hui et de demain…
A la psychose fait suite dès maintenant pour l'homme enfermé dans son confinement, la névrose obsessionnelle de toute relation humaine. La peur s'est emparé de l'esprit de l'homme pour détruire sa conscience et sa vie.
Demain il rentrera immanquablement dans une paranoïa inconcevable jusqu'alors pour les savants , de sa propre victimologie, du fait du mal, du mal être, de la maladie et de la mort que lui procure ce monde.C'est « l'homme sensible ».
« L'homme intelligible »,à contrario,est celui qui a l'intelligence encore d'aller au cœur de lui-même, parce qu'il a appris, au fil des générations, qu'il n'y a que la Foi qui sauve ! La foi, c'est la fidélité à la Parole, c'est la culture des terres intérieures de sa spiritualité, qui le sauve et sauve tous ceux qui l'entourent, et qui lui affirme que : « demain sera meilleur » ! Sans l'écoute de la Parole, il n'y a et il n'y aura sur cette Terre que pleurs et grincements de dents. Au lieu de chercher l'au-delà de l'au-delà de l'au-delà, de son intériorité, l'homme d'aujourd'hui va du pire au pire, pour tomber et brûler en enfer. Au lieu de combattre son négatif et son ego pour retourner au paradis de son cœur, il préfère continuer à faire le choix de sa victimologie à travers les autres.
Sans ces Archétypes (ces Principes de vie) il ne peut y avoir de construction de vie meilleure…

-L'intégration des lois de la vie et de la nature : Si l'homme ne retourne pas à sa divinité il tombe dans son animalité ! De simple créature humaine, se recentrant sur lui, se remettant au centre de sa création, l'homme retrouve l'Image du Créateur. Pour cela il faut qu 'il intègre tous ses « animaux » ; qu'il les domine,qu'il les maîtrise. Ce sont ses insouciances, ses inconsciences, ses incapacités, d'écoute, de vision, de compréhension. L'homme qui était un animal doté de la raison, l'a perdue dans une vie de plus en plus instinctive, et donc non-réfléchie. A moins qu'une Volonté Supérieure abaisse aujourd'hui l'homme au rang d'animal privé de raison pour mieux percevoir l'intelligence de vie des animaux vivant depuis toujours dans la nature. Le développement intellectuel de l'homme l'ayant privé en même temps de l'intelligence de son cœur et de son esprit. Il n'y a qu'à voir : les animaux dans la nature ne regardent pas la télé et ne sont pas branchés sur les réseaux sociaux. Ils demeurent concentrés sur ce qui est utile et nécessaire à la pérennisation de leur espèce. Ils ne se posent nullement la question de savoir s'il y a davantage de chiens ou de chats errants dans la nature qu'autrefois avec la crainte que la rage ne les déciment en grande partie. Ils ont toujours vu du lichen sur les arbres, ou du gui, ou de la mousse recouvrir le sol,sans se dire que la fin du monde était proche,comme pouvait le prédire Mme Buzin ! Ils tolèrent tous les virus et les germes (des millions) dans leur corps ou en dehors, comme les humains jusque là...Leur sens de la vie va sûrement finir par nous inspirer. Même si bon nombre d'espèces animales ou végétales ont disparues au cours des millénaires, dans des cycles évolutifs de la planète, ou sous l'influence néfaste grandissante de l'homme, comme aujourd'hui.

-La vie du monde à venir : Avec la « couronne d'épines » nous y sommes:le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas, a dit Malraux !
Pourquoi Jésus serait mort sur la Croix, emportant avec lui tous nos péchés (toutes nos tentations de vivre par rapport au monde), si c'était pour vivre confinés aujourd'hui dans le concept d'un virus mondial ? Nous voyons bien que nous ne sommes pas tous chrétiens, morts sur la Croix, fixés sur notre cœur, à la croisée des chemins entre notre horizontalité ( la mort) et notre verticalité (la vie infinie et éternelle). Lorsque les avions ne décollent plus du sol c'est qu'il n'y a plus de pilote à bord ! Ils nous auraient peut-être permis de relativiser et d'arriver à la conclusion que quand l'homme s 'élève, tout ce qui lui apparaissait immense lorsqu'il était, avec son avion, cloué au sol, devient tout petit, puis infime, au point de disparaître même de sa vue. Combien de drames, de catastrophes, aujourd'hui oubliés, dans d'autres drames et catastrophes ; c'est le fruit du déplacement horizontal, de générations en générations du problème qu'est l'homme matériel lui-même, de plus en plus dégénéré, déstructuré, dans sa relation à lui,dans sa relation à l'autre. Il n'y a plus de commandant à bord, parce qu'il n'y a plus de Connaissance des 10 Commandements (Tu aimeras ton prochain comme toi-même- tu ne tueras point- tu ne voleras point…)
L'homme ayant déserté son cœur, malgré l'appel du Christ au « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie », sa vie sur Terre est de plus en plus désertique.Le Peuple élu, le Peuple de Dieu, le peuple Hébreu (le peuple qui fait la traversée du désert de son humanité,non de manière futile et éphémère comme sur les chemins de Compostelle, de la Mecque ou de Jérusalem, selon où l'on se trouve) ne marche pas dans le même sens que les autres peuples ; aussi les autres peuples ne récoltent sur leur terres incultes que des ronces et des épines. C'est le « Corona-Virus ». Jamais, soit-disant, nous n'avions vu une telle pandémie ; ce qui est normal quand on a fait le choix délibéré de rester aveugles et sourds, non ? Le culte de la mort viendra fleurir de plus en plus nos tombes, ou ce qu'il en restera, si nous ne faisons pas notre conversion, si nous ne guidons pas nos enfants sur le chemin de la Vraie Vie, de leur cœur. Il nous faut faire ce travail de mémoire de nos Anciens et revenir aux fondamentaux de la Vie,en commençant par le Baptême : le travail de libération, de purification, de nôtre âme et de notre esprit, par le détachement, pour pouvoir aimer cette vie sur Terre qui nous tend les bras. Ceux qui redeviendront des combattants de la Lumière, des résistants aux ténèbres de ce monde, seront sauvés : eux et toute leur descendance…
Il faut pour cela commencer par libérer la médecine de la vision labyrinthique des problèmes qu'elle traite au jour le jour, sans autre lumière que celle du soleil ou des frères Lumière dans ses laboratoires scientifiques...et des applications ruineuses de son aveugle philosophie.A elle de retrouver ses lettres de noblesse, pour que la pratique d'une véritable santé humaine ( et non humaniste), puisse protéger véritablement l'homme de demain de sa robotisation qui viendrait en compensation de tous les virus qu'on lui aurait suggérés et créés pour le faire disparaître.L'homme du XXe siècle avait tout confondu, dans ses ténèbres existentielles, intellect et esprit, sentiment et amour, existence et vie, prudence et frilosité…etc. Il est encore temps pour que l'homme du XXIe siècle se réveille de son sommeil terrestre s'il ne veut pas voir son existence terrestre se transformer en mort complète et totale.
Il n'y a pas et il n'y aura pas, car il n'y a jamais eu de santé sans la sainteté de la Sagesse et de l 'Amour de chacun !!!

Si les JO de Tokyo n'ont pas eu lieu c'est peut-être un signe pour nous dire qu'il faudrait arrêter de jouer aux sales garnements qui n'écoutent rien, et qu' « il faudrait cesser rapidement de tourner en rond autour du fait pour prendre le rayon qui nous ramène au centre » comme dit Plotin ! En 36, le monde, fixé sur les anneaux olympiques, n'avait pas vu que les JO de Berlin se déroulaient sous le salut nazi avec un stade olympique rempli de croix gammées ! Trois ans après, l'Allemagne envahissait l'Europe et faisait ses camps de concentration qui n'ont été découverts véritablement qu'à la libération... « Celui dont la clairvoyance ne s'étant pas loin sera bientôt dans l'embarras »dit Confucius.Cet appel à la sagesse, venue d'Orient, et qui n'est pas un virus médiatique venu s'appuyer sur notre manque véritable de travail de mémoire, devrait nous inspirer beaucoup plus qu'un hôpital construit à la hâte pour émouvoir le monde entier. Notre faiblesse est grande et notre inintelligence a dépassé les frontières…
Les gilets jaunes, maintenant le virus venu de Chine : le péril jaune avance « à peine » masqué, comme un cheval de Troie, d'abord en Afrique, demain en Europe et ailleurs, avec la construction d'hôpitaux, de dispensaires, de laboratoires plus industriels et économiques que médicaux! Tout cela sous le couvert du principe d'interdépendance des peuples du fait de la mondialisation entraînant dans certains pays, les plus faibles,la disparition de leur souveraineté nationale. « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent » dit Saint Paul.Les interventions à l'O.N.U, ou encore mieux, au sein de l'O.M.S, devraient faire davantage référence à la Parole, pour une véritable conduite de ce monde...Les institutions sont une chose ; la mission d'aimer de chacun, tout autre chose !
Recentrons nous sur nos valeurs spirituelles et morales qui ont permis à nos ancêtres de survivre à leurs difficultés pour que nous puissions vivre aujourd'hui;retrouvons le sens de la nécessité pour ne pas continuer à plonger dans le principe mortifère du besoin ! L'homme du futur ne peut se laisser asservir par la soif intarissable de progressisme technologique.Les progrès de l'homme ne se sont toujours accomplis que dans la maîtrise de ses goûts , de ses envies, de ses besoins ! Le progressisme entraîne une fuite dans l'extériorité.Il s'appuie sur le culte de la facilité ou de la crainte de la faiblesse de nos corps mortels ; le progrès est «  beaucoup plus » simple : il consiste à vivre de plus en plus en soi, avec soi, pour soi comme pour l'autre.Il est force et puissance créatrice de vie.
La tentation du Vieil Adam aurait disparue avec la venue du Nouvel Adam ? Le salut de l'homme, pas plus aujourd'hui qu'hier, ne peut se faire par l'enfermement ou le confinement ; il passe uniquement par son intériorisation. C'est la « Pessah »des hébreux, la porte de passage des Justes ; la Pâques chrétienne, l'amour et le partage de la vraie vie avec l'autre…
Préparons nous à fêter Pâques, la Résurrection de tout et de tous dans une conscience infinie et éternelle, qui est la notre maintenant, pour la vie de nos enfants et petits-enfants demain…
Il sera toujours temps de faire un bilan post mortem de nos entreprises victimes de notre manque d'entreprise personnel, conjugal, familial, et par voie de conséquence sociétal et mondial, de la gestion médicale et politique d'un tel gâchis humanitaire, qui continue à se transmettre de «  virus » en virus. Refaisons le sacré, l'unité en nous et autour de nous, non plus à l'écoute de la propagande médiatique, mais à l'écoute de notre cœur, centre ontologique ; de notre « sacré cœur » !
Nous pourrons arrêter ainsi l'exil de la Terre Sainte de notre intériorité, l'hémorragie de beaucoup de pays et le sacrifice de leurs enfants. « Tout malheur est bon quand on sait l'interpréter ! »Arrêtons le massacre,et pas que des baleines, des rhinocéros ou des éléphants...Assez, suffit !
Le Christ à dit aux Apôtres : « Je vous laisse la paix, Je vous donne ma Paix ». Allons tous dans la paix du Christ,au cœur de nous-mêmes, à la rencontre de nous-mêmes, nous Le verrons, comme dit Saint Bonaventure, venir à notre rencontre, rétablir cet Arche d'Alliance Nouvelle et Éternelle pour sauver toute l'humanité de sa dualité, de sa diabolisation…
« Il n'y a pas d'amour sans partage.Tout ce que vous ferez vous le ferez en mémoire de moi ! ».  Joyeuses Fêtes de Pâques , dans un cœur rempli de joie de pouvoir encore et toujours donner du sens à sa vraie vie…
Après la levée du débat du port du voile islamique, à bas le masque de la honte de cette humanité « pestiférée », pour que nous puissions montrer au regard de la Sagesse et de l'Amour, enfin le vrai visage de notre nouvelle et éternelle humanité!
Le port du masque ne protégera pas davantage nos âmes, nos esprits comme nos corps, des virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux qui ont pénétré depuis trop longtemps nos différents cercles de vie. Le virus n'est pas venu pour être testé ; il est venu tester notre résistance aux vagues de déferlement médiatique des forces du Mal et nous dire que le temps de réveiller nos consciences, notre logique et notre bon sens est véritablement venu !
Avec Pâques, nous retrouvons la joie, de retourner au cœur de nous-mêmes, de nous détacher du virus de l'Avoir, et d'être élevé à la nouvelle conscience de l'Être : «  Heureux les cœurs purs...» Retrouvons ce cœur pur de l'enfant pour ne plus voir le drapeau de notre intelligence en berne, trahie par la perte de notre conscience : « Ouvrez la cage aux oiseaux- regardez comme les voir s'envoler c'est beau ! »
Que Pâques 2020 soit le Renouveau, le Printemps de notre humanité d'hier, d'aujourd'hui et de demain...c'est tout le sens de la Culture et de la Tradition.



Michel Laclaverie : Avril 2020

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