AU CŒUR D'UNE
PANDÉMIE…
Ce n'est pas la première
fois que l'homme se retrouve au cœur d'une pandémie mortifère ni
meurtrière...et à chaque fois l'humanité, ou ce qu'il en reste,
s'en est sortie ! Faut-il pour autant nier les risques et les
dangers de celle qui nous concernerait aujourd'hui ? Avec encore
un minimum de rationalité, bien sûr que non ! Néanmoins, pour
tous ceux qui ne seraient pas tombés dans leur animalité qui les
priverait de la raison, il serait temps de redresser la barre !
Redresser la barre de l'horizontalité du formatage collectif, qui
ouvre de plus en plus la porte au transhumanisme, pour que chacun
retrouve la verticalité de son être. Le retour annoncé à la
normale depuis 2000 ans, à la vision du cœur, au recouvrement de
son âme ( de son anima, de sa pneuma pour les Grecs), aurait dû
nous éviter de nous retrouver tous en ré-animation de nos corps
étouffés par le manque d'oxygène d'une humanité confinée dans sa
matérialité : soit directement en tant qu'acteurs;soit, en tant que
spectateurs « avertis » ! Le culte de la maladie et
de la mort fait toujours recette !
-Le
volet infectiologique : Comment des scientifiques, qui ont fait
pourtant de longues études, ne sauraient plus compter que les morts
et encore ? Simplement par la loi du Nombre :1 milliard 300
millions de Chinois, qui eux, bien sûr, ne savent pas compter les
leurs! En construisant un hôpital en urgence, la propagande
chinoise, avec « preuves scientifiques » à l'appui, a
planté le décor de la pièce de théâtre qui allait se jouer,
médiatiquement, sur le plan mondial ; paralysant de peur chez
elles toutes les économies, occidentales d'abord, mondiales
ensuite.Nous n'aurons jamais assez de masques pour nous voiler la
face, ni de respirateurs artificiels pour que les poumons de notre
économie retrouvent leur souffle d'antan !!! Après le débat
sur le port du voile islamique, demain viendra le débat sur le port
obligatoire du masque, dans le but, bien sûr, de toujours simplifier
les relations humaines.
Les chinois connaissent le
Coronavirus depuis 2001 selon l'O.M.S. Pourquoi en inonder le marché
mondial aujourd'hui ? Et puis pourquoi s'inquiéter quand on a
le meilleur système de santé au monde avec souvent un pneumologue
pour vingt psychiatres en moyenne ? Quand donc sortirons-nous du
confinement de notre négativité et de ses besoins
compensatoires:aurons-nous assez d'anxiolytiques,
d'antidépresseurs,d'opiacés, de morphiniques, de dérivés de
cannabis,pour sauver nos âmes et nos esprits de la crise économique
et sociale qui étend les flammes de l'enfer qu'est devenu l'homme
pour lui-même à toutes les populations de la planète ?La
multiplication des grammes de Paracétamol, très
hépatotoxique,suffira-t-elle à en faire baisser la température? Ce
qui est certain,par contre, c'est que nous n'aurons jamais assez
de gel hydro-alcoolique pour nous « laver les mains »
comme Ponce Pilate, il y a 2000 ans, avec les institutions en place,
les prêtres juifs et les pharisiens, les princes de ce monde à
l'époque, d'un tel crime contre l'humanité ! Le crime se
perpétue au fil des siècles et des millénaires par l'incapacité
de l'homme d'aujourd'hui comme hier, à se rendre au cœur de
lui-même pour y recevoir la lumière de ce qui est juste et bon pour
lui et sa descendance. Ne participant pas au salut de sa vie
intérieure, dans un ordre intérieur fait de lois de Sagesse et
d'Amour, il la pollue, la détruit, dans le vacarme d' un chaos
extérieur de plus en plus impressionnant !
Nous parlions souvent de
médecine à deux vitesses ; nous en sommes, aujourd'hui, à la
chute complète et totale, de tout et de tout le monde à vitesse
grand V ! A moins... encore et toujours, que celui qui a,
encore, des oreilles entende ! Si l'homme n'écoute pas son
cœur, il se retrouve, dans les « eaux du Déluge » de
l'inconscience de ce monde et se retrouve ballotté au gré du vent
des ego de journalistes, intellectuellement et politiquement
corrects, parfaitement initiés et éclairés sur le problème actuel
à traiter puisque « c'est leur domaine », alors qu'ils
ne l'étaient pas jusque -là sur les autres, puisque les situations
présentes, encore une fois et comme d'habitude,n'avaient pas pu être
prévues.Nous comprenons très bien qu'avec Saint Paul, nous ne
sommes pas « porteurs », ni médiatiquement, ni
politiquement, ni économiquement parlant : « Autrefois
vous étiez ténèbres ; maintenant dans le Seigneur, vous êtes
lumière. Conduisez-vous comme des enfants de lumière : les
fruits de la lumière c'est la justice, la bonté, la vérité... »ça
coupe court et ça empêche de discuter pendant des heures pour ne
rien dire ! Si nous nous remettons tous ensemble en capacité de
voir avec le cœur, nous pourrons toujours prévoir ! Même s'il
faudra plus de temps au temps, car nous n'aurons jamais non plus,
assez de pompiers pour éteindre encore les flammes de l'enfer de
l'Avoir que l'homme préfère toujours au paradis de l'Être !
Comme le souligne
l'anthropologue Jean Dominique MICHEL, qui s'occupe de la santé
publique depuis 30 ans, l'infection à Coronavirus est bénigne en
dehors de pathologies morbides préexistantes ; ou de
sensibilités, de fragilités particulières mentales ou affectives
avérées, ou plus récentes du fait du caractère nocif, amplifié
médiatiquement de l'événement. Lorsque les virus mentaux,
affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux,
matériels, professionnels...etc n'ont pas été « pulvérisés »
par la sagesse et l'amour de l'homme, ce virus,comme tout autre, est
pour certains la « goutte d'eau » qui fait déborder le
vase.
Tous les ans la grippe fait
bon an mal an 8 à 10000 morts en France ; 12000 morts par
résistance aux antibiotiques ; 1700 morts tous les jours de
pluripathologies ; 50000 morts tous les mois en France. Si nous
ne savions pas compter nous aurions de quoi être inquiets du H1N1,
du SRAS, et maintenant du Coronavirus ; en attendant le prochain
à sortir des laboratoires de la mode scientifique. Malgré la mise
en garde de Rabelais que « science sans conscience »
n'est que ruine de l'âme, le scientisme est devenu l'intelligence
universelle, preuves à l'appui !!!
C'est avec la complicité
médiatique, pour laquelle le virtuel a tellement plus de valeur
qu'il a remplacé le réel, que nous nous retrouvons dans une
dramaturgie collective hallucinée, dans laquelle les « princes
de ce monde »voudraient tous nous enfermer, s'appuyant sur la
statistique parlante qu'il y aurait plus de moutons que de
bergers...Heureusement qu'il reste, et qu'il restera toujours, des
êtres valeureux (qui ont d'autres valeurs), courageux et forts, pour
défendre la forteresse de leur conscience universelle…
« A malin, malin et
demi ! » Déjouer la ruse du Satan, le serviteur des
princes de ce monde, c'est que la France ne se vive plus par rapport
au monde, mais qu 'elle redevienne lumière du monde...non pas
en pensée, en croyance égotique, jupitérienne, mais en véritable
témoignage qu'elle est sorti de l'asservissement aux intérêts
économiques et politiques consensuels. Ce n'est pas en rétablissant
des frontières entre les pays que nous nous sortirons de nos
incapacités à nous suffire à nous-mêmes.La ruse de Dieu est
d'appeler l'Homme à rétablir l'unité de vie en lui, avec lui, pour
lui, pour participer à Son Grand Œuvre. Si l'homme a été capable
de construire des cathédrales qui font l'émerveillement de tous,
pourquoi ne serait-il plus capable de devenir cette « pierre
vivante » pour participer à l'édification d'une vie meilleure
et d'un monde meilleur ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous des
compagnons du « devoir » pour relever Notre
Dame et sa flèche de nos errances matérielles qui, dans leur chute,
nous plongent dans les flammes de l'enfer ?
Allons nous rester
spectateurs, et par voie de conséquence victimes, d'être « bien
pensants » de notre bien être, qui n'arrêtent pas, sous
prétexte de l'occupation de postes de responsabilités éphémères,
de chercher à se donner bonne conscience parce qu'ils auraient perdu
toute conscience « propre » ? Cette
« bonne »conscience c'est celle d'un état providence qui
occulte le sens de la nécessité princeps, propre à chacun, pour
entretenir l'homme vulgaire, non éclairé, dans la dépendance, le
besoin. L'assistanat s 'est substitué au « Aides-toi
et les Ciel t'aidera ». L'appel sans cesse urgent au docteur
est la conséquence de l'absence de médecins qui n'auraient jamais
cessé d’appeler, eux, leurs patients à combattre le virus de
cette insouciance, de cette inconscience, de cette incapacité
collective à écouter à voir, à comprendre ce qui est juste et bon
pour la vie aujourd'hui et celle du monde à venir...Le télétravail
et la télétransmission, aussi juteux et « confortables »
soient-ils, n'éviteront pas la propagation de tous ces virus !
L'affection, l'infection,
ne sont que les fruits d'une médecine de laboratoires qui n'ont
d'intérêt, sous le couvert de hautes autorités de la santé et de
l'O.M.S dont les chinois étaient à la tête durant le mois de Mars
(coïncidence), que l'on traite toujours les conséquences pour ne
jamais s 'attaquer aux causes. L'enfermement dans des pensées
medico-médiatico-économica-politiques empêche l'homme
d'aujourd'hui de vivre en retrouvant l'intégrité de ses propres
moyens. Les perfusions de millions d'Euros de toutes nos institutions
en soins palliatifs depuis longtemps en témoignent;l'inconscience de
chacun, l'empêchant de faire le sacré, l'unité dans sa
relation à lui (à elle), dans sa relation à l'autre, contribue à
l'endettement abyssal de notre société, qui s'aggrave de jour en
jour, sacrifiant ainsi toutes les générations à venir...Nous
sommes loin de pouvoir retrouver « le sommeil du juste »
avec nos enfants de plus en plus hyperactifs en cherchant à se
débarrasser des chaînes de l'immaturité et de l'animalité de
leurs « parents »...Et l'apport de milliards de dollars
ou d'euros, par les banques européennes ou mondiales, avec de
« l'argent tombé du ciel », ne suffiront jamais à
combler les manques de conscience de chacun...
Un des Commandements
c'est : « Tu ne jugeras point ! ».
« Pardonnes leur, Père ; ils ne savent pas ce qu'ils
font ! » C'est pour cette raison qu'il nous faut nous
rendre à la Justice, celle du cœur de l'Homme qui reçoit la
Lumière, pour pouvoir témoigner dans le monde de cette justice.Dans
le cas contraire l'humanité continuera à « se faire sonner
les cloches » et ce sera plutôt le tocsin que celles de
Pâques...Sans aller si loin, l'humanité n'est toujours pas sorti de
sa terre d’Égypte, de sa terre d'exilée, de victime perpétuelle
et des dix plaies de son âme... « Que celui qui a des
oreilles (maintenant) entende ! »
Après la course de la
mise « au point » d'un nouveau vaccin ( 3 mois pour
les américains ; 1 an pour les français…) la polémique
intellectuelle n'a pas atteint son apogée.Dans le cercle des
sommités, comme le souligne j.d Michel, « la recherche et
l'autorité médicales, sont aussi faites de mesquineries, de
manipulations,de malhonnêtetés en tous genres, ainsi que de
pitoyables, mais violents combats d'ego. »
Les discussions, qui
appartiennent toujours à l'intellect et non à l'esprit, portent sur
le choix de telle ou telle molécule, dont l'effet placebo, viendrait
rassurer chacun dans son besoin, bien sûr, de santé publique.
L'hydroxychloroquine est un médicament extraordinaire : c'est
de l'hydrogène- de l'oxygène- du chlore( de l'eau de javel)- de la
quinine ; mais dangereux pour les cardiaques qui seraient alors
trop stimulés. Mais ce médicament est trop simple pour être
efficace ! Heureusement nous avons l'intelligence artificielle
et l'ordinateur d'IBM de 1 km² (j’exagère à peine) qui va nous
trouver les molécules et donc les médicaments (tous chimiques bien
sûr) à fabriquer.Là forcément l'intellect de l'homme, ne fait pas
le poids ! Demain, les robots chinois fabriqués avec les
matières premières africaines(culture geek de BFM tv en fait
régulièrement la promotion) éviteront toute promiscuité
humaine.Nos usines, nos entreprises seront vidées de toute virologie
humaine : demeurera seulement la possibilité des virus
informatiques pour leurs pauvres robots. Confucius, sage chinois, et
son fameux « qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque
jour ! », est mort avec le progressisme du scientisme,
inhibant tous les progrès que pouvait et donc devait faire l'Homme..
Ayant perdu le sens de la
vie, de l'au-delà du fait, l'être humain, dans sa faiblesse,
cultive la mort : individuelle, conjugale, familiale, sociétale.
-L'explosion médiatique du
virus et de « sa couronne d'épines » est responsable
d'une hallucinante psychose collective. Le monde sensible du malheur
n'est plus focalisé que sur la dernière trouvaille faite par les
chinois pour polluer la vie du reste du monde et l'enfermer dans une
urgence psychiatrique ! L'étendue des radiations sont pires
que celles de Tchernobyl ou Fukushima réunies, pour lesquelles, il
n'y aurait eu besoin ni de médicament ni de vaccin, si ce n'est
celui du mensonge et de la malhonnêteté saupoudrés d'un peu de
thyroxine auxquels toutes les populations de la planète ont bien
voulu croire ; pour les faire plonger quelques temps après dans
le « scandale » du Levothyrox. La schizophrénie de ce
monde tient au paradoxe de l'homme qui a toujours un pied tourné
vers la tombe et l'autre vers le monde intelligible de l'Esprit. La
gravité du désastre tient à la perte de la conscience personnelle,
et par voie de conséquence collective,assaillies de toutes parts
sous l'effet de la mondialisation. Pour être sauvé il faut être
sauveur ; mais pour être sauveur il faut être sauvé. Le
bateau France aurait-été rebaptisé pour ne pas faire
économiquement,complètement naufrage ? Qui aurait pu prévoir
un tel abandon d'un des fleurons de notre pays ? Avec des
gouvernants qui ne naviguent plus qu'à vue (ayant perdue la vision)
nous risquons tous d'échouer ; et pas sur le bon rivage... où
il n'y a plus de faux-semblants ! L'être humain perd sa
conscience dès qu'il se considère par rapport à l'autre, par
rapport au monde qui l'entoure ; et qu'il ne demeure pas en lui,
avec lui, pour lui comme pour le monde d'aujourd'hui et de demain…
A la psychose fait suite
dès maintenant pour l'homme enfermé dans son confinement, la
névrose obsessionnelle de toute relation humaine. La peur s'est
emparé de l'esprit de l'homme pour détruire sa conscience et sa
vie.
Demain il rentrera
immanquablement dans une paranoïa inconcevable jusqu'alors pour les
savants , de sa propre victimologie, du fait du mal, du mal être, de
la maladie et de la mort que lui procure ce monde.C'est « l'homme
sensible ».
« L'homme
intelligible »,à contrario,est celui qui a l'intelligence
encore d'aller au cœur de lui-même, parce qu'il a appris, au fil
des générations, qu'il n'y a que la Foi qui sauve ! La foi,
c'est la fidélité à la Parole, c'est la culture des terres
intérieures de sa spiritualité, qui le sauve et sauve tous ceux qui
l'entourent, et qui lui affirme que : « demain sera
meilleur » ! Sans l'écoute de la Parole, il n'y a et il
n'y aura sur cette Terre que pleurs et grincements de dents. Au lieu
de chercher l'au-delà de l'au-delà de l'au-delà, de son
intériorité, l'homme d'aujourd'hui va du pire au pire, pour tomber
et brûler en enfer. Au lieu de combattre son négatif et son ego
pour retourner au paradis de son cœur, il préfère continuer à
faire le choix de sa victimologie à travers les autres.
Sans ces Archétypes (ces
Principes de vie) il ne peut y avoir de construction de vie
meilleure…
-L'intégration des lois de
la vie et de la nature : Si l'homme ne retourne pas à sa
divinité il tombe dans son animalité ! De simple créature
humaine, se recentrant sur lui, se remettant au centre de sa
création, l'homme retrouve l'Image du Créateur. Pour cela il faut
qu 'il intègre tous ses « animaux » ; qu'il
les domine,qu'il les maîtrise. Ce sont ses insouciances, ses
inconsciences, ses incapacités, d'écoute, de vision, de
compréhension. L'homme qui était un animal doté de la raison, l'a
perdue dans une vie de plus en plus instinctive, et donc
non-réfléchie. A moins qu'une Volonté Supérieure abaisse
aujourd'hui l'homme au rang d'animal privé de raison pour mieux
percevoir l'intelligence de vie des animaux vivant depuis toujours
dans la nature. Le développement intellectuel de l'homme l'ayant
privé en même temps de l'intelligence de son cœur et de son
esprit. Il n'y a qu'à voir : les animaux dans la nature ne
regardent pas la télé et ne sont pas branchés sur les réseaux
sociaux. Ils demeurent concentrés sur ce qui est utile et nécessaire
à la pérennisation de leur espèce. Ils ne se posent nullement la
question de savoir s'il y a davantage de chiens ou de chats errants
dans la nature qu'autrefois avec la crainte que la rage ne les
déciment en grande partie. Ils ont toujours vu du lichen sur les
arbres, ou du gui, ou de la mousse recouvrir le sol,sans se dire que
la fin du monde était proche,comme pouvait le prédire Mme Buzin !
Ils tolèrent tous les virus et les germes (des millions) dans leur
corps ou en dehors, comme les humains jusque là...Leur sens de la
vie va sûrement finir par nous inspirer. Même si bon nombre
d'espèces animales ou végétales ont disparues au cours des
millénaires, dans des cycles évolutifs de la planète, ou sous
l'influence néfaste grandissante de l'homme, comme aujourd'hui.
-La vie du monde à venir :
Avec la « couronne d'épines » nous y sommes:le XXIe
siècle sera spirituel ou ne sera pas, a dit Malraux !
Pourquoi Jésus serait mort
sur la Croix, emportant avec lui tous nos péchés (toutes nos
tentations de vivre par rapport au monde), si c'était pour vivre
confinés aujourd'hui dans le concept d'un virus mondial ? Nous
voyons bien que nous ne sommes pas tous chrétiens, morts sur la
Croix, fixés sur notre cœur, à la croisée des chemins entre notre
horizontalité ( la mort) et notre verticalité (la vie infinie et
éternelle). Lorsque les avions ne décollent plus du sol c'est qu'il
n'y a plus de pilote à bord ! Ils nous auraient peut-être
permis de relativiser et d'arriver à la conclusion que quand l'homme
s 'élève, tout ce qui lui apparaissait immense lorsqu'il
était, avec son avion, cloué au sol, devient tout petit, puis
infime, au point de disparaître même de sa vue. Combien de drames,
de catastrophes, aujourd'hui oubliés, dans d'autres drames et
catastrophes ; c'est le fruit du déplacement horizontal, de
générations en générations du problème qu'est l'homme matériel
lui-même, de plus en plus dégénéré, déstructuré, dans sa
relation à lui,dans sa relation à l'autre. Il n'y a plus de
commandant à bord, parce qu'il n'y a plus de Connaissance des 10
Commandements (Tu aimeras ton prochain comme toi-même- tu ne tueras
point- tu ne voleras point…)
L'homme ayant déserté son
cœur, malgré l'appel du Christ au « Je suis le Chemin, la
Vérité et la Vie », sa vie sur Terre est de plus en plus
désertique.Le Peuple élu, le Peuple de Dieu, le peuple Hébreu (le
peuple qui fait la traversée du désert de son humanité,non de
manière futile et éphémère comme sur les chemins de Compostelle,
de la Mecque ou de Jérusalem, selon où l'on se trouve) ne marche
pas dans le même sens que les autres peuples ; aussi les autres
peuples ne récoltent sur leur terres incultes que des ronces et des
épines. C'est le « Corona-Virus ». Jamais, soit-disant,
nous n'avions vu une telle pandémie ; ce qui est normal quand
on a fait le choix délibéré de rester aveugles et sourds, non ?
Le culte de la mort viendra fleurir de plus en plus nos tombes, ou ce
qu'il en restera, si nous ne faisons pas notre conversion, si nous ne
guidons pas nos enfants sur le chemin de la Vraie Vie, de leur cœur.
Il nous faut faire ce travail de mémoire de nos Anciens et revenir
aux fondamentaux de la Vie,en commençant par le Baptême : le
travail de libération, de purification, de nôtre âme et de notre
esprit, par le détachement, pour pouvoir aimer cette vie sur Terre
qui nous tend les bras. Ceux qui redeviendront des combattants de la
Lumière, des résistants aux ténèbres de ce monde, seront sauvés :
eux et toute leur descendance…
Il faut pour cela commencer
par libérer la médecine de la vision labyrinthique des problèmes
qu'elle traite au jour le jour, sans autre lumière que celle du
soleil ou des frères Lumière dans ses laboratoires
scientifiques...et des applications ruineuses de son aveugle
philosophie.A elle de retrouver ses lettres de noblesse, pour que la
pratique d'une véritable santé humaine ( et non humaniste), puisse
protéger véritablement l'homme de demain de sa robotisation qui
viendrait en compensation de tous les virus qu'on lui aurait suggérés
et créés pour le faire disparaître.L'homme du XXe siècle avait
tout confondu, dans ses ténèbres existentielles, intellect et
esprit, sentiment et amour, existence et vie, prudence et
frilosité…etc. Il est encore temps pour que l'homme du XXIe siècle
se réveille de son sommeil terrestre s'il ne veut pas voir son
existence terrestre se transformer en mort complète et totale.
Il n'y a pas et il n'y aura
pas, car il n'y a jamais eu de santé sans la sainteté de la Sagesse
et de l 'Amour de chacun !!!
Si les JO de Tokyo n'ont
pas eu lieu c'est peut-être un signe pour nous dire qu'il faudrait
arrêter de jouer aux sales garnements qui n'écoutent rien, et
qu' « il faudrait cesser rapidement de tourner en rond
autour du fait pour prendre le rayon qui nous ramène au centre »
comme dit Plotin ! En 36, le monde, fixé sur les anneaux olympiques,
n'avait pas vu que les JO de Berlin se déroulaient sous le salut
nazi avec un stade olympique rempli de croix gammées ! Trois
ans après, l'Allemagne envahissait l'Europe et faisait ses camps de
concentration qui n'ont été découverts véritablement qu'à la
libération... « Celui dont la clairvoyance ne s'étant
pas loin sera bientôt dans l'embarras »dit Confucius.Cet appel
à la sagesse, venue d'Orient, et qui n'est pas un virus médiatique
venu s'appuyer sur notre manque véritable de travail de mémoire,
devrait nous inspirer beaucoup plus qu'un hôpital construit à la
hâte pour émouvoir le monde entier. Notre faiblesse est grande et
notre inintelligence a dépassé les frontières…
Les gilets jaunes,
maintenant le virus venu de Chine : le péril jaune avance « à
peine » masqué, comme un cheval de Troie, d'abord en Afrique,
demain en Europe et ailleurs, avec la construction d'hôpitaux, de
dispensaires, de laboratoires plus industriels et économiques que
médicaux! Tout cela sous le couvert du principe d'interdépendance
des peuples du fait de la mondialisation entraînant dans certains
pays, les plus faibles,la disparition de leur souveraineté
nationale. « Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la
fois : Dieu et l'argent » dit Saint Paul.Les interventions
à l'O.N.U, ou encore mieux, au sein de l'O.M.S, devraient faire
davantage référence à la Parole, pour une véritable conduite de
ce monde...Les institutions sont une chose ; la mission d'aimer
de chacun, tout autre chose !
Recentrons nous sur nos
valeurs spirituelles et morales qui ont permis à nos ancêtres de
survivre à leurs difficultés pour que nous puissions vivre
aujourd'hui;retrouvons le sens de la nécessité pour ne pas
continuer à plonger dans le principe mortifère du besoin !
L'homme du futur ne peut se laisser asservir par la soif intarissable
de progressisme technologique.Les progrès de l'homme ne se sont
toujours accomplis que dans la maîtrise de ses goûts , de ses
envies, de ses besoins ! Le progressisme entraîne une fuite
dans l'extériorité.Il s'appuie sur le culte de la facilité ou de
la crainte de la faiblesse de nos corps mortels ; le progrès
est « beaucoup plus » simple : il consiste à vivre
de plus en plus en soi, avec soi, pour soi comme pour l'autre.Il est
force et puissance créatrice de vie.
La tentation du Vieil Adam
aurait disparue avec la venue du Nouvel Adam ? Le salut de
l'homme, pas plus aujourd'hui qu'hier, ne peut se faire par
l'enfermement ou le confinement ; il passe uniquement par son
intériorisation. C'est la « Pessah »des hébreux, la
porte de passage des Justes ; la Pâques chrétienne, l'amour et
le partage de la vraie vie avec l'autre…
Préparons nous à fêter
Pâques, la Résurrection de tout et de tous dans une conscience
infinie et éternelle, qui est la notre maintenant, pour la vie de
nos enfants et petits-enfants demain…
Il sera toujours temps de
faire un bilan post mortem de nos entreprises victimes de notre
manque d'entreprise personnel, conjugal, familial, et par voie de
conséquence sociétal et mondial, de la gestion médicale et
politique d'un tel gâchis humanitaire, qui continue à se
transmettre de « virus » en virus. Refaisons le
sacré, l'unité en nous et autour de nous, non plus à l'écoute de
la propagande médiatique, mais à l'écoute de notre cœur, centre
ontologique ; de notre « sacré cœur » !
Nous pourrons arrêter
ainsi l'exil de la Terre Sainte de notre intériorité, l'hémorragie
de beaucoup de pays et le sacrifice de leurs enfants. « Tout
malheur est bon quand on sait l'interpréter ! »Arrêtons
le massacre,et pas que des baleines, des rhinocéros ou des
éléphants...Assez, suffit !
Le Christ à dit aux
Apôtres : « Je vous laisse la paix, Je vous donne ma
Paix ». Allons tous dans la paix du Christ,au cœur de
nous-mêmes, à la rencontre de nous-mêmes, nous Le verrons, comme
dit Saint Bonaventure, venir à notre rencontre, rétablir cet Arche
d'Alliance Nouvelle et Éternelle pour sauver toute l'humanité de sa
dualité, de sa diabolisation…
« Il n'y a pas
d'amour sans partage.Tout ce que vous ferez vous le ferez en mémoire
de moi ! ». Joyeuses Fêtes de Pâques , dans
un cœur rempli de joie de pouvoir encore et toujours donner du sens
à sa vraie vie…
Après la levée du débat
du port du voile islamique, à bas le masque de la honte de cette
humanité « pestiférée », pour que nous puissions
montrer au regard de la Sagesse et de l'Amour, enfin le vrai visage
de notre nouvelle et éternelle humanité!
Le port du masque ne
protégera pas davantage nos âmes, nos esprits comme nos corps, des
virus mentaux, affectifs, comportementaux, conjugaux, familiaux,
sociétaux qui ont pénétré depuis trop longtemps nos différents
cercles de vie. Le virus n'est pas venu pour être testé ; il
est venu tester notre résistance aux vagues de déferlement
médiatique des forces du Mal et nous dire que le temps de réveiller
nos consciences, notre logique et notre bon sens est véritablement
venu !
Avec
Pâques, nous retrouvons la joie, de retourner au cœur de
nous-mêmes, de nous détacher du virus de l'Avoir, et d'être élevé
à la nouvelle conscience de l'Être : « Heureux les
cœurs purs...» Retrouvons ce cœur pur de l'enfant pour ne plus
voir le drapeau de notre intelligence en berne, trahie par la perte
de notre conscience : « Ouvrez la cage aux oiseaux-
regardez comme les voir s'envoler c'est beau ! »
Que Pâques 2020 soit le
Renouveau, le Printemps de notre humanité d'hier, d'aujourd'hui et
de demain...c'est tout le sens de la Culture et de la Tradition.
Michel Laclaverie :
Avril 2020
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