A LA
VIE...A LA MORT
« Au
nom de la Vérité...je vous arrête ! »
Le
Monde du Malheur s’accroît de jour en jour, quand le Royaume du
Bonheur semble vouloir échapper à des « consciences »
existentielles, matérielles,
et leurs directives plus
mortifères les unes que
les autres ! La recherche compensatoire d’un « Bien-
être » relatif, en temps comme en fait, semble vouloir
s’imposer dans des champs de conscience « individuels »
en fuite dans « le chacun pour soi... et, bien sûr toujours,
Dieu pour tous !» Le
manque de culture de paroles de sages et de maîtres, et leur
autorité reconnue, est la source principale de la délinquance de
tout un chacun qui a perdu le sens de ce qui set absolument
nécessaire à la vie pour son passage sur Terre.
Le
monde extérieur est un monde duel par nature, qui oppose, divise,
sépare ses acteurs, tous
plus maléfiques les uns que
les autres...quoiqu’ils
en disent, lorsqu’ils n’expriment pas le langage du cœur !
Ainsi la médecine
« classique », dite chimique, polluante pour la nature
humaine, ne serait-ce que par ses effets secondaires in situ, se
verrait dans l’obligation
de s’opposer à
d’autres médecines, dites
« plus douces », ne serait-ce que parce qu’ elles
trouveraient leur origine dans la Mère Nature. Mais tout sentiment
dualiste mène à des dérives forcément de plus en plus
« sectaires » les unes comme les autres ; et
le durcissement de position des uns comme des autres symbolise
pleinement l’enfermement dans des systèmes de pensées qui
symbolise la violence (et non « la douceur ») de propos
de la part des uns, de directives de la part des autres, qui
revendiquent pourtant tous sans exception, le droit individuel de
liberté de « vivre » ou de mourir.
Le
Monde du Malheur est un monde « bipolaire », mentalement,
moralement, comme physiquement : c’est celui de « la
vérité si je mens !» Le pouvoir de l’Avoir cherche plus que
jamais à détruire le Germe divin de l’Être, en
affichant le désir de voir des sciences profanes, de plus en plus
perfectionnées dans le progressisme matérialiste, occulter les
sciences traditionnelles pour avoir renier la Science Sacrée de
l’Amour ! Dans ce dernier cas, il s’agit bien de preuves
valables et durables, d’êtres aimants de la vie en eux comme
autour d’eux élevés, grâce à leur conscience propre, à la
conscience pure de sages et de maîtres de toutes les cultures et de
toutes les traditions, qui en font la Science Traditionnelle du
passage « du besoin relatif à l’absolue nécessité » ;
jusqu’à l’Unique Nécessaire, l’Amour divin : créateur
de vie meilleure en soi et de
monde meilleur autour de soi. C’est
« le Cercle de la révélation de la Parole » qui
établit l’unité entre les êtres, au-delà de leur concepts,
à-priori, illusions, sentiments, pensées, croyances...toutes, sans
exception, à la base de
« dérives sectaires » ! La preuve de l’amour
c’est le témoignage de sa vie personnelle, comme conjugale,
familiale, professionnelle, sociale...Elle est le fruit d’une santé
basée sur l’écoute de la Parole de Justice, de Bonté, de Vérité.
Sa vérification
expérimentale s’effectue dans la quotidienneté de la sagesse de
Confucius : « Devenir meilleur est une nécessité ;
et qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour ! »
L’explication de la
dégénérescence, décadence, voire disparition, de l’humanité du
monde moderne , tient en grande partie à son infantilisme qui
n’écoute pas la recommandation de Saint Jacques : « Marchez
tant que vous avez la Lumière ; afin que les ténèbres ne vous
rattrapent pas ! » C’est
le manque de Justice, de justesse de son cœur et de son esprit, qui
fait que l’homme ordinaire (non éclairé- non initié) ne respecte
pas le Commandement divin , non seulement de « ne pas le
juger », mais « de l’aimer comme soi-même ». Il
est évident que pour accomplir un tel acte d’amour de la vie, de
l’au-delà du fait, il « faut être sauvé pour pouvoir être
sauveur ! » « Charité bien ordonnée commence par
soi-même ! » L’existence étant le fruit de la vie
intérieure, c’est le noyau de son cœur qui redonnera de la saveur
au fruit de l’écoute, de la vision de ce qui est juste et bon pour
tous. Mais, « le monde continue à marcher à l’envers !
Une véritable médecine consisterait
à remettre les patients (et non les clients) sur le chemin d’une
marche à l’endroit ; Mais cela donnerait de la part de cette
science la reconnaissance de ce plan spirituel de l’homme, de cet
être essentiel en lui (il est essentiel de vivre en soi, avec soi et
pour soi comme pour l’autre), de sa vocation divine ( la pratique
médicale ne doit pas occulter la vocation médicale du
salut de l’humanité de goûts, d’envies, de besoins
aliénants). Dans cette
perspective il est certain que le médecin ( et non uniquement le
docteur de « la science sans conscience qui n’est que ruine
de l’âme » selon Rabelais) redeviendrait le prêtre (
toujours prêt à être) qu’il
était autrefois ;
prêtre au sens de guide et de maître dan son cabinet, et non pas
arbitre d’une « morale infantilisante manipulatrice » .
Et c’est par l’effet d’un véritable renversement de la vapeur
qu’il aurait tout d’abord opéré en lui-même, que ce médecin,
au-delà de concepts formateurs strictement intellectuels, pourrait
amener l’autre à stopper son processus d’involution pour le
mener sur un chemin d’évolution, dans sa relation à lui et au
monde qui l’entoure. Toute autre médecine qui ne serait que
chimique, technique, manuelle ou naturelle, sans être spirituelle,
mènerait à une impasse (
Annick de Souzenelle 1970 : « L’homme vulgaire regarde
passer le temps ; le sage s’en saisit ! » Sénèque)
La
pratique médicale des uns en compensation de la pratique médicale
des autres n’est
que « l’ imagerie » de la diabolisation de la pensée
humaine tellement limitée qu’elle est condamnée à séparer
l’esprit, l’âme et le corps de chacun . Cette médecine
« spéciale » , naturelle ou pas, ne peut, en aucun cas,
être holistique (globale) car elle n’intègre pas le Principe Un
de toute chose. Sans la conversion à la vie en soi, avec soi, pour
soi comme pour l’autre (la Spiritualité) ce sont des fatalités de
plus en plus violentes de la victimologie en soi comme autour de soi
qui tombent sur cette humanité déchue de plus en plus désorientée.
« Qui n’a ni Dieu ni maître à Satan pour maître »
dit St Augustin au 5e
siècle. Mais le maître extérieur n’est vrai que dans la mesure
où il nous amène, nous guide, sur la chemin de notre propre
maîtrise intérieure ! Aucun
sectarisme n’est possible dans cette condition. « Le
malheur pour l’homme c’est son inculture » dit Platon ;
Maïmonide : « l’inculture est la mère de la
barbarie ». C’est ignorer aussi l’Apôtre Marc, nous
dire : « Comme ils étaient comme des brebis égarées
sans berger, Il se mit à les enseigner longuement. Mc,
6 »
« Celui
dont la clairvoyance ne
s’étend
pas loin sera bientôt dans l’embarras » dit Confucius. « Qui
accueille un prophète en sa qualité de prophète recevra une
récompense de prophète ; qui accueille un homme juste en sa
qualité de juste recevra une
récompense de juste » Matthieu, 10. La justice du cœur de
chacun voit alors le mensonge, la fausseté se transformer en
Justice, Bonté et Vérité : La liberté, l’égalité, la
fraternité devient libération
de
l’âme et de l’esprit, union
et sanctification de
la Vie Infinie et Éternelle : la
santé n’est que le fruit de la sainteté ; de l’unité
principielle établie en réalité.
Le « Relatif » s’efface devant la « Quête de
l’Absolu », de
l’amour et du partage.
La désertification par
chacun, de son cœur et de son esprit , « la perte
d’exploitation » de ses richesses intérieures, des valeurs
morales et spirituelles a pour conséquence la désertification
conjugale, familiale, sociale, politique, économique, médicale…
c’est
le retour à soi qui transforme le cœur de l’homme en source d’eau
vive infinie et éternelle et permet de mettre de la sagesse, de la
paix et de l’amour partout où voudrait régner la haine , la
colère, l’agressivité… « Les artisans de paix » ne
cherchent pas à se donner « bonne conscience » à
travers des directives serviles, mortifères ; ce ne sont pas
des « gens de mauvaise foi » ce sont des « combattants
de la Lumière », des « soleils de vie de la grâce ! »
Car c’est une grâce que d’écouter son cœur, pour que « toutes
les portes du Ciel comme de la Terre s’ouvrent pour le salut de
l’Humanité » dit
Saint Paul.
Tous
les vaccins contre les virus mentaux des psychoses maniaco-
dépressives, des névrose obsessionnelles, et des paranoïas, des
folies meurtrières , n’ont toujours
pas
été réalisés pour empêcher la dégénérescence, la décadence ,
la disparition d’une humanité déchue : le
virus de « l’Avoir » a toujours la prétention de
vouloir tuer le « Germe divin de l’Être ».
Quand
l’homme retournera à son humilité (sa force), son orgueil (sa
faiblesse), ne pourra plus le précipiter dans les flammes de
l’Enfer. Dépollué de ses insuffisances, insouciances,
inconsciences,incapacités à aimer la vie, il pourra quitter le
culte de « la virologie de la Mort », de
ses confinements, ses enfermements,
et embrasser à nouveau la vie dans sa Mère Nature. Il n’enfantera
plus dans la douleur ...il n’enfantera
plus de douleur,
car
son amour inconditionnel de la Vraie Vie soufflera l’errance (la
souffrance) de la perversité de tous ceux qui refusent de retourner
au Père, à leur Principe Créateur, pour se retrouver sans
re-pères, complètement désespérés face à un monde de plus en
plus désespérant…
Le combat du juste, porteur de
la Vérité dans son cœur, est pour sa vie comme pour l’autre, en
pleine et parfaite conscience de ce que peut être, et donc doit
être, l’homme pour la vie sur Terre.
Sans
l’autorité de la Parole des sages et des maîtres de toutes les
cultures et de toutes les traditions, qui ne sert qu’ à éviter à
tout un chacun de se penser ou de se croire, aucune législation qui
émane de la pensée humaine, même du plus grand nombre
(
car il y a toujours eu plus de moutons que de vérifiables bergers)
encore aujourd’hui, ne peut garantir une paix sociale qui ne serait
plus basée sur la genèse et la création d’une vie meilleure,
mais sur des peurs qui s’avèrent de plus en plus mortifères,
violentes.
L’unité ne s’établit que dans le cœur de chacun et avec le
cœur de chacun. C’est la nécessité de la conversion pour arrêter
de marcher sur la tête. Aucun antidépresseur, anxiolytique,
neuroleptique, aucune drogue ...aucune aliénation à quoique ce
soit, à qui que ce soit, de
manifesté, ne sauve la vie de l’homme sans son au-delà : son
au-dedans. « Charité bien ordonnée commence par soi -même » :
la Résurrection de la Chair c’est son unité dans sa relation à
soi comme à l’autre. Elle nous sauve de la mort certaine d’une
existence qui
ne se veut que
matérielle, avec
ses goûts, ses envies, ses besoins ( d’arrêts de travail, de
psychiatrisation, d’examens qui ne sont plus toujours
complémentaires, d’hospitalisations à répétition...
)
La fatigue des soignants en est de plus en plus évidente de voir cet
accroissement constant de besoins. Mais
heureusement que chacun a bien toujours son âme et conscience !
Le
serment d’Hippocrate n’a jamais été autant d’actualité pour
être vérifié :
« l’épreuve
nous fait faire l’expérience du salut ; elle vient vérifier
notre foi (notre fidélité à notre engagement pour la vie : le
mouvement,
le changement, l’évolution de chacun) » dit Saint Paul.
Sans
la Science Sacrée il ne peut y avoir de Science Traditionnelle !
C’est pourquoi
« l’intellect » de l’homme se retrouve alors à
chercher sans cesse à sortir du labyrinthe de sciences profanes,
qui se veulent, se pensent toutes meilleures que les autres, alors
que le nombre de cancers, de dépressions suicidaires, de maladies
chroniques ...ne cessent d’augmenter. La preuve de l’amour c’est
le témoignage ! Certaines
statistiques semblent réservées
uniquement à
la constatation de tous ces malheurs, comme
pour entretenir « la populace dans la peur » (selon La
Boétie), alors que des statistiques justes et bonnes, émanant
pourtant du Service de Sécurité Sociale,
ne seraient pas « scientifiques », que
ce soit en pratique « libérale » comme hospitalière ;
et ce, depuis des décennies,des
siècles.
La
haine, la colère, l’agressivité, sous couvert de dérives
technocratiques, apparaît comme une drôle de politique sanitaire,
vis-
à -vis de
professionnels de la santé, qui depuis des générations, affichent
leur parfaite conscience professionnelle !
Aucune formation médicale
digne de ce nom, ne peut se réduire à des directives mortifères,
violentes, pour l’ensemble de l’humanité. C’est l’intégration
du travail à faire, en conscience de chaque professionnel, qui
permettra à chacun de remédier à tous ses maux , à tous ces
maux !
« Ils
auraient pu faire le choix de la vie ; ils ont fait le choix de
la mort ; Seule la mort peut être leur récompense ! »
Jean Tauler.
Nous
sommes bien à « la croisée des chemins » ! Alors ,
le
chemin de la
nécessité
de la Vie
ou celui
du besoin de la
Mort ?
« Le
fait est comparable à l’eau miroitante d’un mirage »
disent les bouddhistes. Il n’est que la projection mentale du
négatif et de l’égo de l’homme d’après la
relativité de « son »
point de vue... selon qu’il se situe dans l’avion au-dessus des
nuages ou dans le sous-marin qui plonge de plus en plus dans l’Océan
de la négativité de ce monde. Dès lors, l’intégrisme de
l’espérance d’une vie meilleure dans un au-delà toujours
relatif au fait, peut apparaître comme évident aux générations
d’aujourd’hui face à un intégrisme dictatorial d’un monde
moderne en crise de
réponses salutaires face à leur détresse mentale, morale,
spirituelle
comme matérielle. Le
droit à l’Assurance Maladie se retrouve galvaudé dans l’abandon
au droit à se penser et à se croire de plus en plus malade, quand
d’autres n’auraient que le devoir de travailler dur pour financer
de tels systèmes qui
cautionne toujours plus le besoin d’assistanat par manque
de « responsables »,familiaux comme sociétaux, pour
veiller au respect du sens du devoir défini par le vieil adage du
« aides-toi ; et le Ciel t’aidera ! » Et qui,
bien sûr, a de moins en moins court aujourd’hui, car cela
supposerait un temps absolument nécessaire à consacrer à
l’éducation, à l’élévation à la conscience du devoir de
respecter son prochain comme soi-même .
Le
droit à la maladie, dans « le véritable meilleur des
mondes », ne devrait s’appliquer qu’ à ceux qui se
seraient laisser appeler à effectuer la véritable prévention
qu’est l’écoute, la vision, la compréhension de ce qui set
juste et bon pour chaque membre de la collectivité. La
multiplication des vaccins biologiques n’évite pas la propagation
croissante des virus mentaux, comportementaux, qui
transforment l’humanité en bestialité et la défigure de plus en
plus en monstruosité. Le monde du Malheur devient de plus en plus
diabolique, diviseur, séparateur, infernal. La prévention à tous
ses maux ne se fait que grâce à la
conversion,
qui libère l’âme et l’esprit de l’aliénation à de plus en
plus de besoins de « bonnes consciences intellectuelles »
qui se pensent, se croient, et surtout se veulent, les garants, les
maîtres du nouvel « équilibre » mondial grâce à
cet interface, qui n’est toujours « pas net » quant à
ses « véritables » intentions.
L’homme
perd de plus en plus sa place dans sa relation à lui, dans sa
relation à l’autre , dans le concept « aseptisé »
(mais
au combien « pratique »)
du télé travail, du télé enseignement, de la télé
médecine…L’intelligence
artificielle du progressisme matériel se veut toujours plus
puissante que le progrès de l’homme qui « s’il ne
progresse pas chaque jour, recule chaque jour » selon
Confucius. La bestialité passive de certains, en simples spectateurs
de cette « mondiofolie », génère de plus en plus de
monstruosité active, réactionnelle au manque d’acteurs du Bien
Suprême de « l’Amour de son prochain comme de soi-même » !
La
spiritualité retrouvée de chacun, en pleine et parfaite conscience
de la nécessité d’aimer la vie, est la seule et véritable
promesse d’une bonne santé économique, politique et sociale .
Elle ne peut s’accomplir que par un retour à la source de la vie
infinie et éternelle de l’Homme : son cœur . C’est dans
« un cœur à cœur » que les conflits meurtriers cessent
d’œuvrer pour la destruction du monde environnant.
« Le
salut par le combat intérieur » selon Saint Augustin est la
porte de sortie des conflits violents, de
plus en plus
meurtriers et
horribles...surtout
quand ils concernent des êtres appelés, chacun dans son domaine de
prédilection, à la vocation de soigner « tous les maux »
d’une humanité déchue !
L’Apocalypse
de Jean nous dit : « Que celui qui a des oreilles
entende ! » Cela devrait permettre à un plus grand nombre
d’éviter l’apocalypse de « l’âge de Fer » (selon
René Guenon) , de la crise sanitaire croissante de ce monde
« moderne » avec tous ses virus !!!
« Est
inhumain tout être humain qui ne va pas au-delà de l’humain ! »
Et « L’homme vulgaire regarde passer le temps ; le sage
s’en saisit » dit Sénèque , dans « La vie heureuse ».
Le Chemin sera toujours long...pourvu que nous le suivions !