mercredi 23 juin 2021

le culte de l'absentéisme

UN MANQUE DE CONSIDÉRATION!


Lorsque l'homme manque de plus en plus d'écoute, de vision, de compréhension,de logique, de bon sens, de raison, de sagesse, d'amour…, il se manque de considération; il manque de considération à lui comme à l'autre; mais il réagit, parfois violemment, si on lui manque encore plus de considération, malgré son besoin compensatoire croissant de considération!

Ne considérant la vie en soi , avec soi, pour soi comme pour l'autre, que secondaire; prenant de moins en moins de rendez-vous avec lui, il s'étonne de plus en plus de ne pouvoir obtenir de rendez-vous immédiatement avec l'autre…avec un docteur par exemple, qui sous couvert du tout pouvoir de la science, le priverait de toute conscience.Un rendez-vous manqué avec le salut de son humanité par le contentement limité au port d'un masque, ou de l'obtention d'un «passeport sanitaire» (mais absolument pas salutaire) par le biais d'une nouvelle vaccination encore totalement expérimentale.

A cause d'une telle débilité mentale, tous les autres virus, germes ou parasites, n'arrivent toujours pas à comprendre le peu de considération qu'on leur accorde malgré leur présence indéniable, constante, permanente, dans les plis de nos vêtements, dans l'habitacle de nos voitures, ou sur nos chaussures victimes de l'absence sur les rayons de notre société mercantile de sur-chaussures qui seraient devenues pourquoi pas elles-aussi si sécurisantes!

Ce manque de combat pour la nécessité de la vie, plonge l'être humain et sa faiblesse de croire et de penser, dans le vide de sa propre humanité; et le doute, l'angoisse, la peur mortifère, sans recours possible à un besoin extérieur habituel toujours plus important dans son principe compensatoire, l'enferme dans une détresse terrible, inimaginable.

Le fait de vouloir toujours chercher «la petite bête» est tellement devenue obsessionnelle, qu'elle détruit toujours plus les poumons d'une société humaine de plus en plus empêchée de respirer la vie purement et simplement!

La politique politicienne de ce monde du chaos,ne considérant que les entrées aux urgences ou en réanimation,toujours possibles bien sûr elles, que les vaccins comme possibilité salutaire (sans considérer leur inefficacité, surtout face à tous les virus que véhiculent la colère, l'agressivité, la haine…,leurs effets indésirables qui ne seraient évidemment que momentanés,leurs dangerosités mortifères qui ne seraient encore que statistiquement faible), s'étonne de constater l'absentéisme d'un peuple en manque de véritable conscience politique, économique et sociale.

L'existence étant toujours le reflet de notre vie intérieure, la désertion de sa vie propre, personnelle, conjugale, familiale, a pour conséquence inévitable, le développement croissant des déserts ruraux comme citadins, agricoles comme industriels, médicaux comme hospitaliers…etc.

Il va falloir reprendre en considération très vite la notion de sacerdoce médical pour retrouver la volonté, le courage, la dignité, d'être un soignant responsable pour pouvoir expliquer que la perte d'un seul proche, jusque-là en «bonne santé», statistiquement n'est pas grave!

Il va falloir maintenant beaucoup de patience (ce qui est très compliqué pour une société de plus en plus infantilisée et vivant de plus en plus dans le besoin de l'immédiateté), pour évaluer véritablement, scientifiquement, le nombre de morts dues directement à un virus, qui aurait eu l'idée, tout d'un coup depuis 2 ans d'être la goutte d'eau qui ferait déborder le vase de nos comorbidités, mentales, morales, physiques, dans une société qui était déjà de plus en plus arrêtée de travailler, psychiatrisée...et le nombre de morts consécutives aux vaccins.

Nous ferions bien de reprendre très vite rendez-vous chacun avec notre propre conscience, en veillant à ne pas se précipiter encore dans des goûts, des envies, des besoins, momentanés, futiles et éphémères, au regard de perspectives nécessaires à une vie scolaire, universitaire, professionnelle des générations d'aujourd'hui et de demain.

Vacciner«à tours de bras» avec des vaccins biologiques, sans discernement, sans rappel à la conscience de la nécessité de se vacciner en premier lieu contre tous les virus mentaux, comportementaux, conjugaux, familiaux,sociétaux...stressants, angoissants, déprimants,violents, au point de détruire de plus en plus, voire complètement, nos âmes , nos esprits...est un crime contre l’humanité; un abandon total à la détresse, de pauvres gens plongés dans le désarroi, par le manque de valeurs morales et spirituelles de nos sociétés occidentales, essentiellement existentielles, matérielles; et maintenant surtout par le manque de personnel soignant, fatigué, épuisé, déprimé, pour n'avoir pas fait suffisamment tôt sa conversion, lui permettant d'être sauvé pour être sauveur. Le fait d'avoir transformée la Sécurité Sociale en Assurance Maladie, depuis plus de 50 ans, a eu pour effet de ne traiter que les conséquences et de ne pas prendre le temps de la consultation pour chercher les causes. Le résultat aujourd'hui est de se retrouver face à d'autres conséquences, toujours plus de conséquences! Après le mal, c'est le mal-être, puis la maladie et enfin la mort. Comment l' homme a-t-il pu arriver à mépriser la vie à ce point?

Au bout d'un moment il va falloir peut-être faire le choix; et peut-être avant qu'il ne soit complètement trop tard?

Le salut maintenant passe par une psychanalyse totale, universelle, pour que ce «virus qui rend fou qu'est l'homme d'aujourd'hui», puisse retrouver une santé mentale, morale, comportementale, sans obligations totalement liberticides des principes d'une démocratie digne de ce nom.

La politique politicienne de ce monde du chaos a pour conséquence de vouloir toujours traiter les conséquences sans s'intéresser aux véritables causes, ou pire les voilant, les masquant, et, ce qui est encore pire, les occultant.

Sans une véritable politique de santé humaine, il n' y aura plus de santé économique, politique et sociale pour tous: les intérêts bien particuliers de quelques uns ne s'effectuant toujours qu'au détriment de tous les autres!

Le jeu complètement diabolique d'«un principe de précaution» consisterait à ne plus considérer qu'un virus sans considérer l'être humain. Drôle de considération qui n'est que le fruit d'autant de manques de considérations d'hier, encore d'aujourd'hui, mais bien moins que demain... si chacun ne se révolte pas contre son propre négatif!

«L'homme vulgaire regarde passer le temps, le sage s'en saisit.» dit Sénèque dans «la vie heureuse». L'être humain ne peut être méprisé que parce qu'il s'est rendu méprisable déjà par lui-même.

Il nous faut arrêter de regarder passer les trains qui nous ramèneraient à la Terre promise d'une vie pure et simple, sans jamais les prendre; comme des vaches et des moutons qui ne prendraient que ceux qui les amènent à l’abattoir de leurs consciences que sont les camps de confinements, pour n'attendre que le prochain couvre-feu. Le développement économique de la bestialité est à ce prix!

Dans un climat de peur tellement mortifère, l'être humain totalement démoralisé, déstructuré, dans un monde en dégénérescence complète et totale, n'est plus en capacité d'attendre quoique ce soit, de qui que ce soit, ne sachant plus, ne pouvant plus déjà, compter sur lui-même...Alors les promesses électoralistes d'écoute, de vision, de véritable compréhension (maintenant bien sûr!), par des êtres de plus en plus sourds et aveugles à ce qui est juste et bon, ne peuvent pas tenir.

Mais si l'homme du XXI e siècle reprend rendez- vous avec lui comment pourrait-il lui aussi manquer ses rendez-vous avec l'autre, et pas uniquement électoral malgré un semblant de démocratie 2 dimanches sur 52?

C'est la persévérance dans la constance qui mène à la stabilité; et «la mémoire des combattants de la première heure»qui fait office de foi, de certitude que demain, chanteront encore des jours meilleurs!

C'est pour cette raison qu'«il y a beaucoup d'appelés mais peu d'élus!» L'élu étant celui qui n'est éligible que parce que sa sagesse et son amour lui permettent de résister à tous les concepts d'une vie qui ne serait que relative au fait, sans vie spirituelle libérée, sans unité constituante. C'est en effet la quête de l'unité qui constitue toujours la vie possible entre les êtres.

C'est encore et toujours avec le cœur, dans un véritable détachement du fait et donc sans intérêt égotique, que l'homme à venir, sans manipulation électoraliste ou technologique, retrouvera sa pleine et parfaite dimension sociale démocratique car universelle!




 

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