PASSEPORT POUR L' EXIL
«On ne donne pas le pain des enfants aux petits chiens; on leur laisse les miettes tombées sous la table des maîtres...» Marc, 7
Le vaccin, peu importe lequel,américain, russe ou chinois, serait le nouveau «sésame ouvre-toi!» de la caverne d'Ali Baba et des 40 voleurs du XXIe siècle...Mais le problème, encore et toujours,c'est que: «négatif un jour, ce n'est pas négatif toujours!» Les pauvres résidents en E.H.P.A.D, en savent quelque chose, avec des mesures «sanitaires» qui vous garantissent de ne pas mourir en vous empêchant de vivre ce qu'il vous reste comme peu de relations humaines!
Le«négatif toujours» c'est celui d'une société de plus ne plus affaiblie, arrêtée de travailler, psychiatrisée!
Alors comment sortir maintenant de l’œil du cyclone de Big Pharma, le nouveau«Big Brother»de la santé mondiale, pour tous ceux qui n'ont pas eu la conscience ou la volonté, le courage, de résister à leur propre négativité, pour se voir entraîner par les courants médiatiques de l'intellectuellement correct, du politiquement correct, du médicalement correct...dans des pensées, des croyances, des illusions, des sentiments, de plus en plus mortifères sur le plan conjugal, familial, scolaire, universitaire, professionnel, économique et social?
Comment continuer à fermer les yeux sur le danger de voir tracer nos moindres gestes quand Google nous signifie déjà le nombre de kms parcourus à pied comme en voiture chaque mois avec la notification des lieux visités? Notre permis de conduire à points selon les lois de la République, ne va-t-il pas s'étendre à un contrat social «made in China» (cf Envoyé spécial, Antenne 2: Avril 2020) avec un passeport multi-vaccinal, compte tenu de l'apparition constante de nouveaux variants dans l'esprit de scientifiques qui occultent les cofacteurs de la misère humaine se développant partout dans le monde avec la chape de plomb qu'ils font peser avec le spectre de la peur; plus mortifère que la mort elle-même.
«Les robots de la bonne conscience» sont en marche pour servir les intérêts économiques et politiques de quelques uns au détriment de la vie pure, simple et libérée des autres...
Nous savons, plus d'un an après, les dégâts causés par la pandémie de tous nos virus mentaux, comportementaux, sociaux, politiques, que ce «pauvre»virus, que les infectiologues avertis connaissent bien depuis au moins 2001, est venu révélés et aggravés.
Le Professeur Eric Maury, président de la Société de réanimation de langue française, nous le rappelle bien dans l'hebdo du«Quotidien du médecin», journal officiel de tous le médecins, à travers la détresse des urgentistes- réanimateurs depuis des années, devant faire face à la désertification médicale croissante par manque de sacerdoce médical, et à la psychiatrisation d'une société fatiguée, épuisée, de se vivre toujours dans l'un par rapport à l'autre, ayant rompu le sens de la vie de l'un avec l'autre, de l'un pour l'autre; emportant de cette façon le sens de la prise de responsabilité de chacun pour l'intérêt collectif d'une République de liberté au sein de la nation mondiale.
Les donneurs de leçon de l'écologie, ne semblent toujours pas vouloir se préoccuper de la santé d'un pays qui prescrit 30°/° d'antibiotiques de plus que les pays de l'Europe du Nord , et 2/3 de plus d'anxiolytiques et d'antidépresseurs que dans le Royaume Uni ou en Allemagne, dont les prescriptions sont surveillées de près, compte tenu de leur responsabilité avérée, même si ce n'est pas la seule, dans le développement de la maladie d'Alzheimer.Il paraît que ce sont les progrès de la science?
Tant que nous ne serons pas capables, nous les médecins, d'appeler, d'amener, nos patients à se vacciner contre leurs propres «virus»,en les élevant à la conscience de la nécessité, ils se retrouveront toujours plus esclaves du besoin de moyens existentiels, financiers comme matériels pour ne traiter que les conséquences en occultant toujours les véritables causes!
La servitude du besoin occulte de plus en plus le sens de la nécessité d'une vie libérée...
C'est ainsi que le déficit de l'Assurance maladie de 5,9 milliards prévus avant cette crise, est passé en 2020, à 38,9 milliards, avec le coût des masques, des vaccins, de l'augmentation de 15°/° en moyenne des arrêts de travail malgré le confinement et le télé travail, avec le coût du chômage partiel et le report des cotisations sociales (Quotidien du Médecin: Mars 2020). Déficit masqué par les 49 milliards fabriqués par la planche à billets de nos responsables européens, sortis rapidement de leur isolement bruxellois sans besoin de grandes négociations…
Avec la fatalité, s'effacent la dette et les déficits budgétaires... Les générations d'aujourd'hui et de demain, dans «le meilleur des mondes», sauront sûrement bien nous le dire!
Le «passeport pour l'exil» est celui des goûts, des envies, des besoins de liberté par rapport à un système dictatorial de couvre-feux, de confinements répétés, d'obligations «médicales», pour laisser aller se promener dans la nature, une humanité psychiatrisée par les psychoses maniaco-dépressives, les névroses obsessionnelles, les paranoïas du monde moderne…
A l'inverse, c'est toujours la continuité de l'écoute de la Parole des Sages et des Maîtres, de toutes les cultures et de toutes les traditions, la foi en cette Parole, qui ouvre les portes de l'Inconscient pour que l'Homme éclairé, initié, retrouve la Véritable Conscience, la logique, la raison, le bon sens qui ont toujours fait la vie d'hier, d'aujourd'hui et de demain…
Mais c'est aussi, malheureusement pour ça, toujours «beaucoup d'appelés mais peu d'élus»…
Et le semblant, encore et toujours, d'élections «démocratiques», et surtout leurs résultats n'y changeront rien, pour une populace qui ne se battrait toujours pas pour redevenir un peuple volontaire, courageux, digne, résistant, à toute mesure politicienne d'un monde matériel qui ne cesse de le faire plonger dans le chaos!
Pour construire, ou plutôt aujourd'hui reconstruire, une société, il faut commencer par la base; or, depuis des générations, la base attend tout du sommet; en compensation de sa dégénérescence, de sa décadence pour avoir perdu tout ce qui fait la valeur et le sens de la vie: les vertus. Mot tombé complètement en désuétude avec la seule valeur de l'argent.
Les vertus sont les principes sans lesquels aucune institution, qu'elle soit familiale, économique et/ou sociale, ne peut tenir debout et résister aux tempêtes qui régulièrement viennent tester sa résistance.
Les vertus théologales d'espérance, de foi et de charité, qui sous-tendent les vertus morales de tempérance, de prudence, de justice universelle et de force, sont les valeurs et les symboles d'un être accompli spirituel, et pas que matériel...Elle sont les outils qui assurent la pérennité d'une construction sociétale au-delà des seules fluctuations des actions boursières.
L'hypersensibilité, l'hyper fragilité de l'être humain dans un contexte de surmédicalisation,de dépendance, de besoin médical ou autre, ne peut que contribuer à l'enfermer de manière totalement inconsciente, dans un système de psychiatrisation de nos sociétés contemporaines qui le rendent de plus en plus fou, violent, dangereux.
La prescription de benzodiazépines (d’anxiolytiques, antidépresseurs) par les médecins français, 3 fois supérieure qu'en Allemagne ou au Royaume Uni (Évaluation des pratiques: Actu Santé Publique, Quotidien du médecin-Hebdo Mars 2021), d'opium, de morphine, demain de dérivés du cannabis, ne me semble pas permettre à de nombreux jeunes de se ressaisir d'une descente aux enfers inéluctable, avec des comportements toujours plus addictifs en compensation des manques de conscience conjugale, familiale,sociétale.
Le virus de l'avoir, de l'argent, de la drogue, tue toujours plus le germe divin de l'être. Sans le sage, le maître, le père (autrefois le «pater familias»), point de repère(s); les jeunes et les moins jeunes sont de plus en plus désespérés, désespérant de voir autour d'eux des êtres véritablement responsables: des êtres capables de prendre toutes leurs responsabilités pour les conduire vers une vie meilleure…
L'inconstance d'un enseignement obligatoire, sur le plan scolaire, universitaire ou professionnel,due à la propagation au sein de la moindre institution, du virus de la faiblesse, de l'épuisement, de la dépression, ne lui permet plus de jouer son rôle d'ascenseur social; la chute est inéluctable, entamée depuis des décennies, et aggravée par toutes les mesures des différentes politiques politiciennes, pleines de bonne conscience, mais sans conscience véritable de ce qu'est la vie: autrement dit le devoir, et par voie de conséquence le droit, d’effectuer son passage sur terre dignement. Avoir le droit est une chose; être un Homme droit est tout autre chose!
«L'homme extérieur court à sa ruine; l'homme intérieur se renouvelle sans cesse» dit Saint Paul; Il est évident que nous n'avons pas plus besoin aujourd'hui, comme hier, de passeport pour nous vacciner contre nos propres virus. Il serait temps de poser les problèmes en priorité, en se jugeant avec rigueur et sévérité; cesser de perdre toute notre énergie et vider les caisses de l’État, qui ne serait plus que masqué, testé et vacciné, mais pas contre la vision microscopique d'une science qui occulterait la conscience de tous les véritables problèmes.
Le retour à la moindre logique, la moindre raison, devrait nous permettre de discerner tous les virus qui se promènent et continueront à se promener dans la nature, avec nos propres virus qui détruisent de plus en plus nos âmes et nos esprits, comme nos corps et tout ce qui nous entoure…
Un passeport renouvelé pour la Terre Sainte de notre intériorité, avec un aller simple, devrait nous permettre de les combattre pour sauver notre humanité, toute l'humanité!
La connaissance de la Parole est Lumière pour entrer en résistance aux forces du Mal du monde des ténèbres; elle redonne à l'être conscient la clairvoyance de la Justice et de la Bonté.
Son manque de culture est responsable de la désertification de la nature humaine de notre planète...Mais le passeport vaccinal devrait tous nous permettre de chercher d'autres terres d'exil sur d'autres planètes sur lesquelles la vie serait plus douce, plus pure, plus simple, plus vraie...Il ne reste plus qu'à croire à cela aussi!
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