mercredi 27 janvier 2021

L'instauration d'un couvre-feu face à la propagation des flammes de l'enfer

VOYAGE AU BOUT DE L' ENFER...ou le


développement de la pensée unique.


«Tournez-vous vers moi, vous les lointains de la terre; et vous serez sauvés» Isaïe 45




Lorsqu' à la base d'une pyramide sociétale règne la crainte de l'anticonformisme, l'angoisse du lendemain, la peur mortifère du concept global, le renoncement à sa propre détermination, l'occultisme, ou pire le reniement, de toutes les valeurs morales et spirituelles…, cette société ne peut que plonger dans les flammes de l' enfer!

A l'inverse s'était, ou se serait encore et toujours, une société tournée vers le bleu du ciel, la lumière du soleil, avec pour paradis le cœur de chaque homme, si à la base régnait la résistance à la faiblesse de son humanité, la persévérance dans l'enrichissement intellectuel, spirituel, comme matériel, de sa vie, l'espérance d'une vie meilleure, d'un monde meilleur.

Depuis trop longtemps maintenant la propagande médiatique d'une « dictature virale» a plongé ce qui reste de conscience d'une véritable humanité, dans la détresse de virus mentaux, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux qui nous amène tout droit dans le mur! Après le mur de Berlin, le mur à la frontière du Mexique, et tant d'autres malheureusement, voici « le casse-tête » du mur imprenable de la muraille de Chine.

L'assurance du « bon droit », qui ne peut plus respecter le droit de vivre, se concentre dans la pensée unique, la suspicion, la traçabilité...Le concept du passeport sanitaire protectionniste ne serait plus que celui ou figure la psychose, la névrose, la paranoïa, mondiale.

Dans un monde de plus en plus irresponsable, désertique de véritable conscience et mortifère, la circulation des énergies n’intéresserait plus grand monde, au point même de faire « rêver» toujours d'un nouveau confinement!

« Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent !» dit Saint Paul. Dans une humanité aussi dépendante du progressisme de la matérialité, c'est toujours un paradoxe que de préférer rester chez soi à ne rien faire que d'aller travailler pour gagner sa vie; la passivité ayant été toujours plus séduisante pour certains, du moins au début, que l'activité. Si on écoute toujours Saint Paul : « Puisque vous ne voulez pas travailler, c'est que vous ne voulez pas manger ! » Les temps ont bien changé , la responsabilité politique aussi ...Le télé travail n'étant qu'un pis aller, et que pour quelques uns ; pas pour tous encore une fois ! Le devoir qui donne des droits ne concernerait vraiment plus que quelques uns…

C'est au médecin élevé à la conscience des sages et des maîtres de faire dans son cabinet régulièrement les piqûres de rappel nécessaires de ce qu'est la dignité humaine pour la participation à l'édification d'une vie meilleure en soi et d' un monde meilleur autour de soi. Tel est le sens de l'espérance: de la capacité de chacun à répondre à l'appel qui fait sortir l'homme de l'errance ...

Il semblerait pourtant que pour la plupart des docteurs en médecine il serait préférable de chercher à mettre au point un ou des vaccins contre un virus qui, subissant plus d'un million de mutations à la minute, se transforme, sans aucun problème, en d'autres virus, avec des variantes qui ne sont que le reflet du vécu de l'un qui n'est pas celui de l'autre, dans un pays où les conditions de vie ne sont pas comparables à celle d'un autre…

Le passeport sanitaire, tant promis pour la sécurité de tous, figure déjà comme une carte d'identité sur laquelle serait apposée une photo à 3 mois dune personne âgée aujourd'hui de plus de 75 ans. L'intérêt évident, dans un tel cas de figure, c'est que les chinois ne pourront pas appliquer la reconnaissance faciale ! L'inconvénient par contre devant « un tel crime contre l'humanité » c'est qu'il faudra faire systématiquement d'autres tests...mais maintenant ADN. L'histoire n 'est pas finie et le dossier loin d'être clos !

La limitation intellectuelle, scientifique, de la prise en considération uniquement de la variation constante d'un épiphénomène, sans prise en considération de l'humain en tant que tel et de son propre vécu, est bien sûr totalement mortifère !

Occulter tous les facteurs parasites de plus en plus anxiogènes (la violence des gilets jaunes en signe de leur détresse morale et matérielle- la reconduction des grèves au sein de l’hôpital public de plus en plus en faillite de moyens matériels et surtout humains–l'absence délibérée de prise en compte des comorbidités, de l'âge avancé des patients, des troubles psychiatriques majeurs malgré des camisoles chimiques de plus en plus puissantes -la désertification médicale croissante expliquant le dépérissement constant de la santé humaine et par voie de conséquence économique et sociale – le vieillissement de la population de par l'absence de constitution de vie familiale en conséquence du manque de perspectives de vie pour la jeunesse d'aujourd'hui – le coma économique et sociétal dans lequel ont été plongées les sociétés occidentales par la propagande chinoise – le relai par la médiatisation diabolique de ce monde de cette dégénérescence, décadence existentialiste de l'humanité de par le vide, l'absence de véritables guides et maîtres…etc, car la liste n'est malheureusement pas exhaustive) ne peut se faire que sous la coupe de l'intellectuellement, politiquement et maintenant «médicalement» correct!

La malhonnêteté ne tient qu'à l'absence de témoignage de l'amour inconditionnel de la vie de chacun.

Il n' y a pas de sacré, d'unité entre les hommes, sans le sacrifice des égos, de leurs pensées, de leurs croyances, de leurs illusions, de leurs sentiments qui n'assoient leur pouvoir que sur les ferments de la faiblesse humaine dont le malheur est son inculture et la perte de pouvoir de discernement qu'elle entraîne: la moutonnerie ambiante collective en est la conséquence. Lorsqu'une brebis égarée se jette dans l'océan du haut d'une falaise, toutes les autres suivent, en l'absence de berger pour veiller à ce qu'elles demeurent sur la terre ferme pour ne pas courir le risque de tomber dans le jeu de leur animalité inconsciente.

La meilleure façon de ne pas mourir serait ainsi devenue depuis des mois d'être empêché de vivre par la menace perpétuelle du confinement dans le culte satanique de la pandémie virale! Seul « le » virus serait en capacité de muter, de se transformer, quand l'homme serait voué à la mort en ayant perdu le droit de bouger?

Dans l'inertie, la promesse d'une exacerbation constante de la passivité, la perte de goût, d'envie, du sens de la nécessité...l'humanité a revêtue le costume du confinement, sorti tout droit des ateliers de la haute couture scientifique.

Le culte de la virologie de la mort, le développement dictatorial de la pensée unique pour asservir toujours plus les populations et les conditionner à des fins toujours mercantiles, devraient permettre à l'homme du XXIe siècle d'apprendre à mourir sous le spectre viral de son animalité, en lui évitant de croire qu'il fait encore partie d'une descendance dont les anciens travaillaient dur chaque jour à apprendre à vivre…

L'humanité d'aujourd'hui serait ainsi devenue trop invalide pour honorer la mémoire vivante de ces prédécesseurs!

Si le virus c'est l'homme dans sa relation unique au monde, son salut c'est celui de son intériorité; de son retour à la vraie vie en lui, avec lui, pour lui comme pour l'autre...tous les autres, sans discrimination aucune ! Et le remède infini et éternel à tous ses maux , aujourd'hui comme hier et demain, c'est l'amour immuable, c'est-à-dire sans aucune condition, de son prochain !

« Que celui qui a des oreilles, entende ! » Apocalypse de Jean.

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire