« Qui est-ce plus difficiles à dire : tes péchés te
seront pardonnés... ou, prends ton grabat, lèves -toi
et rentres chez-toi »
Le premier fait appel à la conversion, à l’Espérance de Dieu en l’Homme. C’est la Grande Miséricorde de Dieu, qui voues tout Son Amour à son retour du Fils prodigue à son Père spirituel, malgré Sa Chute. La deuxième fait appel à La Foi, à son appel à la Vie Meilleure (Les Miracles qui ne s’accompagnent que par la reconnaissance de la Mort en Christ, pour s’attacher à la Vraie Vie). La Porte du Salut c’est celle de l’Intériorité. Depuis le « Va vers-Toi » tout est Transmutation, jusqu’à la Transcendance (Le Sens de l’Au-delà), et jusqu’ à la vision de l’Au-delà, Infinie et Éternelle : Transfiguration de la Charité.
Je Suis reconnaissant à tous ceux d’ avoir suivi Ce Chemin de sagesse et d’amour ...car « Celui qui demeure en moi et en qui je demeure , celui-là porte beaucoup de fruit, car , en dehors de Moi, vous ne pouvez rien faire.» En effet, tout s’efface devant les Trois Vertus Théologales d’Espérance, de Foi, et de Charité, qui ne font qu’affirmé, confirmé, la Volonté du Principe Créateur que non seulement « nul n’est prophète à son pays », mais qu’en plus « Un Seul Être vous manque, et Tout est Dépeuplé. » La Seule et Véritable Conscience n’est rien d’autre que Celle-là : « Nul ne peut retourner Au Père, sans passer par le Moi ! » C’est le Symbole de la Croix que nous portons.
Toutes nos dimensions, quelque en soi leur portées, ne sont que des épiphénomènes de toutes manifestations du plan divin dans le plan humain, jusque dans notre dimension angélique ; car , il ne faut jamais perdre de vue qu’« Heureux ce qui ont cru sans avoir vu ». L’Homme ne peut rendre grâce à Dieu que dans la mesure où il reçoit de manière infiniment éternelle, la Vision du Cœur. Dieu retrouve l’Harmonie au Centre de la Création ; là, où Dieu l’a placé depuis la Genèse...
Les fruits sont tous ceux qui portent,en eux, leur « Arbre de Vie ». C’est une telles exigences de sens absolue que nulles ne peut se situer au-delà de cette Volonté divine, plein et parfaite, pour laquelle toutes considérations n’est que futile et éphémère, consciente comme inconsciente. Les sens de l’Au-delà n’est plus à se considérer dans l’En-deçà, mais d’Au-delà établi et à jamais.
Tout, dans la Chute qui continue par le refus de la Conversion, est descente inéluctable en Enfer : le Monde du Malheur, en témoigne par son refus inéluctable d’un « nécessaire » retour au Centre de Sa Création ; là où, Noé l’avait placé , dans une Arche d’Alliance pour réintégrer ces animaux pour qu’il les « domine tous ». « L’intégration » dont parlent Annick n’est qu’en référence à l’Arche de Noé , ou Dieu demande à Noé de faire rentrer dans l’Arche, 7 couples d’animaux purs ( Le 7 Jours du Shabbat) et 3 couples d’animaux Impurs ( le Souci de l’ Evangelisation, en référence au Père, au Fils, et au Saint- Esprit). Le Principe de réintégration est commencé, avec tous le Travail de perfectionnement qui demeure toujours à faire. Depuis la Descente du Fils sur la Terre, l’Evangelisation demeure inéluctable car, « Pour être sauvé, il faut être sauveur ». Les êtres qui n’ont pas reçu cette grâce, par manque de vertus cardinales, tardent toujours à accomplir leur devoir d’aimer ; ne s’arrêtant jamais de cesser de tourner en rond autour des envies, des besoins, les empêchant de « Rentrer dans le Cercle de la Révélation en prenant de le Rayon qui nous ramène au Centre ».
La Transcendance n’est pas pour eux (malgré la Foi que Dieu a placé en chaque homme), c’est l’Immanence qui fait que tous seraient , au regard de l’homme, ne pire en pire...Le Christ « ne pourra pas ouvrir des tombeaux, libérés des âmes et d’esprits, enfermés dans des terres d’exil », à moins que chacun, n’établissent sa Mort Spirituelle en Lui, pour vivre éternellement en Lui.
Tout est, pour l’être initié et éclairé, éternellement « Symbole ». Tout est plus que Lumières...quand l’être Ténébreux n’est plus que mortifications, désespoirs, en attendant de brûler en Enfer jusqu’à ce que l’« Axis Mundi », ne s’accomplissent en Conscience Suprême (La Seule et Véritable Conscience) de l’Enfer sur Terre, et de la Terre jusqu’au Ciel : « Maintenant que tout est accomplit, J’ai Soif...)
Le Moissonneur n’as plus à accomplir sa moisson... Il se définit par tout qui se veut être une nouvelle Moisson, à accomplir en genèse et en Création, pour les générations qui vont maintenant se multiplier comme les « Étoiles dans le Ciel ». Le passage de l’Avoir n’a plus le droit de ne pas répondre au sens de l’Être. C’est le passage de l’humanité à sa Divinité, grâce à son retour à la Conversion, qui ne divise plus, ne sépare plus...mais Unifie, dans le « Principe Un de Toutes Choses ».
« Même le prêtre, même le prophète qui parcourt le pays ne comprend pas ( l’Espérance). Pourquoi nous frapper sans remède ?
Nous attendions la paix, et rien de bon ! Le temps du remède, et voici l’épouvante !
Seigneur, nous connaissons notre mal, la faute de nos pères ; Oui ; nous avons péché contre Toi ! Ne nous méprise pas, à cause de ton Nom, n’ humilie pas le Trône de Ta Gloire ! Rappelle -Toi : Ne romps pas l’Alliance avec Nous! » (Cantique de Jérémie, 14)
« Considérez comme une joie extrême, mes frères, de buter sur toutes sortes d’épreuves. Vous le savez, une telle vérification de votre foi produit l’endurance, et l’endurance doit s’accompagner d’une action parfaite, pour que vous soyez parfaits et intègres, sans que rien ne vous manque. » (Jacques, 1)
« Il est doit, le chemin du juste. Toi qui es droit, Tu aplanis le sentir du Juste. Oui, sur le chemin de Tes Jugements, Seigneur, nous t’espérons. Dire ton Nom, fait mémoire de Toi, C’est le désir de l’âme. Mon âme, la nuit, Te désire,et mon esprit, au fond de moi, Te guette dès l’aurore. Quand s’exercent tes Jugements sur la Terre, les habitants du Monde apprennent Ta Justice.
Seigneur, Tu nous assures la paix : dans toutes nos œuvres, Lui-même agis pour nous. Seigneur ? Dans la détresse on a recours à Toi : quand tu envoies un châtiment, on s’efforce de le conjurer.
Nous étions devant Toi, Seigneur, comme la femme enceinte sur le point d’enfanter, qui se tord et crie de douleurs. Nous avons conçu, nous n’avons été qua dans la douleur, nous n’avons enfanté que du vent : nous n’apportons pas du salut à la Terre, nul n’habitant du Monde vient à la Vie.
Tes morts revivront, leurs cadavres se lèveront. Ils se réveilleront, crieront de joie, ceux qui demeurent dans la poussière, car la rosée, Seigneur, est rosée de Lumière, et les pays des ombres redonnera la Vie. » (Isaïe, 26)
A travers de tels Manifestations, Dieu nous appelle, encore et toujours, car rien désormais ne peut nous séparer.
Nous avons vécu, pour la plupart, 9 Séminaires. Le 10e Séminaires, semble peut-être manquer à l’ appel., quoique ??? Il fallait certainement que je me taise « Enfin »... pour « prêter ma bouche pour que l’Esprit puisse l’exprimer! Les paroles des prêtres, des prophètes, des Apôtres passeront...mais, celle Dieu demeurera à tout jamais, dans la vision verticale de la « Symbolique de la Croix ».
J’ai eu vraiment du Mal à parler...car il fallait, sûrement, que je me taise pour accomplir ce « Son du Silence ».
Toute cette dimension « nouvelle » est celle dans la Conversion de Marie-madeleine qui, libérée de ses 7 Démons, a vu monter le Christ vers le Père ; et qui avec les Apôtres et Marie, nous soyons maintenant avec Saint Paul, ces êtres convertis à cette Matrice du Crane prête à l’Enfantement de la Nouvelle Humanité ; car c’est « bien la Femme qui est l’Avenir de l’Homme. » C’est bien « celui-là qui fait la volonté de Dieu, est qui est pour Moi, un frère, une sœur, une mère. »
Tu as fait disparaître ce qui devait vieillir pour créer une être nouveau à Ton Image, afin que nous puissions te plaire en t’offrant ce sacrifice de pardon et de paix, en tous lieux et en toutes circonstances…
« Celui que mon âme désire, l’auriez -vous vu ? » A peine les avais-je dépassées, j’ai trouvé celui que mon âme désire : je l’ai saisi et ne lâcherai pas. (Cantique des Cantiques, 3)
Mille reconnaissances pour tous ceux qui laisse toujours Dieu, dans la plus grande humilité, « laissez venir à Lui, les petits-enfants » !
Au Bonheur de vous voir, de vous écouter parler, car « partout où vous vous réunirez, Je Serai parmi vous »…
« Que Toi et les Tiens me pardonnent si quelque chose vient de moi. » L’Amour de Dieu, demeure éternellement vivant.
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