MANIFESTE POUR LA DÉFENSE DE LA MÉDECINE
Ou quand la médecine vient au secours de la science…
Quand à la mi-temps d’un sport collectif une équipe est menée parce que son jeu part dans tous les sens et ne respecte pas, ni les règles ni les directives de l’entraîneur, le responsable de l’équipe, de son bon fonctionnement, ce dernier appelle très vite tous les joueurs, sans exception, à revenir aux fondamentaux!
En médecine il en est de même!
- En premier: il faut s’en tenir à la sémiologie, c’est-à-dire aux symptômes cliniques, à leur diagnostic et à l’évaluation des conséquences et donc des risques éventuels possibles.
- En second lieu: la responsabilité du médecin, le garant de la santé de «son patient», «déclaré» comme tel, est de mettre en place un traitement éventuel pour traiter les causes et les risques secondaires possibles.
-Troisièmement: demander d’éventuels examens complémentaires, uniquement nécessaires en cas de doute éventuel ou de confirmation du diagnostic clinique.
-Quatrièmement, le responsable de la santé qu’est le médecin dans son cabinet médical, doit toujours , non pas craindre quoique ce soit, mais demeurer vigilant pour répondre toujours présent en cas d’«effets secondaires»cliniques ou thérapeutiques.
Cette médecine enseignée depuis des millénaires, perfectionnée par de belles découvertes scientifiques comme technologiques, semblerait «avoir perdu son âme»
en ne considérant que le côté scientifique de la médecine au détriment de son humanité.Ne plus considérer la santé que vaccinée viralement, testée, isolée, confinée, serait totalement mortifère sur le plan de la santé personnelle, conjugale, familiale,sociétale, et par voie de conséquence sur le plan économique, politique et social.
Depuis deux ans le monde marche sur la tête et s’enfonce dans une psychose maniaco-dépressive, une névrose obsessionnelle, une paranoïa, une folie meurtrière, que tous les neuroleptiques du monde, toutes les drogues possibles, ne pourront solutionner !
Désormais la vie de l’humanité se trouve de plus en plus réduite à une course poursuite après un virus avec des microscopes électroniques responsables de la mise en évidence de toutes les variations, les inconstances de virus, mis sur le marché des laboratoires pharmaceutiques.
Les théologiens nous disent que «l’être spirituel est le médecin de sa vie»... et que son élévation à «la conscience de la nécessité» lui évite le plus possible de tomber dans le besoin d’une science qui voudrait se substituer complètement à sa conscience.
Ce contexte est venu pour nous le rappeler de manière forte et urgente. Sa capacité à vivre en lui, avec lui et pour lui, permet à l’être conscient de sa propre responsabilité de ne pas perdre la logique, le bon sens, la sagesse et l’amour de la vie nécessaire à la vie du monde environnant, car il sait que:«de s’aimer ça lui rend service et ça rend service à tout le monde»!
Alors tous les jours il prend conscience de son négatif, de son égo, de son orgueil, de son égoïsme, et les combats avec Saint Augustin qui lui rappelle chaque jour que:«Point de salut sans combat dans son intériorité !!!»
Il sait aussi que «les paroles sans les actes ne sont rien» et que ce n’est que par une vie pure et simple qu’il peut répondre de plus en plus présent dans sa relation à lui, dans sa relation au monde. Sans la définition de ce temps présent, il ne peut envisager d’avenir pour lui et ses enfants.
C’est cette absence de vie en soi qui est responsable de tous les déserts médicaux, à l’image des déserts conjugaux, familiaux, sociétaux,engendrés par tous les virus mentaux, comportementaux et non biologiques, et aggravés par la volonté d’emprisonnement dans le milieu carcéral «du tout vaccinal».
L’impasse médicale, avec la fermeture des cabinets médicaux, qui plonge de plus en plus de gens dans la détresse, se traduit par une demande accrue, qui serait en constante augmentation, de «clientélisme» de centres vaccinaux, sortes de «nouvelle manne dans le désert»pour les laboratoires pharmaceutiques, mais pas pour le Peuple Élu qui a quitté la terre de la servitude des israéliens!
La révolte, le retour à la conscience de chacun est salutaire; la révolution encore plus mortifère: elle est la traduction d’un monde satanique complètement pollué par les divisions, les sentiments et leurs corollaires les ressentiments et leur contingent de haine et de violences.
«La servitude volontaire» est la traduction d’une soumission à des règles politiciennes (relatives à l’inconstance, l’instabilité du monde extérieur) «du monde du malheur» qui brandit en permanence le spectre de la mort.
«La maîtrise» de sa vie est la stricte observance de paroles de sages et de maîtres de toutes les cultures, de toutes les traditions, de tous les âges, pour que la Vie d’Aujourd’hui soit toujours celle d’Hier, comme de Demain!
On comprend pourquoi de plus en plus «le malheur pour l’homme c’est son inculture» selon Platon!
Alors «remettre en lumière dans le cœur des hommes, conçu, préparé à aimer, la règle des actions que les passions ont obscurci, cela s’appelle enseigner»selon Confucius, rappelle le médecin à son sacerdoce médical, à sa maîtrise pour recevoir, signifier, témoigner et transmettre...
Quand la santé se porte bien, le mal, le mal-être, la maladie et encore moins la mort, n’ont plus leur place.
Une société dégénérée et décadente est appelée à disparaître,dans l’Ancien temps comme aujourd’hui ...et ce n’est pas une volonté divine!
L’humanité ne peut se relever de ses fautes depuis toujours que par sa conversion à une vie intérieure remplie d‘écoute, de vision , de compréhension que la richesse infinie et éternelle de l’Homme c’est celle de son cœur.
Prions pour le salut de l’âme et de l’esprit des rois et des princes de ce monde dont la seule richesse est matérielle; et «laissons ces morts enterrer leurs morts»… Car la compassion ne va qu’aux Vivants!!!
Super écrit
RépondreSupprimer