jeudi 17 juin 2021

Le retour à la normale

FAUT-IL TOUJOURS CHERCHER LA PETITE BÊTE?



Faut-il toujours passer son temps à chercher une aiguille dans une meule de foin? Un grain de sable sur la plage? Un poil sur le tapis d' une maison avec un animal de compagnie?...etc, comme on chercherait toujours un virus ou un germe chez un patient insuffisant cardiaque, respiratoire, cancéreux, immunodéprimé,obèse, psychotique,névrosé,paranoïaque,à la fin de son existence,mais sans aucun symptôme infectieux!

Après la nouvelle cuisine depuis des décennies, voici la nouvelle médecine purement, simplement: biologique,infectiologique,épidémiologique, et quelques fois, mais rarement en priorité clinique,comme par le passé!

Le besoin d'examens systématiques, dictés par la peur croissante du danger extérieur venu d'ailleurs, en dehors souvent de toute symptomatologie, semble devenu «le seul principe de précaution»d'une médecine (enfin) véritablement scientifique...et donc consciente des risques encourus par la population, qui ne peut plus être, avec le développement de l'intelligence artificielle, la populace dont parlait La Boétie au Moyen-âge!

Avec le déluge d'informations, dans un monde de plus en plus insouciant, inconscient, incapable d'écoute, de vision, de compréhension de ce qui est juste et bon, il est absolument certain que seule une peur totalement mortifère ne pouvait que sécuriser le monde entier, mais pas tout le monde.

Dans cette guerre de tranchée engagée contre ce virus il ne peut y avoir de répits; pour la simple raison que tout le temps consacré (et donc perdu) à le chercher depuis seulement 2 ans, au point de rendre l'homme maintenant complètement fou, malgré 10 fois, 20 fois plus de psychiatres dans certaines régions que de pneumologues, et bien sûr d'infectiologues, retranchés dans leur laboratoires, et ne sortant plus qu'épisodiquement en devant travailler jour et nuit à la mise au point de vaccins toujours plus performants, a mis l'homme en aliénation mentale, morale et comportementale totale; au point de devoir maintenant toujours se protéger tant bien que mal, par le port d'un masque sortant toujours bien sûr d'appareils de stérilisation, et de vaccins, dont la mise au point ne peut se faire que dans l'éthique scientifique, et donc médicale sur le terrain, du temps nécessaire (10 à 15 ans habituellement) à une expérimentation permettant un véritable bénéfice sans risque majeur.

Il est vraiment temps que les cinémas ouvrent à nouveau leurs portes pour arrêter la propagande médiatique virale qui a été faite pendant des mois sur les antennes télévisuelles. Il est facile de comprendre dès lors l'impatience de voir à nouveau le festival de Cannes, et ses nouveaux films traitant de l'actualité brûlante, car de plus en plus infernale, de ce virus; même si l'été 2021 a des relans de déjà vu avec l'été 42. Il est évident que tout ne dure qu'un temps! Et pourtant cette fois nous avons de plus en plus le sentiment que nous sommes plongés dans «une histoire sans fin»…

En effet un Océan sans vague n'est pas, ou n'est plus un Océan. L'océan de la négativité de ce monde, sans âme, sans esprit, nous le confirme : il y a et il y aura de plus en plus de vagues de détresse économique et sociale partout dans le monde, de vagues de licenciements ne faisant que s'amplifier devant le manque de volonté, de courage, de dignité, d'une humanité de plus en plus dégénérée, décadente, de par la perte de ses valeurs spirituelles, morales, sociétales ancestrales; devant la désertification rurale,scolaire, agricole, industrielle, médicale...n'offrant plus, ou de moins en moins, de perspectives de travail, donc de survie!

Il y aura de plus en plus de vagues de violences en réaction à la faillite de la politique politicienne de ce monde du chaos, sans la connaissance de la Parole des sages et des maîtres pour faire autorité dans l'esprit de faux responsables en mal de reconnaissance et dont les motivations sont faites d'intérêts, de compromis, de systèmes de pensées, d’illusions compensatoires, éphémères par rapport à des faits matériels se perpétuant depuis trop longtemps, de générations en générations, d'élections en élections.

Si seulement nous pouvions avoir des élections toutes les semaines pour continuer à vivre toute l'année dans l'illusion d'une démocratie; ne serait-ce que pour éviter de passer tout le reste du temps sous la «dictature virale» des masques, des couvre-feux, des confinements, des obligations vaccinales.

Si seulement l'intelligence des politiques pouvait nous prolonger l'Euro de Foot au moins jusqu'en Décembre, ça aiderait peut-être les services d'urgences et de réanimations, dont ce virus est venu révélé et aggravé la détresse, du fait des déserts médicaux en amont, et du manque de personnel en aval?

Depuis plus d'un an, aucune statistique n'a été effectuée pour évaluer véritablement le nombre de soignants fatigués, épuisés, déprimés, arrêtés de travailler ou carrément démissionnaires de leurs postes, du fait de la chape de plomb qui pèse de plus en plus sur leurs consciences qui savent pertinemment que la situation est de pire en pire pour tout le monde, du fait de l'enfermement de toutes les volontés dans le seul concept sanitaire. Sous couvert de prise de conscience collective subite (moins de deux ans), induite par une médiatisation mortifère de la peur d'un virus pourtant déjà identifié depuis deux décennies, une grande majorité des êtres humains, victimes de leur fragilité, de leur sensibilité, de leur affectivité excessives, auraient définitivement perdu toute logique, tout bon sens, toute raison?

Comment avec un masque sur la figure, des vaccins produits à vitesse grand «V» et à grande échelle, nous pourrions être assurés de vivre et non pas de survivre; de ne plus être tout le temps, pour certains, arrêtés de travailler, au moindre prétexte; de ne plus être de plus en plus psychiatrisés, et maintenant dès la petite enfance? Les manipulations ne sont pas uniquement génétiques dans les laboratoires; elles sont de plus en plus intellectuelles, médiatiques et politiques.

Tout cela n'est que la conséquence de fausses démocraties, de populations qui attendrait toujours tout de l'autre, d'un État providentiel mais sans hommes providentiels car insouciants, inconscients, inconnaissants de la Providence qui vient du Ciel: la Lumière.

Pour tous les êtres humbles, simples, fidèles aux valeurs humaines «La lumière de ce jour ne les surprendra pas comme un voleur car il sont les Fils de la Lumière, les Fils du Jour...Vous n'êtes pas des enfants des ténèbres», dit Saint Paul, dans les Thessaloniciens,ch 5.

Le caducée du médecin aurait-il perdu sa symbolique de la pleine conscience du praticien face aux forces du mal symbolisé par le serpent, et de leur parfaite maîtrise? N'est-il plus ce messager, ce missionné, comme Moïse, pour ramener son patient à la paix intérieure de son intériorité, pour vivre en sa propre présence?

Quand «le virus de l'Avoir tue le germe divin de l'Être», l'homme est condamné à ramper sur le sol comme un serpent, dans le mal, le mal-être, la maladie et la mort; le goût, l'envie, le besoin uniquement du futile et de l'éphémère au détriment de la priorité de l’essentiel, sont totalement mortifères pour l'homme du XXIe siècle. Le sens de la vie retrouvée en soi, avec soi, pour soi, comme pour l'autre est salutaire et nous ramène sur le Chemin de la Vérité et de la Vie, à la Lumière de l'Esprit.

Le malheur pour l'homme est dans son inculture de savoir que pour être sauvé il faut être sauveur; et que ça passe par la capacité retrouvée à se vacciner soi-même contre des manques d'écoute, de vision, de compréhension qui remonte à des générations, à des siècles. Le sens de la nécessité évite celui de toujours plus de besoins. Aucun vaccin biologique dans les pays, maintenant tous sous-développés, ne peut éviter l'accroissement de la misère de cœur, d'esprit, et par voie de conséquence matérielle, de toute humanité.

Celui qui ne résistera pas à sa négativité, qui ne sera pas appelé, amené, guidé pour la combattre, ne pourra pas résister à la violence des vagues de la négativité de ce monde...pour se retrouver «au fond du gouffre» sans recours possible!

Depuis quand il y aurait un «retour à la normale», sans faire preuve de sagesse et d'amour ? Ce virus aurait donc bien été mis en avant pour révéler tous nos manques d'écoute, de vision, de compréhension, de logique, de bon sens, de raison, de volonté, de courage, de force, de dignité...etc.

Lorsque certains ont encore le privilège, la grâce,l'intelligence de réaliser tout cela, le chemin et le temps pour mener le combat contre tous ces démons et retrouver une vraie vie seront longs, pénibles,durs, mais toujours possibles pour eux!!!

C'est la verticalité de leur être élevé à la conscience des sages et des maîtres qui en fait toujours des hommes debout et en marche...


 

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