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Les enfants présentent le plus souvent des formes bénignes de la Covid-19. De plus, en cas de forme grave, seul 7% des enfants nécessitent des soins intensifs (vs 53% des adultes atteints de forme grave). Il n’existe pas non plus de données sur la sécurité ou l’efficacité des vaccins sur la population pédiatrique. La vaccination des enfants [...]
ALERTE ENLÈVEMENT
Lorsqu'on enlève la sève à un arbre comment peut-on penser qu'il puisse encore porter des bourgeons, des feuilles, des fleurs et des fruits?
Lorsqu'on gèle les relations humaines par le principe de la distanciation,comment l'humanité toute entière pourrait ne pas voir son cœur s’assécher comme les sarments d'une vigne?
«Que celui qui a des oreilles entende» Apocalypse de Jean.
Depuis maintenant plus d'un an toutes les forces de police, de gendarmerie, du monde du chaos du médicalement correct, du politiquement correct, de l'intellectuellement correct, courent après un virus qui se demande qu'est-ce-qu'il a pu faire pour se retrouver accusé de tous les maux…
Il serait le seul responsable de toutes les morts physiques de cancers, d'infarctus, de suicides, de violences conjugales ou sociétales, mais aussi, bien sûr, de toutes les morts économiques, politiques et sociales qui ne seraient que des effets secondaires.
Il serait décrit comme plus dictateur que les dictateurs chinois,coréens,russes, birmans, turcs...etc, réunis.
Son nom de Coronavirus (de «roi virus couronné») voudrait nous faire croire qu'il n'y a plus de messe à Notre Dame de Paris, et encore moins au Sacré Cœur, parce qu'il aurait volé la Couronne d'épines du Christ: toutes les tentations originelles de la chute de l'homme sur terre et maintenant en enfer!
La médiatisation diabolique de ce monde et l'horizontalité de sa laïcité (le laïcat amputé de sa spiritualité, de sa verticalité) ne peut que se réjouir du vide engendré par le manque d'écoute, de vision, de compréhension de chacun, des écoles, des facultés, des salles de culture, des stades de rencontres sportives, autant de lieux nécessaires à la vie et au partage.
Ce «pire être qui soit» ne comprend toujours pas comment l'homme peut toujours avoir la prétention de le rattraper alors qu'il subit plus d'un million de mutations à la minute. Alors ce dernier invente la notion de «variant» comme pour s'arrêter un instant dans cette course effrénée...Orgueil, illusion, sentiment, révélateurs de son besoin naturel de souffler, «de respirer»dans un monde devenu de plus en plus suffocant.
Après le variant africain et sa misère ancestrale aggravée depuis des décennies par l'exploitation chinoise, le variant anglais avec pour seules richesses maintenant la City et la reine d' Angleterre,le variant brésilien privant Copacabana de ses jolies brésiliennes, le Maracana de ses idoles footballistiques, et remplaçant le charme du carnaval de Rio annuel par une sortie masquée quotidienne, comment faire taire son impatience de connaître le prochain variant responsable de la détresse de tous les hôpitaux publics alors que les cliniques privées de la chirurgie esthétique sont heureusement encore épargnées?
Alors qu'il serait là depuis plus de 20 ans, à la connaissance de tous les infectiologues, au milieu de tous les autres virus, pas plus ni moins virulent que les autres,sans que les humains s'en occupent, ne serait-ce que lors de l'épidémie de 2001 (?), qui a vu l'apparition de la protéine spike dans les intellects scientifiques, voilà que le dictateur chinois en premier,fin 2019, suivi des laboratoires pharmaceutiques, ont développé au niveau mondial la peur mortifère d'une pandémie, encore jamais vue, car révélant tous les virus mentaux, comportementaux, sociétaux, véritablement responsables,eux, de psychoses maniaco-dépressives, de névroses obsessionnelles, de paranoïas…
Les millions de tests, de vaccins, de laissez-passer en zones libres, nous donnerait une traçabilité de ce virus! Google sait déjà bien nous dire le nombre de kilomètres effectués par mois dans tous nos déplacements. Avec l'application «Covid», Huaweï et la 5G, il sera difficile très prochainement, comme en Chine, d'aller voter pour des élections départementales, régionales et encore moins présidentielles.
Rentrés de plein pied dans la politique politicienne du monde du chaos,il ne serait plus réservé que quelques jours à la démocratie; et tout le reste du temps au confinement, au couvre-feu ou à la prison...d'une «dictature virale».
L'absence de justice, c'est-à-dire de vision pure et simple de son cœur, est responsable de l'accusation erronée de ce pauvre virus de nous avoir volé notre âme et notre esprit.
Sans écoute, sans vision, sans sagesse, sans bon-sens, sans logique, sans raison, l'homme du XXIe siècle aurait définitivement perdu la tête..et vous avez déjà vu un corps sans tête?
Accuser un virus d'être devenu en quelques mois la «prison de la santé» relève d'une folie meurtrière.
Il est encore et toujours temps de rétablir la vérité: si «le virus qui rend fou» c'est l'homme, comme l'a écrit BHL, et avec lui beaucoup d'autres, ce «crime parfait» contre l'humanité peut cesser immédiatement avec le retour à l'écoute de son cœur, à la logique et au bon sens, qui comme par le passé dans toute l'histoire de l'humanité, a permis de rentrer en résistance pour sauver la liberté!
LE CRIME PARFAIT DE LA SERVITUDE
VOLONTAIRE
C'est celui du dictateur chinois qui a lancé cette propagation médiatique virale fin 2019, avec comme bouc émissaire le pangolin, puis la chauve souris, puis un laboratoire d'infectiologie, puis le marché de Yuan!
Cette propagation ne s'est faite qu'avec «le culte de la virologie de la mort» développée et entretenue par d'imminents infectiologues sortis de leurs laboratoires pour donner une vision microscopique de la vie du XXI e siècle totalement mortifère à toute la planète.
Le «médicalement correct» prenait le pouvoir, relayé par l'«intellectuellement correct» sous tutelle du «politiquement correct». Des mesures politiciennes de «bonne conscience» en compensation de la perte de logique, de bon sens, de conscience propre à chacun, sont venues creuser la tombe de nos sociétés très évoluées techniquement, mais de plus en plus décadentes spirituellement et moralement!
Le bonheur de se voir, de se vivre, de partager dans le désir de proximité, a fait place à l'horreur de la distanciation, et à l'état de guerre virtuelle symbolisée par les notions ressurgies de l'enfer: le confinement et le couvre-feu.
La traçabilité de ce pauvre virus chargé de tous les maux de la planète n'est que prétexte pour tracer, comme en Chine, toute volonté délibérée de liberté individuelle…
La situation n'est pas encore la même, mais le principe l'est, à la virgule près.L'«Oeil de Big Brother» de Google, de Face book, de Microsoft, de Huaweï, est bien là pour signifier à l'homme du XXIe siècle, la perte de la vision de son cœur.
Le migrant de la modernité n'est pas le cheminant de l'éternité: l'un court après la mort; l'autre marche en paix vers la vie…
Le premier cherche inconsciemment, et trouve sans aucun problème aujourd'hui avec internet, des raisons de mourir davantage; le deuxième n'a de cesse que de ressusciter à une vie nouvelle pour un monde meilleur. L'être devenu totalement matériel ne peut plus être spirituel!
C'est la passion du Christ que nous fêtons à Pâques, des cœurs et des esprits passionnés de vie infinie et éternelle, qui nous fait prendre le chemin de la Vérité et de la Vie...et laisser les morts enterrer les morts. La diffusion, la propagation de la mort dans nos sociétés ne tient plus qu'à l'incapacité pour la plupart des humains, le refus total encore pour d'autres, d'écouter et de voir avec ses propres yeux ce qui est juste et bon pour la vie de tous!
De jour en jour, de mois en mois, d'année en année maintenant, le culte de la virologie de la mort des générations d'aujourd'hui et de demain se propage dans des terres extérieures incultes de toute sagesse et d'amour.
La fermeture des portes des cœurs et des esprits ferment les écoles, les facultés, les salles de sport, de théâtres, de cinémas, de restaurants.. Les pensées, les croyances, les illusions, les sentiments, les preuves «vérifiées» de certains scientifiques, n'écoutant plus que la détresse des services d'urgences et de réanimations de centres hospitaliers, déjà bien malades matériellement comme humainement depuis des décennies, s'écroulent avec l'incapacité par une humanité totalement affaiblie, déprimée, à suivre et à rattraper un virus qui subit plus d'un million de mutations à la minute. Ce qui semble poser plus que problème aujourd'hui, alors que depuis 2001, date à laquelle il a été identifié, cela n'en posait pas! L'épidémie de 2003 (cf la Revue du praticien de mars 2021) n'avait posé aucun problème aux infectiologues et épidémiologistes enfermés dans leurs laboratoires, selon la revue scientifique, au point que personne ne s'en était rendu compte. C'est leur sortie sur la place publique des plateaux télévisés pour s'ériger en nouvelle et seule conscience, qui a fait monter en épingle le pouvoir mortifère d'un pauvre virus qui doit se demander qu'est-ce-qu'il a pu faire pour être accusé de tous les maux de la planète.Des vaccins déjà mis en place, et dont l'efficacité était peu probante déjà, avait certainement été abandonné pour cause de non- financement. Quelle aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques européens, américains, russes et bien sûr chinois (car il faut bien suivre le mouvement), que de venir prolonger le lancement par le dictateur chinois, fin 2019, de sa propagande médiatique «virale»! Il n'y a pas de meilleur laisser-passer que l’Intelligentsia scientifique, sauf lorsqu'elle se retrouve, mais qu'après des années, sur le banc des pires accusés de crimes contre l'humanité. Les procès de «la science sans la conscience» globale, universelle ne vont pas s'arrêter dans une course endiablée à la suppression des libertés de travailler, de vivre, avec pour but la disparition de tissus économiques, sociaux, qui participaient au bonheur d'une grande partie de l'humanité.
Le nivellement des consciences sur des bases de plus en plus mortifères, car liberticides, ne permettrait plus de voir le vent de la révolte démocratique souffler les tristes et mauvaises consciences de la politique politicienne!
La servitude volontaire, qui n'est autre que la volonté du négatif de chacun d'en faire un esclave, un être dépendant, l'un d'une chose, l'autre d'une autre, ce qui leur donnait un semblant de liberté, s'est transformé en dictature complète et totale d'un inconscient collectif par une moutonnerie collective hallucinante!
Un mouton sautant du haut du gouffre de la faillite économique et sociale, symbolisé par celui de l'Assurance Maladie, aurait suffit pour y entraîner tout le troupeau sans berger depuis des décennies...Ainsi toutes les notions, de sagesse, d'amour, de liberté, de conscience propre comme universelle, de dignité, de volonté, de force, de courage, de résistance, auraient disparues corps et biens des cœurs et des esprits pour les plonger dans l'inhumanité: l'en-deçà de l'animalité!
Les stades vidés aujourd'hui de toute humanité pleine de désir, de plaisir, de passion, pour des divinités footballistiques, rugbystiques ou autres..se sont transformés en camps de concentrations de la servitude vaccinologique pour des êtres acceptant de renoncer à leurs divinités sportives pour ne plus se tourner que vers«le roi virus couronné»! La couronne d'épines scientifiques du «roi virus couronné» s'est substituée à la couronne spirituelle du Christ; celles de toutes nos tentations mortifères!
Le monde du chaos, des illusions, des sentiments, des intérêts égotiques, des compromis, base son développement sur la perte de discernement, de logique, de bon sens, de raison, de toute conscience, comme si rappeler qu'il faut plus de 15ans pour mettre «au point» une nouvelle molécule ou un nouveau vaccin ( la Revue du praticien de Mars 2021) était complotiste; alors que des «intelligences surnaturelles» ont permis de voir sortir des vaccins du chapeau des laboratoires modernes de nos sociétés très avancées, très évoluées…, en quelques jours seulement et comme par magie!
Dans la logique de ce monde rendu de plus en plus mortifère, le nombre de vaccinés peut-il suffire pour ne plus avoir besoin d'être testé régulièrement (car «négatif un jour ce n'est pas négatif toujours!»), ou de sortir systématiquement masqué?
Quand il faut plus de 2 à 3 ans pour retrouver la trace d'anticorps, selon les premières épidémies depuis 2001, il ne semble pas que nous puissions «sortir de l'auberge» du jour au lendemain, alors qu'il y a encore un peu plus d'un an, nous avions le bonheur de pouvoir encore rentrer dans de véritables auberges pour partager notre goût de vivre.
Les diffuseurs scientifiques«des fleurs du mal», ne peuvent avancer qu'à ta-ton avec leur science obscurantiste de la conscience...
La seule solution, aujourd'hui comme hier, c'est le devoir de mémoire de nos ancêtres qui nous pousse à nous transformer en combattants de la Lumière prêts à mourir sur le champ d'honneur de la résistance à la diabolisation de ce monde. Les morts pour la France, pour la République,pour le salut de ses enfants, en 2021 ne peuvent pas être dus à une existence esclavagiste relative au pouvoir mortifère politique, économique et sociétal d'un virus, mais au combat contre la continuité de sa médiatisation diabolique…
Pour lutter contre le besoin esclavagiste, liberticide, de se faire vacciner, il suffirait de retravailler dur chaque jour à se vacciner soi-même, contre tout d'abord ses propres manques d'écoute, de vision, de compréhension, de ce qui est juste et bon pour la vie de ce monde; pour se vacciner ensuite contre les manques, ou pire les refus, de prise de conscience de la plupart de nos congénères de ce que peut être, ou doit être, encore et toujours une vie libérée de toute contingence matérielle, aussi scientifique et laborantine soit-elle.
La moutonnerie qui s'en suit n'est due qu'au manque de référents éclairés, initiés; de guides, de sages, de maîtres, de bergers, capables d'éviter à tous de se précipiter pour tomber dans l'océan de la négativité du monde d'aujourd'hui complètement malade, tant mentalement que moralement et physiquement.
La fermeture des écoles, des facultés, des stades dans lesquels ne peuvent pratiquer que les joueurs professionnels grâce aux droits télés, les sales de théâtres et de cinémas, de restaurants, de commerces «non-essentiels»... n'est due qu'à la fermeture maintenant complète et totale des cœurs et des esprits à la logique, au bon sens, à la raison…
Une épidémie n'est pas une pandémie! L'une est temporaire; l'autre révèle la misère déjà existante: physique dans les pays sous-développés; psychique et morale dans les pays industrialisés.
Une telle pandémie n'avait jamais été observée auparavant par les infectiologues et épidémiologistes dont la renommée mondiale a dû attendre pour être révélée la promotion de ce virus sur le devant de la scène médiatique; ou comment transformer une épidémie virale banale en pandémie économique, politique et sociale de plus en plus mortifère.
Ce pauvre virus ne doit toujours pas comprendre, que plus d'un an après, la population mondiale lui courre toujours après, l'accusant de tous les maux en l'accablant d'être responsable de toutes les insuffisances, insouciances, inconsciences d'une humanité de plus en plus dégénérée et décadente; et l'amenant maintenant à se poser la question si plus d'un million de mutations à la minute continueraient à suffire à mettre suffisamment de distance entre lui et une humanité inventive de nouvelles donnes dans le jeu de l'assurance certaine de la mort: les masques, les tests, les vaccins, les couvre-feux,les confinements…
L'esclavagisme moderne n'est pas de permettre de travailler, ou de faire travailler ses enfants à l'école, en faculté ou dans des entreprises en pleine croissance,mais de payer à leurs parents «le luxe»,qu'ils n'avaient jamais eu, de rester confinés chez eux, leur promettant de survivre de mois en mois, et maintenant d'années en années, à la dangerosité du monde environnant.
Les illusions, les sentiments, les pensées, les croyances, des uns, ne se sont jamais tant opposées à la pureté, la simplicité, la vérité, de cœurs purs et aux esprits détachés de tout intérêt ou compromis.
C'est le sens de la vie de la Communauté chrétienne que de voir l'autre, de voir le monde, avec son cœur. Les preuves d'une science qui occulterait la justice et la bonté de la genèse et de la création d'une vie meilleure, sont les fondements d'une dérive totalement mortifère. C'est la science qui occulte les causes pour justifier le traitement que des conséquences; c'est la définition même de «la science sans conscience» de Rabelais qui «n'est que ruine de l'âme» car elle occulte l'intégrité de l'homme: esprit-âme et corps! C'est le crime horrible que commettent des êtres existentiels, uniquement matériels, contre des êtres pleinement et parfaitement spirituels dont la vie ne se fait pas sans celle de l'autre…
Le développement du fascisme, du communisme, du communautarisme, du populisme,...sont autant de schismes (de divisions, de séparations) qui ne voient le jour que sur le ferment de la réaction, de la colère,de la haine, de la violence, d'une partie de l'humanité à l'encontre d'une autre.
Le «Commandement de Dieu d'aimer nos ennemis» évite aux hommes sages de rentrer en guerre; car le salut aujourd'hui comme hier, ne passe que par le combat intérieur:c'est la volonté du négatif de chacun en effet qui est là pour l'empêcher d'être bien, de se faire du bien,et le pousser à se faire du mal et à faire le mal, à laquelle il faut résister pour ne pas tomber dans l'esclavage de la négativité croissante du monde environnant…
Encore une fois c'est «l'Amour qui est fort comme la Mort» le seul vaccin valable et durable,non pour la survie, mais la vie de tous…
Mais le triple problème que pose ce «vaccin», c'est que chacun le possède depuis toujours dans son cœur; ensuite, qu'il ne rapporte rien sur le plan matériel financier; et enfin et surtout qu'il est d'une exigence absolue, c'est-à-dire inconditionnelle, en tous lieux et en toutes circonstances!