mercredi 3 mars 2021

Responsables mais pas coupables !

DE LA RESPONSABILITÉ COLLECTIVE



Il en va de la responsabilité collective de comprendre que dans ce monde du chaos, dans lequel la Conscience Suprême a été occultée ou non-révélée, la conscience des uns n'est pas celle des autres…

La Prophétie de la Sagesse et de l'Amour n'a pu s'accomplir à travers la vision de cœurs purs, désertés par l'homme au fil des siècles et des générations délaissant le renouvellement sans cesse de la vie intérieure pour courir à la ruine de la vie extérieure!

Victime d'insouciances, d'inconsciences, d'incapacité d'écoute, de vision, de compréhension, de ce qui est juste et monde pour la vie d'un monde meilleur, l'immense majorité des humains se retrouvent plongée dans le monde sensible des illusions, des sentiments, des ressentiments, existentiels, matériels, avec des perspectives de vie limitées au futile et à l'éphémère que les institutions en place veulent bien lui accorder en menant la politique du «couvre-feu». Le formatage collectif de la politique politicienne de ce monde du chaos aurait toujours pour but d'éteindre les flammes de la discorde, en tentant d'étouffer, d'asphyxier, d'empêcher le vent de la révolte d'une humanité consciente du combat à mener pour sa survie; à défaut de ne plus pouvoir vivre purement et simplement!

Les stigmates d'une telle société mortifiée de peur à l'ombre d'un fantôme viral hantant toutes les forteresses institutionnelles de la république, se retrouvent un an après dans le port d'un masque et maintenant dans un vaccin censé libérer toutes les forces vives du pays pour «un retour à la normale»!

Il serait ainsi de la responsabilité collective de chacun de se conformer à de telles mesures qui seraient toujours censées faire face à la dangerosité d'une menace telle, que sans la menace de sanctions répressives sous prétexte du non-respect de ces mesures, elle ne pourrait plus remplir son rôle dictatorial d'inhiber jusqu'au bout toute velléité de vie propre, personnelle.

Pour tous les sages, les maîtres, de toutes les cultures, les traditions, la porte de salut c'est l'intériorité, et non l'enfermement dans un concept, le confinement dans la dégénérescence, décadence de quelque humanité que ce soit!

En vérité, sans la prise de responsabilité personnelle, conjugale, familiale, il ne peut y avoir de responsabilité sociétale consciente qui a toujours été le fruit des autres…

Les insouciants, les inconscients, les incapables, se voudraient aujourd'hui, à travers des gestes barrières, la conscience de tous les autres! Comment la condamnation de leur propre vie pourrait être la seule voie responsable de la survie de toute une humanité et de ce qui lui «pendait au nez» depuis des générations, au point d'en perdre l'odorat de ce qui est juste et bon pour tous, ou même carrément le goût de vivre?

Alors responsables mais pas coupables: victimes inconscientes d'une dégénérescence, décadence de l'humanité privée, depuis des générations, de valeurs spirituelles et morales, n'ayant pu se rendre à la justice de leurs cœurs, elles se retrouvent dans le malheur du jugement de l'autre...ne connaissant pas le commandement de Dieu: «Tu ne jugeras point!» C'est le Christ sur la croix qui nous le rappelle: «Pardonnes leur, Seigneur, ils ne savent pas ce qu'ils font!»

Le jugement est la conséquence d'une conception de la vie sur terre des uns par rapport aux autres; la justice c'est l'amour de soi comme de l'autre...L'un pérennise le monde du malheur; l'autre justifie, garantit, le Royaume du bonheur.

Les mesures politiciennes opposent, divisent diabolisent les relations humaines; les lois de sagesse et d'amour œuvrent à l’établissement ou au rétablissement de l'unité pour la vie de chacun! Le besoin constant, permanent de quelques uns, de légiférer sur le plan collectif, se serait complètement substitué à la nécessité de chacun d'aimer la vie? C'est le principe de transcendance, qui seul, peut permettre de cesser de tourner en rond autour d'un épiphénomène qui aurait le pouvoir de mortifier de peur toute la planète.

Nous serions donc véritablement en état de guerre? Avec les «collaborateurs» d'un côté, les uns plutôt conscients dans le secret d'un déterminisme occulte, les autres totalement inconscients d'être manipulés par leur propre négativité les poussant à tomber dans le système de la «bonne conscience»; avec, de l'autre côté, les «résistants» à la médiatisation diabolique de ce monde au service d'une propagande virale de l' intellectuellement correct influencé par le politiquement correct et déterminé par le médicalement correct; totalement mortifère pour ne pas avoir pris en considération les réformes nécessaires à une véritable politique de santé publique, en dehors des compromis et des intérêts particuliers; et enfin, la 3e catégorie: tous les gens déjà morts de peur moralement, ou réellement sur le plan conjugal, économique et donc social; avec des enfants sacrifiés par l'absence de perspective, un an après, de vie nouvelle…

C'est le «crime parfait» d'Olivier Probst que nous offre en cadeau empoisonné de notre existence, toutes nos imperfections mentales, morales, spirituelles, conjugales, familiales, économiques, sociales, technologiques de transhumanisme, nos intérêts particuliers, pour avoir occulté l'esprit de sagesse et d'amour des sages et des maîtres, et participé ainsi inconsciemment à la politique du pire pour l'immense majorité, sous couvert à chaque élection d'une promesse, sans cesse réitérée, d'une société meilleure.«Celui qui se juge avec rigueur et sévérité et reprend l'autre avec complaisance évite les mécontentements» selon Confucius.

Cette responsabilité collective ne peut être qu’holistique, c'est-à-dire globale, en prenant en considération toutes les causes de cette situation mondialisée qui permettront d'évaluer ainsi toutes les conséquences à moyen terme maintenant ...et plus uniquement à court terme par une politique politicienne,inscrite depuis trop longtemps dans le principe du «par rapport» sans qu'il y ait quoique ce soit de valable pour la vie de chacun!

Nous nous retrouvons, car l'histoire se répète, dans le combat à mener de David contre Goliath! La volonté, le courage, la dignité, la résistance à la non-acceptation de la fatalité, nous amènent à nous rappeler que David a vaincu Goliath...et donc à garder la foi.

Avec«L'amour est fort comme la mort», l'esprit de la ruse demeure plus subtil que la puissance de la matière...

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire