jeudi 28 janvier 2021

Vue du ciel

VOL AU-DESSUS D'UN NID DE COUCOUS



«  Vue du ciel » par le Zeus de l'écologie planétaire Yann Arthus-Bertrand, ou l'Hermès de l'écologie Nicolas Hulot, la Terre est une véritable poubelle de l'humanité. Leur colère est plus que légitime devant la simple constatation du réchauffement de la planète et de la constitution de ce troisième continent par l'accumulation des déchets de la surconsommation. Cette dernière et son accélération, n'est depuis des décennies, que la conséquence de la disparition de sagesse, d'amour, de mesure, de respect de la vie, de l'homme lui-même et donc de sa mère Nature. Les goûts, les envies, les besoins égotiques des uns au détriment des autres, de tous les autres si possible, ont rangé dans les placards de l'insouciance, de l'inconscience, de l'immaturité, le commandement « d'aimer son prochain comme soi-même ».

L'accroissement de la population dans certaines régions du globe, où la surnatalité viendrait en compensation de la misère existentielle, matérielle, symbolise la disparition de l'éros divin, générateur de vie meilleure (et non d'existence meilleure) et créateur de monde meilleur, au détriment d'un éros instinctif, animal, de survie.

A l'inverse, d’autres régions sur le globe, en trop grandes richesses matérielles, deviendraient de plus en plus désertiques sur le plan humain. Les flux migratoires, pour tous ceux qui n'ont plus de perspectives de vie, en sont la conséquence.

L'orgueil de l'homme qui entraîne sa chute inéluctable « en enfer », l'empêche de réaliser l'interdépendance des phénomènes, ou du moins d'en tirer les leçons pour modifier sa conception fatale du monde. Toujours plus victime de l 'infantilisme de son âme et de son esprit qui atteint sa plénitude dans le« Oui, je sais ! Mais... », sa mère Nature ne cesse de le rappeler à l'ordre sans que rien n'y fasse.

« Quand on est petit, on a besoin de plus petit que soi » ! Ce qui explique la révolte des jeunes générations, revendiquant le droit de vivre maintenant qu'ils sont là, devant le passif de leurs aînés.

La tentation demeure toujours très grande aujourd'hui, et peut-être plus que jamais, de faire disparaître certaines populations, sous prétexte qu'il n'y aurait pas assez de place pour tout le monde, ou que certains cultures ou traditions ancestrales permettraient d'échapper au contrôle de la pensée unique dictatoriale. La stérilisation programmée et la persécution des Ouïghours en Chine en est le dernier exemple connu. Alors quoi de plus opportun que la propagation médiatique mondiale d'un virus biologique, et peu importe lequel, pour supprimer non pas physiquement mais en premier lieu économiquement, puis mentalement, et enfin socialement une immense partie de la population mondiale.

Pour tous ceux qui sont dans le déni, le jugement, le traitement de complotistes tous ceux qui sont encore animés de logique, de bon sens, de raison, de sagesse et d'amour de toute l'humanité, pour ne pas s'être pliés au formatage collectif, à la moutonnerie hallucinante de ces derniers mois, et dont maintenant de plus en plus de gens semblent vouloir commencer à en sortir, il est aujourd'hui très difficile, voire impossible, de reconnaître leur faute, qui continue de dispenser d'école, de faculté, de formation professionnelle des générations entières, sacrifiées au nom du couronnement constant, permanent, quotidien, d'un virus capable de rendre jalouse la Reine d'Angleterre et toute sa famille, comme tous les autres princes de ce monde impuissants devant la faillite révélée de leurs hôpitaux publics.

Les notions de couvre-feux, de menaces de confinement des uns comme des autres, viennent « couronnées » le tout  avec l'assurance de ne pas mourir en étant empêchés de vivre...

« Ainsi, comme dit le prophète : ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon » Marc, 4.

« Quand Je leur donnerai mes lois, Je les inscrirai sur leurs cœurs et leur pensée, et je ne me rappellerai ni leur péché ni leur faute. Or quand le pardon est accordé, on n 'offre plus de sacrifice pour le péché. » Hébreux, 10


Rétablissons l'unité entre nous avec notre cœur, c'est-à-dire au-delà des pensées, des croyances, des concepts, des à-priori, et notre jeunesse ne sera plus sacrifiée...l'humanité pleine de sagesse et d'amour sera sauvée, et sa mère Nature sera comblée de joie !

 

mercredi 27 janvier 2021

L'instauration d'un couvre-feu face à la propagation des flammes de l'enfer

VOYAGE AU BOUT DE L' ENFER...ou le


développement de la pensée unique.


«Tournez-vous vers moi, vous les lointains de la terre; et vous serez sauvés» Isaïe 45




Lorsqu' à la base d'une pyramide sociétale règne la crainte de l'anticonformisme, l'angoisse du lendemain, la peur mortifère du concept global, le renoncement à sa propre détermination, l'occultisme, ou pire le reniement, de toutes les valeurs morales et spirituelles…, cette société ne peut que plonger dans les flammes de l' enfer!

A l'inverse s'était, ou se serait encore et toujours, une société tournée vers le bleu du ciel, la lumière du soleil, avec pour paradis le cœur de chaque homme, si à la base régnait la résistance à la faiblesse de son humanité, la persévérance dans l'enrichissement intellectuel, spirituel, comme matériel, de sa vie, l'espérance d'une vie meilleure, d'un monde meilleur.

Depuis trop longtemps maintenant la propagande médiatique d'une « dictature virale» a plongé ce qui reste de conscience d'une véritable humanité, dans la détresse de virus mentaux, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux qui nous amène tout droit dans le mur! Après le mur de Berlin, le mur à la frontière du Mexique, et tant d'autres malheureusement, voici « le casse-tête » du mur imprenable de la muraille de Chine.

L'assurance du « bon droit », qui ne peut plus respecter le droit de vivre, se concentre dans la pensée unique, la suspicion, la traçabilité...Le concept du passeport sanitaire protectionniste ne serait plus que celui ou figure la psychose, la névrose, la paranoïa, mondiale.

Dans un monde de plus en plus irresponsable, désertique de véritable conscience et mortifère, la circulation des énergies n’intéresserait plus grand monde, au point même de faire « rêver» toujours d'un nouveau confinement!

« Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois : Dieu et l'argent !» dit Saint Paul. Dans une humanité aussi dépendante du progressisme de la matérialité, c'est toujours un paradoxe que de préférer rester chez soi à ne rien faire que d'aller travailler pour gagner sa vie; la passivité ayant été toujours plus séduisante pour certains, du moins au début, que l'activité. Si on écoute toujours Saint Paul : « Puisque vous ne voulez pas travailler, c'est que vous ne voulez pas manger ! » Les temps ont bien changé , la responsabilité politique aussi ...Le télé travail n'étant qu'un pis aller, et que pour quelques uns ; pas pour tous encore une fois ! Le devoir qui donne des droits ne concernerait vraiment plus que quelques uns…

C'est au médecin élevé à la conscience des sages et des maîtres de faire dans son cabinet régulièrement les piqûres de rappel nécessaires de ce qu'est la dignité humaine pour la participation à l'édification d'une vie meilleure en soi et d' un monde meilleur autour de soi. Tel est le sens de l'espérance: de la capacité de chacun à répondre à l'appel qui fait sortir l'homme de l'errance ...

Il semblerait pourtant que pour la plupart des docteurs en médecine il serait préférable de chercher à mettre au point un ou des vaccins contre un virus qui, subissant plus d'un million de mutations à la minute, se transforme, sans aucun problème, en d'autres virus, avec des variantes qui ne sont que le reflet du vécu de l'un qui n'est pas celui de l'autre, dans un pays où les conditions de vie ne sont pas comparables à celle d'un autre…

Le passeport sanitaire, tant promis pour la sécurité de tous, figure déjà comme une carte d'identité sur laquelle serait apposée une photo à 3 mois dune personne âgée aujourd'hui de plus de 75 ans. L'intérêt évident, dans un tel cas de figure, c'est que les chinois ne pourront pas appliquer la reconnaissance faciale ! L'inconvénient par contre devant « un tel crime contre l'humanité » c'est qu'il faudra faire systématiquement d'autres tests...mais maintenant ADN. L'histoire n 'est pas finie et le dossier loin d'être clos !

La limitation intellectuelle, scientifique, de la prise en considération uniquement de la variation constante d'un épiphénomène, sans prise en considération de l'humain en tant que tel et de son propre vécu, est bien sûr totalement mortifère !

Occulter tous les facteurs parasites de plus en plus anxiogènes (la violence des gilets jaunes en signe de leur détresse morale et matérielle- la reconduction des grèves au sein de l’hôpital public de plus en plus en faillite de moyens matériels et surtout humains–l'absence délibérée de prise en compte des comorbidités, de l'âge avancé des patients, des troubles psychiatriques majeurs malgré des camisoles chimiques de plus en plus puissantes -la désertification médicale croissante expliquant le dépérissement constant de la santé humaine et par voie de conséquence économique et sociale – le vieillissement de la population de par l'absence de constitution de vie familiale en conséquence du manque de perspectives de vie pour la jeunesse d'aujourd'hui – le coma économique et sociétal dans lequel ont été plongées les sociétés occidentales par la propagande chinoise – le relai par la médiatisation diabolique de ce monde de cette dégénérescence, décadence existentialiste de l'humanité de par le vide, l'absence de véritables guides et maîtres…etc, car la liste n'est malheureusement pas exhaustive) ne peut se faire que sous la coupe de l'intellectuellement, politiquement et maintenant «médicalement» correct!

La malhonnêteté ne tient qu'à l'absence de témoignage de l'amour inconditionnel de la vie de chacun.

Il n' y a pas de sacré, d'unité entre les hommes, sans le sacrifice des égos, de leurs pensées, de leurs croyances, de leurs illusions, de leurs sentiments qui n'assoient leur pouvoir que sur les ferments de la faiblesse humaine dont le malheur est son inculture et la perte de pouvoir de discernement qu'elle entraîne: la moutonnerie ambiante collective en est la conséquence. Lorsqu'une brebis égarée se jette dans l'océan du haut d'une falaise, toutes les autres suivent, en l'absence de berger pour veiller à ce qu'elles demeurent sur la terre ferme pour ne pas courir le risque de tomber dans le jeu de leur animalité inconsciente.

La meilleure façon de ne pas mourir serait ainsi devenue depuis des mois d'être empêché de vivre par la menace perpétuelle du confinement dans le culte satanique de la pandémie virale! Seul « le » virus serait en capacité de muter, de se transformer, quand l'homme serait voué à la mort en ayant perdu le droit de bouger?

Dans l'inertie, la promesse d'une exacerbation constante de la passivité, la perte de goût, d'envie, du sens de la nécessité...l'humanité a revêtue le costume du confinement, sorti tout droit des ateliers de la haute couture scientifique.

Le culte de la virologie de la mort, le développement dictatorial de la pensée unique pour asservir toujours plus les populations et les conditionner à des fins toujours mercantiles, devraient permettre à l'homme du XXIe siècle d'apprendre à mourir sous le spectre viral de son animalité, en lui évitant de croire qu'il fait encore partie d'une descendance dont les anciens travaillaient dur chaque jour à apprendre à vivre…

L'humanité d'aujourd'hui serait ainsi devenue trop invalide pour honorer la mémoire vivante de ces prédécesseurs!

Si le virus c'est l'homme dans sa relation unique au monde, son salut c'est celui de son intériorité; de son retour à la vraie vie en lui, avec lui, pour lui comme pour l'autre...tous les autres, sans discrimination aucune ! Et le remède infini et éternel à tous ses maux , aujourd'hui comme hier et demain, c'est l'amour immuable, c'est-à-dire sans aucune condition, de son prochain !

« Que celui qui a des oreilles, entende ! » Apocalypse de Jean.

 

L'ancien et le jeune


"Un jeune diable :
 Comment avez-vous réussi à envoyer autant d'âmes en enfer ?

 Vieux diable :
 - Avec peur!
 
Le jeune :
 - Bon travail!  De quoi avaient-ils peur?  Guerre?  Famine?
 
L'ancien :
 Non, d'une maladie!
 
Le jeune :
 N'ont-ils pas été malades?  N'étaient-ils pas en train de mourir?  N'y avait-il pas un remède?
 
L'ancien :
 - ils sont tombés malades, ils sont morts, il y avait un remède.
 
Le jeune :
 - Je ne comprends pas...
 
L'ancien :
Ils ont accidentellement cru que la seule chose qu'ils devaient garder à tout prix était la VIE !
Ils ne s'étreignaient pas, ne se saluaient pas, ils s'éloignaient l'un de l'autre. 

Ils ont renoncé à tout contact humain et à tout ce qui était humain !
Ils ont manqué d'argent, ils ont perdu leur emploi mais ils ont choisi de craindre pour leur vie, même s'ils n'avaient même pas de pain.  

Ils croyaient tout ce qu'ils entendaient, lisaient les journaux et croyaient aveuglément tout ce qu'ils lisaient.  

Ils ont abandonné leur liberté, ils n'ont jamais quitté la maison, ils ne sont allés nulle part.  Ils n'ont pas rendu visite à des parents et amis.
 
Le monde est devenu un grand camp de concentration avec des prisonniers volontaires.
 
Ils ont tout accepté!  Juste pour survivre à un autre jour misérable ...

Ils n'ont pas vécu, ils sont morts tous les jours!
 
C'était facile de prendre leurs âmes misérables ... "

 C.S.  Lewis - "Lettres de Berlicche" - 1942