VOL AU-DESSUS D'UN NID DE COUCOUS
« Vue du ciel » par le Zeus de l'écologie planétaire Yann Arthus-Bertrand, ou l'Hermès de l'écologie Nicolas Hulot, la Terre est une véritable poubelle de l'humanité. Leur colère est plus que légitime devant la simple constatation du réchauffement de la planète et de la constitution de ce troisième continent par l'accumulation des déchets de la surconsommation. Cette dernière et son accélération, n'est depuis des décennies, que la conséquence de la disparition de sagesse, d'amour, de mesure, de respect de la vie, de l'homme lui-même et donc de sa mère Nature. Les goûts, les envies, les besoins égotiques des uns au détriment des autres, de tous les autres si possible, ont rangé dans les placards de l'insouciance, de l'inconscience, de l'immaturité, le commandement « d'aimer son prochain comme soi-même ».
L'accroissement de la population dans certaines régions du globe, où la surnatalité viendrait en compensation de la misère existentielle, matérielle, symbolise la disparition de l'éros divin, générateur de vie meilleure (et non d'existence meilleure) et créateur de monde meilleur, au détriment d'un éros instinctif, animal, de survie.
A l'inverse, d’autres régions sur le globe, en trop grandes richesses matérielles, deviendraient de plus en plus désertiques sur le plan humain. Les flux migratoires, pour tous ceux qui n'ont plus de perspectives de vie, en sont la conséquence.
L'orgueil de l'homme qui entraîne sa chute inéluctable « en enfer », l'empêche de réaliser l'interdépendance des phénomènes, ou du moins d'en tirer les leçons pour modifier sa conception fatale du monde. Toujours plus victime de l 'infantilisme de son âme et de son esprit qui atteint sa plénitude dans le« Oui, je sais ! Mais... », sa mère Nature ne cesse de le rappeler à l'ordre sans que rien n'y fasse.
« Quand on est petit, on a besoin de plus petit que soi » ! Ce qui explique la révolte des jeunes générations, revendiquant le droit de vivre maintenant qu'ils sont là, devant le passif de leurs aînés.
La tentation demeure toujours très grande aujourd'hui, et peut-être plus que jamais, de faire disparaître certaines populations, sous prétexte qu'il n'y aurait pas assez de place pour tout le monde, ou que certains cultures ou traditions ancestrales permettraient d'échapper au contrôle de la pensée unique dictatoriale. La stérilisation programmée et la persécution des Ouïghours en Chine en est le dernier exemple connu. Alors quoi de plus opportun que la propagation médiatique mondiale d'un virus biologique, et peu importe lequel, pour supprimer non pas physiquement mais en premier lieu économiquement, puis mentalement, et enfin socialement une immense partie de la population mondiale.
Pour tous ceux qui sont dans le déni, le jugement, le traitement de complotistes tous ceux qui sont encore animés de logique, de bon sens, de raison, de sagesse et d'amour de toute l'humanité, pour ne pas s'être pliés au formatage collectif, à la moutonnerie hallucinante de ces derniers mois, et dont maintenant de plus en plus de gens semblent vouloir commencer à en sortir, il est aujourd'hui très difficile, voire impossible, de reconnaître leur faute, qui continue de dispenser d'école, de faculté, de formation professionnelle des générations entières, sacrifiées au nom du couronnement constant, permanent, quotidien, d'un virus capable de rendre jalouse la Reine d'Angleterre et toute sa famille, comme tous les autres princes de ce monde impuissants devant la faillite révélée de leurs hôpitaux publics.
Les notions de couvre-feux, de menaces de confinement des uns comme des autres, viennent « couronnées » le tout avec l'assurance de ne pas mourir en étant empêchés de vivre...
« Ainsi, comme dit le prophète : ils auront beau regarder de tous leurs yeux, ils ne verront pas ; ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles, ils ne comprendront pas ; sinon ils se convertiraient et recevraient le pardon » Marc, 4.
« Quand Je leur donnerai mes lois, Je les inscrirai sur leurs cœurs et leur pensée, et je ne me rappellerai ni leur péché ni leur faute. Or quand le pardon est accordé, on n 'offre plus de sacrifice pour le péché. » Hébreux, 10
Rétablissons l'unité entre nous avec notre cœur, c'est-à-dire au-delà des pensées, des croyances, des concepts, des à-priori, et notre jeunesse ne sera plus sacrifiée...l'humanité pleine de sagesse et d'amour sera sauvée, et sa mère Nature sera comblée de joie !