mardi 20 octobre 2020

DEPUIS QUAND?

QUESTIONS POUR UN CHAMPION… DE LA


POLITIQUE , DE LA MÉDECINE , DE LA


MÉDIATISATION DIABOLIQUE DE CE MONDE.



Les émissions se dérouleront dans le cadre d'une descente aux enfers garantie, mais en toute sécurité de perte d'emploi, de domicile, de famille, de soutien économique et social ou scolaire pour les enfants qui n'auront plus le choix, de médecin référent, d'interlocuteur administratif compétent...etc.

Il faut bien rappeler aux participants, contraints et forcés, qu'il n'y aura pas de session de rattrapage possible : ça va de soi bien sûr ! Et que les questions « malheureusement » ne sont pas exhaustives pour comprendre pourquoi le temps passe si vite dans une période si douce, si agréable, pour des gens devenus tout d'un coup très intelligents et très responsables, grâce à la valeur ajoutée de la vie avec la notion du confinement : d'être enfin rassuré de ne pas mourir d'un virus supplémentaire, alors qu'on est déjà mort de peur...



- Depuis quand les progrès de la médecine sont apparus aux yeux de tout le monde dans la rue avec le port d'un masque ?

-Depuis quand de pauvres gens n'ayant fait aucune étude de médecine se sont retrouvés responsables, du jour au lendemain, de toute la santé d'un pays ?

-Depuis quand le progrès social, au sein des entreprises ou des hôpitaux, se mesurent aux files d'attente devant les boulangeries ou mieux maintenant les laboratoires d'analyses ?

-Depuis quand le manque de vocation des jeunes médecins, avec une formation de plus en plus technologique et de moins en moins humaine, permettraient aux services d'urgence de ne pas être inondés ?

-Depuis quand le manque d'autorité parentale abandonnant les enfants à leurs goûts , leurs envies, leurs besoins égoïstes et égotiques, a pu les empêcher d'être élevés à la notion de nécessité d'amour infini et universel ?

-Depuis quand le droit aux 35 heures, aux RTT, aux congés payés comme tout le monde, a rayé des consciences le sens du sacerdoce médical ?

-Depuis quand les soignants seraient fatigués, épuisés même, ou complètement déprimés ( en « burn out » pour que tout le monde comprenne !) sous prétexte de manque de moyens matériels bien sûr, mais surtout humains, depuis les villes, les campagnes, jusqu'au sein des hôpitaux, tous victimes de la désertification ?

-Depuis quand la fatigue ne vient-elle pas aussi de la gestion d'une vie compliquée par des familles décomposées, recomposées...ensevelies sous des montagnes de décombres d'une société de plus en plus matérielle et de moins en moins spirituelle et morale ?

-Depuis quand l'avenir des générations d'aujourd'hui et de demain ne reposerait plus que sur le compte des malades en réanimation ou des morts quotidiens dans tout le pays ?

- Depuis quand des statistiques, des pourcentages, des pensées, des sentiments, seraient plus fiable que l'absence de symptomatologie ?

-Depuis quand la sémiologie (l'étude des signes cliniques) n'aurait plus droit au regard de véritables cliniciens pour qui les examens biologiques qui n'étaient que complémentaires autrefois seraient devenus prioritaires ?

-Depuis quand les phobies qui ne cesseraient de se transmettre occulteraient le sens clinique de médecins expérimentés et avertis, au point de ne pas pouvoir comprendre eux-mêmes ce qui se passe ?

-Depuis quand le champ visuel des télévisions se verrait amputer de reportages faits aux urgences psychiatriques quand il est facile de vérifier dans les pages jaunes de l'annuaire téléphonique de la plupart des régions que le nombre de psychiatres est 20 fois supérieur à celui de pneumologues ?

- Depuis quand il serait préférable de mourir étouffé que déprimé ?

-Depuis quand la dictature d'un virus commande aux médecins responsables et particulièrement compétents d'appeler, ce qui était autrefois (il y a des siècles ou seulement encore quelques mois) un facteur aggravant, comme seule cause responsable de toute mort ?

-Depuis quand les cancers, les infarctus, les dépressions suicidaires, les paranoïa meurtrières, les catastrophes naturelles, la misère humaine mondiale..etc, seraient devenues secondaires ?

- Depuis quand la science d'une chose, d'une seule discipline, sans la conscience universelle ne serait que ruine de l'âme ? (R abelais)

-Depuis quand les politiques de tous bords, au lieu de ménager la chèvre et le choux (les écologistes ne vont toujours pas être contents), préfèrent maintenant ménager le sanitaire et l'économie ?

-Depuis quand « le virus de l'Avoir » détrônerait le « germe divin de l'Être » ?

- Depuis quand une loi républicaine se substituerait au cœur de l'Homme constitutif d'un seul et même Corps ?

-Depuis quand la laïcité (le droit) occulterait le laïcat ( le devoir = les deux voirs : l'esprit et la matière) ?

-Depuis quand l'homme ne serait plus présent à la croisée des chemins de son cœur et de son esprit, de son horizontalité et de sa verticalité, de sa sagesse et de son amour comme de son affection ?

- Depuis quand les conséquences occulteraient les causes ? Depuis quand la défectuosité ou l'absence d'êtres véritablement spirituels dans nos villes ou nos campagnes, dans nos écoles comme nos chapelles, feraient que le sentiment religieux (qui n'est pas la religion) véhiculerait autant de haine et de violence ?

- Depuis quand l'absence de pères ferait que les enfants sont en manque de repères ?

- Depuis quand l'absence de culture (« le malheur pour l'homme c'est son inculture »selon Platon) et d'initiation grâce à la parole des sages et des maîtres de toutes les cultures et de toutes les traditions, font que les politiques politiciennes sont contraintes de toujours légiférer au jour le jour par rapport à la survenue d'événements particuliers, sans avoir le temps de mettre en application les lois ou les décrets précédents ; exception faite bien sûr pour empêcher la population de vivre simplement, librement ?

- Depuis quand l'individualisme prévaudrait sur l’œcuménisme? Depuis quand la vue du fait occulterait la vision infinie et éternelle du cœur ?

- Depuis quand le manque de prudence nous empêcherait d'évaluer ce qu'il est juste et bon d'être, de dire et de faire dans sa relation à soi comme dans sa relation à l'autre ? (« Mets de la mesure dans ta prudence ! » Proverbe, ch 8)

- Depuis quand le formatage collectif ne cesse de se débattre dans des joutes télévisuelles à travers des discussions stériles, uniquement réactionnelles, sans prise de responsabilité véritable pour l'avenir de tous ?

- Depuis quand des dialogues de sourds à l'appel du peuple, de tout le peuple, s'il n'était pas appelé à être encore plus divisé pour que certains puissent régner sur lui mais pas pour lui, seraient-ils préférables à la parole de sagesse d'être libérés car détachés de tout besoin de reconnaissance ?

- Depuis quand un Président de la République, un gouvernement, serait devenu aveugle et sourd à la compréhension qu'il ne peut y avoir de santé économique (le nerf de la guerre), politique et sociale dans un pays, sans santé humaine ?

- Depuis quand le déremboursement de certaines médecines alternatives qui feraient que les patients n'auraient plus le choix que de la médecine conventionnelle des laboratoires pharmaceutiques, permettrait avec une économie de 2 millions d'euros de renflouer le déficit de l'Assurance maladie qui annonce un surcoût en 2021 de 12,5 milliards d'euros ?

- Depuis quand de ne traiter que les conséquences serait préférable de remédier aux causes profondes du mal ?

- Depuis quand une médecine dite alternative qui permettrait de faire 30 jours d'arrêts de travail pour 3000 consultations serait condamnable par le comité d'éthique de la santé, quand une médecine conventionnelle fait 3400 jours d'arrêts de travail sur 4000 consultations ?

- Depuis quand le monde marche à l'envers  et qu'une véritable médecine consisterait à remettre le patient sur le chemin d'une marche à l'endroit ? Mais c'est par l'effet d'une véritable conversion que le médecin aurait tout d'abord opérée en lui-même qu'il pourrait amener les autres à stopper leur processus d'involution pour les mettre ensuite sur un chemin d'évolution ; tout autre médecine laisse l'homme dans une impasse ! ( A. de Souzelle 1970)

-Depuis quand l'échelle de la douleur ferait « grimper en flèche » les prescriptions d'opiacés, de morphiniques et maintenant de dérivés du cannabis ?

-Depuis quand de grandes études scientifiques prouveraient le bien fait de drogues remboursées par l'Assurance maladie pour des patients qui ne seraient pas en fin de vie avec des douleurs atroces, mais de plus en plus fragilisés par l'agressivité du monde moderne ?

-Depuis quand la pollution de la nature humaine par des produits chimiques serait préférable à une médecine humaine plus naturelle, plus consciente que lorsqu'une pathologie physique ou psychique se révèle c'est pour signifier tout un tas d'autres maux ?

- Depuis quand le décret de la fin d'une pandémie n'apparaît qu'après la vente de tous les vaccins fabriqués par les laboratoires ? Comme pour la grippe H1N1 qui a fait des milliers de morts, mais économiques, chez les petits producteurs de volailles !

- Depuis quand les besoins particuliers des patients seraient préférables à la nécessité consciente du médecin ?

- Depuis quand le « Grand Corps Malade Médical » exploserait dans un attentat, non pas « hebdo »madaire, mais quotidien, par la propagande médiatique d'un virus ?

- Depuis quand un vaccin biologique éviterait à toute une population de continuer à plonger dans une détresse mentale, morale, familiale, sociétale de plus en plus horrible ?

- Depuis quand le principe de la dualité, de la division, occulterait encore et toujours l'interdépendance des phénomènes économiques, politiques, sociaux, médicaux… ?

- Depuis quand le principe de la distanciation sociale mondiale serait la « nouvelle ligne Maginot » capable d 'éviter l'invasion du géant chinois Huawei et de son dictateur en suivant les routes de la soie ?

- Depuis quand de laisser des gens continuer à se donner bonne conscience en ne voulant avoir à faire qu'à des moutons serait préférable à une véritable conscience de devenir le berger de sa propre vie ?

- Depuis quand l'enfermement dans un système, dans un concept, serait préférable au droit à la liberté individuelle d'expression que procure la véritable conscience ?

- Depuis quand l'homme aurait perdu sa nature divine originelle pour tomber dans une sauvagerie animale ?

- Depuis quand des grands parents, à peine soixantenaires mais sortis en quelques mois des chiffres de « l'espérance de vie », préféreraient ne pas voir leurs petits enfants, plutôt que de souffler des bougies sur un gâteau d'anniversaire et de profiter du fait d'être encore là ?

- Depuis quand l’écouvillonnage des grands sportifs servirait de faucheuse de la vie sportive dans les stades comme en dehors?

- Depuis quand le masque sur le visage de nos grands sportifs et de leurs entraîneurs voilerait la réalité des milliers de morts de joueurs de foot, de rugby, de basket, de tennis…etc,( que tout le monde connaît avec une pandémie si grave!), pour expliquer que les stades sont vides ?

-Depuis quand la course aux mesures « sanitaires » feraient des gouvernants de tous les pays les champions de la disparition des anneaux olympiques ?

- Depuis quand un virus fantôme pourrait-il devenir la prison à vie de la santé de tout un pays, de l'humanité tout entière ?

- Depuis quand « l'aigle noir » de la politique planerait sur «  le lac des cygnes » de la musicologie divine du cœur et de l'esprit de chacun, et de ses familles, ou ce qu'il en reste, condamnées au confinement?

- Depuis quand des mesures prises dans les vagues de l'océan de la négativité de ce monde et de ses ténébreuses profondeurs seraient plus claires, plus justes et salutaires que les lois de sagesse et d'amour du cœur et de l'esprit de chacun?

-Depuis quand l'abandon de sa vie à une politique politicienne de mensonges, de fausseté, de compromissions, d'intérêts particuliers, serait préférable à la volonté , au courage, d'une propre vie d'adulte responsable, conscient du sens de la nécessité pour ne pas voir un « État Providence des besoins » venir se substituer à lui  ?

- Depuis quand alors les métiers de bouche devraient se taire pour fermer ou quitter carrément la chaleur humaine de leur établissement et se retrouver à la rue dans une froideur et une rigueur d'un hiver économique et sociétal qui ne passerait pas ?

-Depuis quand des établissements doivent se transformer en « restos du cœur » pour leurs propriétaires (mais qu'à certaines heures pour ne pas que le torchon brûle davantage) ?

- Depuis quand des mesures politiciennes sous le spectre de la peur, sans nouvelle politique de santé humaine dans un État de droit où il n'y aurait plus de devoirs, feraient barrage à la rencontre, au partage, nécessaires à la pérennisation de la vie sociale ?

- Depuis quand la famille ne pourrait plus être le microcosme de la société ?

- Depuis quand le décret d'un couvre-feu permettrait d'éteindre l'incendie des flammes de l'enfer de ce monde ? A quand alors, celui qui permettra d'éteindre le feu de la destruction de la forêt amazonienne ?

-Depuis quand………… ?


Alors depuis quand ? Mais,depuis quand ? Depuis longtemps ? Peut-être même depuis toujours ?

Car il y a eu d'autres pandémies fantômes à côté d'autres pandémies véritables. Mais peut-être que l'homme a développé une telle relation mortifère à lui-même, que sa dégénérescence, sa décadence, font qu'il n'en a jamais assez et que le culte de la mort en vérité, aujourd'hui, est préférable pour lui à celui de la vie ?


Ainsi seuls quelques survivants, résistants aux forces du Mal d'hier comme d'aujourd'hui, vaccinés contre la peur d'aimer, pourront être appelés à la conscience d'une nouvelle humanité plus proche de son cœur, vivant dans la plénitude de l'esprit pour reconstruire une vie et un monde meilleur...Des enfants, des adolescents d'aujourd'hui, appelés à reconstruire un monde que leurs aînés auront détruit ou laissé détruire ; un monde que la désertification du cœur et de l'esprit aura transformé en désert complet et total !

La foi, la certitude que demain sera meilleur, n'appartient plus qu'aux générations futures, libérées des insouciances, des inconsciences de leurs aînés « qui auraient, comme eux, pu faire le choix de la vie et qui ont fait le choix de la mort ; et dont seule la mort peut être la récompense » (Jean Tauler).


Les Césars de toutes sortes se remplacent à vive allure sur des trônes éphémères. Leur existence renvoie à une béance perpétuelle.

La présence divine de l''Homme en lui, avec lui, pour lui comme pour l'autre, est d'un autre ordre ! Car notre monde dévasté, choqué redevient un terreau fertile pour l'annonce de la Bonne Parole de la Conscience Suprême. Nous renouons avec cette annonce qui est puissance créatrice de vie, pleine certitude que les ténèbres de ce monde ne triompheront jamais de la Lumière infinie et éternelle qui règne dans le cœur de l'homme! Il suffit de trouver sa place dans le nouveau récit de l'histoire de la «Nouvelle et Belle Humanité ». Nous nous approchons de Noël, je crois ? Alors il faut y croire encore et toujours...et pour cela ne jamais cesser, en « vierges sages », de suivre le « Chemin de la Vérité et de la Vie ».

 

mardi 6 octobre 2020

LA BIPOLARITÉ POLITICIENNE DU MONDE DU 

CHAOS


La pandémie au mois de Mars était grave ; 6 mois après, elle est très grave ; et d'ici très peu de temps elle sera très très grave...pour la seule raison que personne aujourd'hui ne connaît dans son entourage de centaines, voire de milliers de morts, d'un virus qui ne cesserait de circuler parmi nous ! C'est toute la bizarrerie et donc la dangerosité d'un virus qui circulerait très vite (mais plus en avion) alors que les autres ne le faisait jamais,ou si peu, parce qu'on les avaient rangés dans le lot du changement habituel des saisons printanières, automnales ou hivernales.

En fait « le virus c'est l'homme », comme dit BHL, et ses maladies mentales qui se développent avec le temps, par la transformation de la psychose maniaco-dépressive au mois de Mars (le dieu de la guerre du Président Macron), en névrose obsessionnelle au mois de Juillet, préparant le développement assuré, mais pas du tout rassurant, de la paranoïa, de la folie meurtrière conjugale, familiale et sociétale, mondiale, de l'automne et de l'hiver à venir (sans avenir?).

Le bouquet s'est situé dans une finale de la ligue des champions, jouée à guichets fermés, compte tenu des centaines de joueurs de foot morts déjà du virus dont tout le monde a eu connaissance,ainsi que des dizaines d’entraîneurs, du fait de la promiscuité dans les vestiaires, et du non respect des gestes barrières du début jusqu'à la fin du match !!! Que penser maintenant de la fédération de rugby de Nouvelle Zélande qui, au sortir de l'hiver austral, et en pleine épidémie de grippe, « s'amuse » à faire un championnat de provinces avec des stades remplis comme autrefois ? La souveraineté nationale va finir par les faire mettre en quarantaine ; attendons maintenant d'en voir les conséquences !


C'est le résultat de la médiatisation diabolique de ce monde, du « culte de la virologie de la mort », d'une « science sans conscience » comme disait Rabelais...C'est la révélation que le fait d' « avoir un docteur traitant » qui « ferait mourir les gens de peur », comme le dit Didier Raoult, empêcherait chacun d'être son propre médecin, avec toute la logique, le bon sens, la raison, pour remédier à des virus mentaux, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, qui détruisaient l'âme et l'esprit et pourrissaient la vie des enfants à peine nés...Le prix à payer pour des personnes en fin de vie est la dégénérescence et la décadence croissantes d'une humanité dans des E.P.H.A.D transformées en prisons !


La gravité de cette pandémie ne tient qu'à la perte de logique, de bon sens, de rationalité, à laquelle des êtres encore dotés de conscience générale n'arrêtent pas de faire appel : philosophes, scientifiques,médecins, dignes, courageux, sincères, honnêtes, ne s'appuyant que sur des faits concrets, des certitudes, comme Jd Michel , Alexandra Henrion Caude, Didier Raoult, le Pr Peronne, BHL, JF Toussaint...etc, et s'insurgeant de plus en plus devant des pensées mortifiantes de peurs d'urgentistes ou de réanimateurs qui se retrouvent au bout de la chaîne de la victimologie d'un état de plus en plus en faillite d'une véritable médecine préventive libérale rurale et citadine du fait de la désertification médicale par le manque de vocations !

Ce virus biologique,qui n'est pas le seul à « se promener » dans la nature, est secondaire comparé aux virus mentaux, comportementaux, sociétaux, économiques, politiques, que véhicule l'homme depuis des générations, dans une démarche suicidaire de lui-même, de ce qui faisait encore, il y a maintenant quelques mois, sa propre humanité. Renonçant depuis des millénaires à sa divinité il est tombé dans son animalité ; n'étant pas berger il a fait le choix d'une moutonnerie collective hallucinante. Ne voulant pas se tourner vers le sacré, vers la vraie vie, il a fait le choix d'être sacrifié.Les dictateurs fascistes récents, comme les nouveaux, communistes, savent s'en occuper.

La théorie du complot du pangolin ou de je ne sais de quel autre animal, ou de pauvres marchands de Yuhan, ne peut empêcher de comprendre, grâce aux reportages d'Antenne 2, d'Envoyé spécial (Voilà comment marche la Chine!) ou du journaliste Delhaousse (La réouverture des routes de la soie) , que le complot est celui du dictateur chinois avec son invasion mondiale économique, technologique avec sa mise au point de la 5G, et demain.. ? Personne, comme par hasard, ne connaît aujourd'hui le nom du ou des infectiologues chinois qui auraient révélé la dangerosité d'une telle pandémie fantôme, dont les pays qui étaient encore, il y a peu de temps les plus industrialisés, « s'amusent » à compter les morts ; occultant toujours les véritables risques et tous les morts, bien plus importants, de la misère économique, politique et sociale, à la base de pandémies fulgurantes en à peine quelques jours de choléra, de malaria, de peste...etc.

L'économie mondiale est asphyxiée aujourd'hui par la peur instillée avec beaucoup d'intelligence, il faut le reconnaître, dans l'esprit de nos dirigeants ; et le port artificiel du masque nous confine dans une respiration carbonée qui commence à faire mal à la tête de nos enfants à peine retournés à leurs « chères études » ! La taxe carbone qu'il nous faut payer de plus en plus, ne semble rien à côté du prix à payer, toujours par les générations à venir bien sûr, pour leurs cerveaux intoxiqués. Trop d' enfants meurent encore de méningite, ou de crise d'asthme aiguë, pour ne pas les faire mourir de peur quand un de leurs copains en classe a été testé positif !


Branché sur la négativité, l'homme du XXIe siècle est devenu aveugle et sourd à ce qui est juste et bon, n 'écoutant plus que ce qui est évocateur de maladie et de mort certaine.Pour avoir perdu la mémoire du passé dans un Alzheimer programmé, la perspective d'une faillite industrielle maintenant, bancaire demain,ne semblent même pas susceptibles de pouvoir l'effrayer. Nous nous retrouvons tellement face à une société « lobotomisée » qu'elle ne réagit même plus quand on lui parle de dette à 140 pour cent ou qu'on lui sort des milliards d'euros tout d'un coup comme par magie.

Le virus circule à la vitesse des cotons tiges et la robotisation à outrance est en marche pendant que l'homme s'arrête de plus en plus d'écouter, de voir sans comprendre ce qui se passe véritablement !

L'incompréhension aujourd'hui tient à la bipolarité des discours rassurants des infectiologues, des épidémiologistes de renom, mais que personnes ne connaissaient avant la diffusion médiatique de ce virus (comme personne ou presque ne connaissait en 40, De Gaulle et encore moins Jean Moulin dans l'organisation de la résistance), et dont la conscience et l'éthique professionnelles les ont obligés à monter au créneau pour ramener les gens non-éclairés, non-initiés, à la logique et au bon sens ; et à côté, les discours alarmistes de certains médecins urgentistes ou réanimateurs, conscients de la défectuosité depuis des années des moyens matériels et humains à leur disposition pour faire face de plus en plus à la demande de gens abandonnés à leur détresse morale ou physique, devant l' accroissement des déserts médicaux, et le manque de vocation des jeunes médecins à garantir une santé économique, politique, sociale dans leur pays formateur, par une véritable santé humaine au-delà du temps et de l'argent, en s'attaquant aux causes profondes du mal en chaque être ; et pas seulement de traiter toujours que les conséquences dont l'Assurance Maladie paie toujours plus d'autres conséquences !

La résistance s'organise de toutes parts ; mais elle ne peut s'affirmer que grâce à la résistance à sa propre négativité pour « mettre de la paix et de la sagesse là où il y a de la haine et de la colère ! »


La conscience des uns ne semblent plus être la conscience des autres, parfois au sein d'un même hôpital ! Certainement parce que certains ont fait de véritables études de médecine comme par le passé et pas d'autres ? Ou parce que les uns les ont faites en Chine, d'autres en Suède ou au Royaume Uni, ou encore de manière plus rare en France. Manifestement ce n'est pas le même langage! Le seul consensus dans la politique sanitaire menée ne se retrouve que dans les décisions qui ne sont prises que par rapport à un autre pays, ou aux autres pays de la Communauté des marchés qui ne marche plus pour s'être arrêtée aux frontières.

Nous comprenons dès lors le mouvement souverainiste qui s'affirme encore plus pour une souveraineté nationale de fabrication de masque à la française ou de circuit court d'inondation de produits pharmaceutiques par un laboratoire national, sans aucune notion du « Souverain Bien » : de l'Esprit de Sagesse et d'Amour que tout être éclairé, enseigné, pourrait manifester pour le bien de l'humanité tout entière.

Le seul vécu qui serait possible ne serait donc plus tributaire, à la vue des joutes politiciennes électoralistes des égos depuis des générations, que du choix des uns par rapport aux autres,au détriment des autres, et non des uns avec les autres et pour les autres ?


Une véritable politique de santé publique, économique, politique, sociale, ne tient qu'à une véritable politique de santé humaine globale et non uniquement financière. Le manque d'argent au sein des infrastructures médicales est le fruit, la conséquence, de manque de richesse de cœur et d'esprit de tous les « actionnaires » responsables de la vie, de leur vie comme de celle de l'autre. C'était le sens du sacerdoce médical avec le serment d’Hippocrate ! C'était le sens de la vie de générations dignes, volontaires, courageuses, qui se battaient pour la vie de leurs enfants:les enfants de la France, les enfants du monde entier...L'humilité, la simplicité de leur vie étaient les fondations d'un UNICEF conjugal, familial, sociétal, mondial. Les dons affluaient, peut-être déjà dans la quête de se donner bonne conscience ; mais, aujourd'hui, l 'absence de générosité envers soi comme envers l'autre, dans l'illusion d'un état providence, génère la peur et ses corollaires : la haine et la violence !

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ; car celui qui n'aime pas demeure dans la mort ! »dit l'Apôtre Jean, semble encore pour cette humanité déchue révolu ; déterminant sa perte !

L'égoïsme, l'égocentrisme,occultent chaque jour davantage la vision globale de l'humanité, son appartenance à la Création tout entière.

Avec les décisions gouvernementales et institutionnelles de ne pas vouloir, ne de plus vouloir, ou plutôt de ne plus pouvoir, dans leur obscurantisme, reconnaître le bien fondé d'une médecine globale de l'esprit, de l'âme et du corps, des énergies qui la constituent et qui l'environnent, la médecine ne se veut plus que chimique, vaccinale, technologique, télévisuelle...mais surtout pas humaine !

Que faire dès lors de chercheurs, de scientifiques,de philosophes, d'hommes et de femmes qui voudraient se battre encore et toujours pour la vie, et non la survie, de l'humanité, parce qu'ils auraient encore une conscience missionnaire et pas seulement fonctionnelle ou fonctionnaire ? La moutonnerie ambiante semble ne plus vouloir de bergers !!!

« Le virus circule toujours » ; les robots sont en marche  et ne semblent plus vouloir s'arrêter...par contre l'absence d'humanité déserte le monde du bien être, du partage, de la création d'une vie meilleure ; la conscience collective ne se réveillant plus qu' à travers des catastrophes naturelles dont la violence ne semblent jamais suffire pour que l'homme et le monde avec lui finissent par ne plus tourner à l'envers. C'est aux médecins à appeler, à amener, à remettre leurs patients sur le chemin d'une marche à l'endroit...avec toujours les pieds sur la terre mais la tête tournée vers le ciel et non vers l'enfer.

Dieu a créé l'homme à son image et selon sa ressemblance ; Il l'a placé au centre de sa création ; à la vision du cœur, il participe à la création d'une vie meilleure et d'un monde meilleur. Mais s'il devient infernal dans sa relation à lui, dans sa relation à l'autre, il contribue à créer l'enfer sur terre ! Le masque ne sert à rien devant les flammes de l'enfer ou les eaux du Déluge de l'inconscience de chacun d'entre nous…

Personne n'a vu Dieu malgré la Parole du Christ « qui a vu le Fils voit le Père », mais tout le monde ne devrait plus voir, sur ordre républicain, que le fantôme d'un virus immensément médiatisé ! L'homme du XXIe siècle serait devenu tellement désespérant à travers ses pensées, ses croyances, ses illusions, ses sentiments religieux pas toujours « catholiques »,qu'il se désespère tout seul de ne pas être femme alors qu'il était destiné à être homme et vice-versa...et désespère ainsi sa mère Nature qui ne cesse plus de battre le tambour de la colère, malgré la promotion du vélo électrique... La divinité de l'avoir a toujours voulu détruire, tuer, le divin de l'être !


Si BHL écrit dans « Le virus qui rend fou » : «  le virus c'est l'homme ! » avec toutes ses chinoiseries (ses insouciances, inconsciences, incapacités…) ; quelques mois après nous pouvons dire que « l'Enfer c'est l'homme ! » perdu, désespéré, devant l'absence de sages, de guides, de maîtres, à ses côtés ; abandonné à ses doutes, ses angoisses, ses phobies : à la psychiatrisation de son âme et de son esprit ! Rapidement sa psychose s'est transformée en névrose obsessionnelle ; pour finir très vite en paranoïa, en folie meurtrière, si les êtres responsables de la santé humaine n'interviennent pas !


Que dire maintenant de ce médecin obligé de faire 8 jours d'arrêt de travail en 2020 pour un simple rhume,(et encore parce qu'il fait de la résistance) pour sortir son patient des griffes de la haine, de la colère et de l'agressivité, de ses collègues de travail ?

Que dire encore de cet autre médecin, ou plutôt de ce médecin tout autre, demandant pardon à toute « l'humanité », d'avoir oublié le matin de mettre un écouvillon dans les trous de nez de sa petite fille, qui avait plongé la veille toute la journée dans la piscine, et de s'être contenté de lui avoir mis que des gouttes dans le nez et 3 granules d'homéopathie pour ne plus la voir moucher à midi ? Une médecine de la conscience (car « science sans conscience n'est que ruine de l'âme ») qui aurait sauvé des millions de patients des urgences, des hospitalisations à outrance, de la psychiatrisation inéluctable dans un monde de plus en plus en détresse mentale ou morale ; et qui n'aurait « coûter » que 2 millions d'Euros quand la culture politicienne du monde du chaos fait que le besoin d'être testé a déjà coûté plus de 2 milliards qui feront sûrement défaut aux sinistrés du monde entier (et pas que du Liban !) ; d'une O.M.S qui envisage de ne vendre que 3 euros un vaccin à des pays qui ne servira toujours pas à les vacciner contre la misère économique et sociale qui les prostituent chaque jour davantage. Mais « à qui profite donc, encore et toujours, cet éternel crime contre l'humanité ? »


« Vous avez un filtre pour le moucheron ; et vous avalez le chameau ...» Matthieu,23. Dès lors il n'est pas difficile de comprendre que l'humanité glisse inéluctablement et s'enfonce même de plus en plus dans le monde du chaos . L'homme a déserté son cœur-centre ontologique de genèse et de création de vie meilleure, de monde meilleur, pour jouer au sale garnement dans le « Géant Casino » de la mondialisation. Il a rempli les caddies de goûts, d' envies, de besoins, de ses insuffisances,insouciances, inconsciences et incapacités,pour combler, mais de manière de plus en plus futile et éphémère, ses manques d'écoute, de vision, nécessaires à une vraie vie. Alors il n'avance plus désormais que masqué par la honte de ne pas avoir aimé, privilégié,entretenu, sauvegardé, la vraie vie de son humanité.

Nous sommes désormais loin, trop loin,de l'appel du Christ : « Laissez venir à moi les petits enfants... » Les puissants de ce monde n'ont jamais connu les enfants de Dieu :les humbles. Alors,fini les petites épiceries, les petites boulangeries, les petites écoles, les petites fermes, les petits cabinets médicaux ou dentaires, les petits commerces et des centres villes, les petits restaurants familiaux...etc ? La désertification du cœur et de l'esprit est passée par là, pour remplir les quelques lits disponibles d'urgences et de réanimations !

L'intérêt matériel de quelques uns s'est substitué à l'intérêt général ! Le réel d'une vie personnelle, conjugale, familiale, sociétale s'est perdue dans le virtuel manipulateur des illusions et des sentiments ; la peur instrumentalisée par la médiatisation diabolique de ce monde du chaos, du malheur, de l'horreur, de la mort,détruit toute conscience propre, plongeant la société, le monde, dans un coma profond.


La moutonnerie collective, sous couvert de législation, n'autorise aucune initiative personnelle ; c'est la victoire de la démocratie : de la« liberté » sans aucune libération possible ! C'est « la prison de la Santé » !

C'est pourquoi, comme en 40 pendant la dernière guerre sur notre territoire, où des résistants passaient, ou faisaient passer en zone libre avec de faux papiers, certains rentrent aujourd'hui dans une boulangerie , après avoir fait la queue sur le trottoir, avec de faux masques : des masques qui ne servent qu' à éviter de payer 136 euros la baguette de pain !


Ce virus est le symbole du désarroi de populations qui n'ont pas suffisamment veillé pour se protéger de la bipolarité politicienne de ce monde qui est la résultante du peu ou du manque de spiritualité qui n'échappe pas au pouvoir de la matérialité : l'immanence (la chute) étant plus forte que la transcendance (l'élévation) ; la propension à la facilité passant de plus en plus devant l'appel à la nécessité. Il est toujours plus facile d'accuser l'autre, en l’occurrence aujourd'hui un virus, que de tenir des engagements et d'assumer des responsabilités dignes d'hommes et de femmes adultes et conscients de ce qui est juste pour la vie de tous.


Le masque ne serait plus ainsi que le dernier recours à tous les maux de la planète ?

Mais suffira-t-il à résister longtemps encore à la puissance militaire,économique, humaine et technologique chinoise ?

« Le culte de la virologie de la mort ; ou la goutte d'eau qui fait déborder le vase »...nous a bien signifié qu'un virus biologique ne pouvait s’ancrer que sur des terrains déjà fragilisés par des virus mentaux, comportementaux, conjugaux, familiaux, sociétaux, qui détruisent des vies personnelles, conjugales, familiales, et par voie de conséquence sociétales, depuis des générations.

Les épiphénomènes ne sont que secondaires devant les manques phénoménaux de plus en plus profonds et généralisés d'écoute, de vision, de sagesse, d'amour, de respect, qui détruisent les relations humaines.


Mais l'Homme est toujours là face au défi de toujours de la dualité, de la division, de la séparation, de la distanciation, diaboliques : du progressisme technologique des réunions à distance holographiques, virtuelles (c'est-à-dire sans plus aucun contact humain) qui s'opposerait au besoin de retourner à une nature ancestrale dépouillée de toute concentration urbaine « animale ». Le combat, car il faut le mener et non le fuir, contre le Satan, l'Adversaire, ne s’effectue que par l'intériorisation, l'incorporation de nos propres difficultés et de celles du monde auquel on appartient. Le point n'a de sens que parce qu'il signifie le centre du cercle. L'Homme qui retourne au cœur de lui-même rentre dans un cercle de vie dans lequel il ne sépare plus, mais participe à l'unification des forces vives du Souverain Bien pour lutter contre les forces du Mal...L'Homme, conscient, ne se sépare plus de lui, ne se sépare plus du monde qui l'entoure ; il incorpore ses difficultés comme celles de l'autre pour les combattre ensemble : l'union fait la force !

L'intellect divise,sépare (le point de vue de l'un n'est pas le point de vue de l'autre, du fait de sa position, de sa place, de sa fonction au sein de la société) ; l'Esprit et ses lois les unit.

Alors, en se révoltant contre nos propres failles, faisons cesser en même temps la médiatisation diabolique de ce monde qui ne cesse d'aggraver les divisions, les oppositions, les réactions violentes, en ne faisant que les constater et les révéler, pour que nous puissions désormais, chacun avec nos convictions profondes, notre cœur et notre esprit, constituer un véritable Corps Médical…


Pour sortir de la « bipolarité politicienne du monde du chaos », du désordre, il faut rétablir « l'Ordre intérieur » ! C'est l'absence de guides sur les chemins de la Sagesse auxquels nous a invité Arnaud Desjardin depuis des décennies, ce malheur de l'inculture que souligne Platon, qui font que le monde extérieur est de pire en pire et sombre dans les ténèbres de l'enfer...

Que chacun « remette de l'ordre dans sa vie » par l'écoute de la Parole des sages, des maîtres de toutes les cultures, de toutes les traditions ; par la reconnaissance d'une véritable hiérarchie spirituelle faite de « pasteurs » capables de rassembler ce qui est épars dans un appel constant à la conversion d'un Saint Paul ou d'un Saint Augustin, pour lequel « qui n'a ni Dieu ni Maître a Satan pour maître », modernes, réincarnés, ne consacrant leur temps qu'à la vie des autres, de tous les autres, de tous ceux qui cherchent de manière infinie et éternelle la lumière de la Justice et de la Bonté.

Alors la France se remettra au travail, purement et simplement, sans artifice télévisuel de la propagande distanciatrice, rompant toute relation humaine de cœur, d'esprit comme de corps ; sans se faire promenée dans les rayons d'un « Monsieur Bricolage » de la politique, de la culture, de l'éducation, de la médecine...etc, comme si de voir l'être cher emprisonné dans des concepts politico-socio-économico-médicaux serait mieux que de le voir libéré de toutes ces contingences pour le serrer, tant qu'il est encore là, le plus fort possible dans ses bras ?

« L'Amour est fort comme la Mort »,Cantique des cantiques, Chapitre 8 ! La Mort serait donc toujours préférable à l'Amour ? Alors tant pis pour la plupart des hommes de ce XXIe siècle si nous sommes amenés à rayer de « notre Larousse Universel » le mot: dommage !!! Car comme dit Jean Tauler : « Ils auraient pu faire le choix de la vie et ils ont fait le choix de la mort ; Seule la mort peut-être leur récompense! » (Mystique du Moyen-âge).

Alors c'est vrai, nous sommes dans une fin d'humanité ! Mais quelques uns aujourd'hui, et demain d'autres, sont appelés à la conscience de la nouvelle humanité. C'est le principe même de la Foi : de la certitude que demain sera meilleur dans un monde, pour un monde, débarrassé de toute dictature égotique, égocentrique…

Bien sûr « qu'il faut rêver » quand on demeure, si on demeure, de vrais enfants partis à la découverte du nouveau monde médical, social car toujours plus humain, matériel comme spirituel !